L’histoire de la sorcière : un mythe réapparu et diaboliser avec la domination des superstitions et de la religion au Moyen-Âge tardif.
La superstition a dominer pendant un long moment le monde occidentale, tout objet du quotidien pouvait avoir des attributs magiques. Il faut aussi rajouter la domination de l’Église qui diabolisait et déclarait hérétique tout ce qui ne correspondait pas aux dogmes, tout ce qui pouvait échapper au contrôle de celle-ci et aux règles et fonctionnement normal de la société mis en place par elle même. Sans compter que la population est majoritairement rural, ce qui fait que celui qui était écouter par tout les villageois était le curé (en ville, c’était le maire et les évêques). De plus, une femme, considéré comme plus faible et manipulatrice que l’homme et qui avait des connaissances, pouvaient être considérées comme dangereuse. Et puis, des les maux asseyaient la terre régulièrement. Avec tout ça, cela à donner lieu au mythe de la sorcière et elle a fait office de bouc émissaire. Elle fut donc persécuter un long moment et on garde quelques traces du mythe et de ces histoires encore aujourd’hui.
Aujourd’hui, l’image que nous avons de la sorcière a beaucoup été façonner par les contes, les films et les séries, qui ont été inspiré plus ou moins par la superstition et les anciennes croyances populaires d’autrefois. L’image de la sorcière a été très banaliser et très adapter, si bien que tout le monde aujourd’hui sait à quoi ressemble une sorcière. L’histoire est vite fait connue et nous savons assez peu quels enjeux cela représentait et les vraies réalité qui se passait derrière pour la femme qui était accusées de sorcellerie. Aussi, nous associons beaucoup les bûchers de sorcières au Moyen-Âge alors que c’est surtout à la renaissance que cela c’est fait, période que nous associons pourtant aux idées éclairées. De plus, on sait assez peu qui a des traces d’antisémites dans l’image de la sorcière alors que pourtant le cas. Maintenant, quand on parle de la sorcière, il faut faire attention et réfléchir à son histoire et ce que cela représentait dans un passé plus ou moins lointain.