Introduction

Problématique :

–  Le mouvement anti-avortement est la continuation de la condition de sorcière qui empêche la femme de gagner du pouvoir dans la société et qui la soumet à la nature (on l’utilise seulement pour procréer).

Pourquoi :

  • Parce que nous ne considérons toujours pas la femme comme une personne, un être qui est en mesure de s’autodéterminer. La société n’évalue pas la femme comme étant fondamentalement égale à l’homme ce qui la soumet à une vision patriarcale, tout comme lors de la chasse aux sorcières. 

Développement : 

a)  Dans notre micro-société, nous considérons le droit à l’avortement comme un acquis. Cependant, dans notre pays, aux États-Unis et dans plusieurs autres un mouvement répressif envers les femmes augmente depuis quelques années. Après avoir légalisé l’avortement, on remet en question ce choix. Par exemple, « depuis le début de l’année, 28 des 50 États américains ont mis en place plus de 300 nouvelles règles afin de limiter l’accès à l’avortement, selon l’Institut Guttmacher qui défend le droit des femmes à l’IVG. » (https://www.ledevoir.com/monde/etats-unis/554405/avortement-l-alabama-vote-la-loi-la-plus-repressive-des-etats-unis

De plus, en cette période de campagne électorale fédérale, on tait une possible association entre le chef du parti conservateur et le mouvement pro-vie : « Le caucus conservateur actuel compte 44 députés pro-vie sur 95, dont 34 se représentent à l’élection cet automne. Le groupe Campaign Life Coalition a jusqu’à présent identifié 34 autres candidats conservateurs pro-vie. » (https://www.ledevoir.com/politique/canada/561509/scheer-et-l-avortement.) 

b) 

1. Tout comme dans la féodalité, la femme s’émancipe socialement, professionnellement et politiquement ce qui cause la naissance  d’un sentiment de peur chez certaines personnes (Hommes). Alors, pour freiner cette lancée, des lois ont été établies. (Armelle Le Bras-Choppard) 

2. En ayant ramené l’individu au « je », on lui dit de penser ses actions (libre, raison), mais lorsque la femme pense ses action, on la ramène à la nature et on la dépossède de son corps en mettant la puissante nature au devant.  (Mona Chollet) 

3. Dans la société capitaliste, la femme est un producteur de travailleurs. On l’objectivise pour la réduire à sa fonction procréatrice. Elle est alors dépossédée et déshumanisée, la société et la justice ont contrôle sur elles. (Sylvia) 

Toutes les institutions étatiques, économiques et religieuses soumettent la femme à la société.

Certainement, cet enjeu est d’intérêt public. 

Conclusion : 

Ne pas créer de nouvelles institutions, mais bien en enlever et les transformer  

Ouverture : … 

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *