Josephine Bacon est une écrivaine qui prend à coeur la culture autochtone. Elle fait des tournées dans des écoles pour faire valoir les cultures autochtones. C’est un geste qui m’inspire. J’aitoujours eu un certain intérêt, plutôt furtif, en ce qui concerne nos origines. En mon humble avis, c’est une culture qui mérite plus de reconnaissance. Elle millite pour la reconnaissance de son peuple par les poêmes, les livres et les conférances dans les écoles. Elle a eu l’opportunité de découvrir la relation des peuples des Premières Nations avec le peuple dit Canadien. Ainsi, elle nous fait comprendre, elle nous sensibilise à travers ses oeuvres littéraires.

Dans son texte  »Peau rouge, Masques blancs », Glen Sean Coulthard écrit principalement sur la reconnaissance et l’autodétermination des droits des Première Nations. Dans la partie où il parle du territoire, on voit clairement que le l’État colonial veut faire le moins possible pour toujours avoir le povoir au-dessous des autochtones. Le gouvernement n’a pas changé d’un poil. C’est un problème qui me semble pas si compliqué, mais l’État veut essayer de faire le moins possible en tournant des coins se qui au final n’abouti à rien, car il n’y a jamais hunanimité entre les deux camps.

John Rawls dans son texte  »Théorie de la justice (1987) » relève bien le concepte de consensus et d’hunanimité à l’égard de la justice comme équité. C’est une manière d’agir qui devrait être utilisé pour régler la mauvaise relation entre les autochtones et l’État. J’ai bien aimé quand il a parlé du fait que nous arrivons au monde dans une destinée plus ou moins définie. À cause des circonstances sociales dans lesquels nous avons été mis, nous avons pas l’entière liberté de ce que nous voulons être.