Éthique et politique – Cours 3
Travail par Félicya Lemieux, Pénélope Harvey, Constance Marion-Boileau, Mathys Perreault-Roberge et Ryan Lee
Leçon 5
Condamnation morale: Le jugement est une faculté de l’esprit qui permet de distinguer le bien et le mal. Autrement dit, le jugement est une opinion ou un verdict. La morale, par ailleurs, est associée au coutumes, aux valeurs, aux croyances et aux normes.
Le procès des sorcières est un exemple de condamnation morale. Par exemple, les femmes utilisant des herbes médicinales sont considérées comme des sorcières, justement parce que, d’un point de vue objectif, l’ignorance de ce concept incite une certaine peur. D’autre part, en 1326-1327, l’assimilation des magiciens et des invocateurs de démon au crime d’hérésie en est également un exemple.
Le concept de judiciarisation est la même que celui de la condamnation morale, mis avec une signification plus législative. Avec le transfert du pouvoir de l’Église à l’État, le nom a simplement changé pour correspondre à ce changement.
Le début de l’inquisition commence avec des rapports, des accusations, envers les grandes familles pour dilapider les revenus de l’Église. L’État a, par la suite, prit une partie de ce pouvoir.
Leçon 6
La science aristotélicienne reposent sur des qualités sensibles, c’est-à-dire de ce qui concerne nos perceptions et aux comparaisons. Un trait important est le fait que les objets ont une nature propre à elle-même, c’est-à-dire que, par exemple, une table est de nature lisse et lourde. La science galiléenne, quant à elle, repose sur des concepts universels où tout est en relation. Avec l’exemple de la table, elle est peut-être lourde sur Terre, mais elle ne le serait pas sur la Lune.
L’univers des superstitions s’apparente beaucoup au point de vue aristotélicienne, parce que justement, les individus de cette société perçoivent certains évènements sont nécessairement vérédiques selon leurs perceptions.
La science moderne, qui s’apparente à la science galiléenne, nous désensibilise, parce que justement, elle nous apprend à faire moins confiance à nos sens et davantage aux preuves.
La dualité des deux sciences aristotélicienne et galiléenne est comparable à celle entre le point de vue moderne et le point de vue du Moyen-Âge.