Il y a un mois, je n’étais pas au courant de la situation des autochtones. Je pensais qu’on les laissait tranquille et il nous laissait tranquille. Certes nous avions des relations commerciales, mais je ne pensais pas qu’il voulait avoir de la reconnaissance aux yeux de la société. Après avoir lu le texte de Joséphine Bacon, j’ai commencé as mieux comprendre la souffrance que les peuples des Premières Nations subissent. Ce qui m’amène as me demandé si le gouvernement va reconnaître les droits des autochtones. Je vais donc faire une analyse sur la situation des autochtones selon ce que j’ai pu recueillir comme information et selon mon opinion.
Au tout début, quand les français et les anglais peu après, ont fait leur entrer, ils avaient pour but d’assimilé les autochtones. Bien que cela aie fonctionné à une certaine limite, la culture existe toujours. Ensuite, l’État a décidé de les isolé dans des réserves en les forçant à cédé leurs territoires et sur des règles économiques et sociales strictes. Ainsi, les peuples serons assimilé avec le temps. Cela aura pour effet de créer un mauvais statut social comme externalité non-volontaire pour les autochtones. Avec les années, les autochtones ont tenté de revendiqués leurs droits d’autodéterminations en tant que peuples reconnus du Canada. Beaucoup d’écrivains, poètes et autres autochtone ont fait surface pour lutter pour la reconnaissance des Premières Nations.
Avec l’impact de ces acteurs littéraires et le support de l’APN, le gouvernement as décidé de révisé les demandes. Cependant, comme le mentionne Glen Sean Coulthard dans son texte «Peau Rouge, Masques Blancs», la réaction est loin d’être plaisante. Ce que je vois avec cela est que le gouvernement cherche à comblé les revendications de reconnaissance en laissant une place à la culture autochtone dans la culture générale, mais en ignorant les droits de reconnaissance les plus fondamentales. Tout ça, car «l’État veut que toute accommodation institutionnelle de la différence culturelle autochtone soit compatible avec une seule forme politique – à savoir la souveraineté de l’État colonial – et un seul mode de production – à savoir le capitalisme.»
Je ne comprends pas totalement l’idée de reconnaissance derrière leurs revendications, mais je suis d’accord sur le fait que les autochtones ont le droit d’être reconnus dans l’histoire. Je sais bien que nous apprenons des choses sur les amérindiens à l’école, cependant ce n’est que la base stéréotypé et généralisé. Je peux aussi comprendre que modifié un système politique n’est pas quelque chose qui se fait du jour au lendemain. Néanmoins, une adaptation du système gouvernementale sans changer son fonctionnement est une possibilité. Comme par exemple, avoir un porte-parole qui représente les autochtones dans la chambre des communes.
Avec cela en tête, je ne pense pas que le gouvernement puisse satisfaire les revendications à 100%. Il suffit d’avoir des compromis pour certaines choses. De plus, je ne pense pas que tout doit ce régler en une décision. Il serait préférable d’y aller étapes par étapes.
Ceci était mon opinion sur la situation autochtone et si une reconnaissance complète est possible. Pour avoir survécu tout ce temps en-dessous de la tyrannie de l’État, ils ont plus que mérité leur reconnaissance dans l’histoire et la culture canadienne.