Myrtille Gajan, Kevin Sauvé, Cassandra Charrette, Ceriane Toure, Mya Roy-Royer.

  1. Il y a beaucoup de peur et de superstition à l’époque. La présence de ces peurs poussent certaines personnes à volontairement rester dans l’ignorance pour ne pas ressentir de la culpabilité. La connaissance crée l’angoisse, donc certaines personnes préfèrent rester dans l’ignorance, consciemment ou non. Plongé dans l’ignorance, elles se font guider et manipuler par les religieux et ceux qui sont plus érudit. C’est à cause de cette confiance plus ou moins mal placée que la peur des sorcières est apparus.
  2. L’Église était la principale influence à l’époque. C’est elle qui menait les idéologies prédominantes, les croyances et les fidèles la suivait aveuglément. C’est elle qui a vraiment institutionnalisée l’idée des péchés capitaux et inventée d’autres moyens de se faire pardonner. La présence des péché au sein de l’Église et au sein des croyances a contribué l’angoisse métaphysique. La figure du diable s’est retrouver beaucoup plus présent dans toute les aspects de la vie. La peur de l’enfer s’est beaucoup répandus à cette époque là.
  3. Les femmes sont alors accusée de faire des pactes avec le diable et de maitriser la magie noire. Avec la peur du diable et les superstitions instaurées, les gens croient aux histoires et au contes de fées aveuglément. Ils participent alors volontairement aux chasse aux sorcières encouragées par l’Église. La peur nous amènes à croire des trucs absurdes générés par l’imagination collective.

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