« Hurt people, Hurt people »

On se demande souvent pourquoi il n’est pas autant simple d’accepter autrui et de leur donner une chance de s’adapter. Je peux répondre simplement en disant qu’on juge ce que l’on ne comprend pas. Par contre, la solution n’est tout de même pas simple. Il faut prendre en conscience la situation sociale, les croyances et la différence entre les gens. Nous pouvons évaluer plusieurs exemples de discriminations dans le monde, mais il y en a un qui est plus local que les autres : les nations autochtones et le peuple québécois.

Nouvelle génération vs ancienne génération…

Il faut prendre en considération qu’on a effectivement un rôle à jouer dans cette problématique et que la première étape est de se l’avouer. Se l’avouer, car on pourra ensuite se diriger vers une compensation émotive qui pourra les aider. Se l’avouer, parce que les faire comprendre que nous reconnaissons les faits pourrait les apporter un sentiment confortable et profond. Et aussi se l’avouer, car la première étape pour rétablir une relation est que les deux partis puissent se comprendre pour pouvoir communiquer adéquatement. Quand on parle de communication, ce qui m’a aidé à voir son importance est de faire la différence entre deux textes de nature autochtone et de savoir qu’il y a moyen de s’adresser agressivement, mais aussi tranquillement et avec moins d’émotions. Ces différents textes sont tous utiles, car chaque personne a une compréhension unique a soi. Quand cette perception est atteinte, les idées s’éclairent. Pour comprendre la position de ces personnes, il faut aussi comprendre leur histoire. Ayant dû se défendre pour conserver leur territoire, la langue et la culture qui se faisaient effacer par l’anglophone. on peut comprendre que la seule façon qu’ils connaissent pour avoir ce qu’ils veulent est se battre. Malheureusement, quand cette technique a fonctionné ils se peuvent qu’ils se soient dit que la violence et le contrôle sont la meilleure façon d’opérer. C’est comme un enfant qui a grandi dans la violence. Le scénario est le même. « Hurt people, hurt people ».

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