Il y a tant d’explications sur le déroulement de l’histoire des sorcières. De ses début au moyen-âge puis de son pic à la renaissance pour se rendre jusqu’à Anna Goldi en 1782. Nous parlons d’une énorme période de temps dans laquelle il suffisait que de dénoncer une femme d’être femme afin de s’en débarrasser tout simplement. On nous explique les raisons ludique qui étaient utilisé comme avoir un fort caractère, avoir une sexualité épanouie ou bien de répondre à un voisin. Les femmes vivaient dans une atmosphère pesante constamment dans la peur d’être. Seulement, je ne comprends pas pourquoi. Je ne comprends pas les événements. Pourquoi la société (parce qu’il serait bien trop facile de faire porter le blâme à l’église) a-t-elle laissée ces évenements arriver comme si ce n’était rien. Pourquoi pendant un moment de l’existence humaine la femme fut tué sans raison. Il n’y a même pas un seul argument à discuter, il n’y a même pas un pour ou contre. Nous ne pouvons même pas dire que la société c’est repris, car c’est faux. Les femmes ne brûlent peut-être plus mais tout le reste est toujours présent. Il est inscrit dans l’une de nos leçon » Selon Armelle Le Bras-Choppard l’explication tient dans l’idée que la répression physique des sorcières n’avait plus été nécessaire dès lors que la loi avait rendu la femme obéissante. » Je n’ai jamais rien lu de si vrai. Je disais plus haut que la femme vivait dans la peur et bien elle y vit toujours constamment. Au yeux de notre société la sorcière n’est jamais parti lorsque les bûchés ont cessés. Aujourd’hui « la sorcière » est devenue comme caractéristique de la femme. Je ne comprends toujours pas pourquoi d’ailleurs. Je veux finir avec cet exemple. Les soutien-gorge une invention ridicule qui sert à embellir la forme des seins tout en les « soutenant » (il ne suffit que de faire nos recherche pour savoir que les seins ne sont pas fait pour être constamment soutenu). cependant, nous savons tous que cet invention qui sert majoritairement à mettre en valeur les seins est porté par la plupart des femmes, sauf quelques jeunes rebelles, seulement parce qu’on leur a dit. N’est ce pas triste ?