Style de narration
Pour l’écriture la rédaction, je vais utiliser un style plutôt original. Loin d’un texte informatif, j’aimerai me rapprocher du style sensibilisateur. Au cours de votre lecture, vous vous verrez plutôt comme un membre témoignant de l’histoire. Ainsi, ce que vous ressentirez sera plus authentique que ce que vous auriez ressenti en lisant un simple article qui se suffit à vous transmettre des informations. Ce qui style vise donc, évidemment, à vous rapprocher d’un réel concerné de l’histoire des autochtones. Bien sûr, j’ai pris soin de romantiser la narration de cette journée pour embellir la lecture. Tous les faits sont réels.
Récits des peuples autochtones
En réfléchissant à la situation des Autochtones, j’ai découvert des histoires qui montrent à quel point ils se battent pour protéger leurs droits et leur culture. Par exemple, j’ai lu des récits sur les pensionnats autochtones, où des enfants étaient arrachés à leurs familles pour être « assimilés ». Ces expériences montrent comment leur culture a été attaquée, mais aussi leur force pour résister et continuer à exister. Ces récits m’ont permis de mieux comprendre que les Autochtones sont souvent exclus de ce qu’on appelle « la justice pour tous ». Je voulais intégrer ces idées pour expliquer que notre société n’est pas vraiment juste si elle ne prend pas en compte l’histoire de ces peuples. En parlant de leurs luttes, j’ai voulu montrer que leur expérience pourrait nous aider à construire un monde plus équitable.
Lien avec les Berbères
Je me suis inspiré de mes origines marocaines pour faire un lien entre les Autochtones et les Berbères. Les Berbères, comme les Autochtones, ont été mis de côté après l’indépendance du Maroc et de l’Algérie. J’ai trouvé des informations expliquant comment les langues et traditions berbères ont été oubliées à cause des politiques d’arabisation. Au Maroc, par exemple, la langue berbère a été remplacée par l’arabe dans les écoles. En Algérie, des lois ont rendu plus difficile la pratique des traditions berbères. Ces exemples montrent que les Berbères, tout comme les Autochtones, ont dû se battre pour garder leur culture vivante. En comparant ces deux histoires, j’ai voulu montrer que la lutte pour la justice et la reconnaissance touche beaucoup de peuples à travers le monde.
Concepts philosophiques
En m’appuyant sur l’idée du contrat social de John Rawls, j’ai réfléchi à comment on pourrait inclure les souffrances vécues par des peuples comme les Autochtones et les Berbères dans notre vision de la justice. Rawls pense que tout le monde devrait décider des règles de justice sans savoir quelle est sa place dans la société. Mais en écoutant les histoires des Autochtones et des Berbères, je me suis rendu compte que ce modèle oublie les injustices déjà existantes. J’ai aussi utilisé l’idée de Jim Harrison sur les « écrans », qui sont comme des filtres dans nos esprits. Ces filtres nous empêchent souvent de voir la vraie souffrance des autres parce qu’on est influencés par notre propre vision du monde. Ces concepts m’ont aidé à expliquer pourquoi il est si important d’écouter les récits des peuples marginalisés et de les intégrer dans notre compréhension de la justice.
Source expliquant la politique d’arabisation et ses effets sur les droits culturels et linguistiques des Berbères : Morocco World News
Source analysant les tensions identitaires et la répression des mouvements berbères après l’indépendance : Middle East Institute
Pour le contrat social de John Rawls et la position originelle :
Sur la notion des écrans de Jim Harrison (analyse littéraire sur la perception et l’évasion face à la souffrance) :
Ma problématique tournera autour du contrat social qui ne conviennent pas à tous, des écrans mentals qui nous créent des distances avec les autres cultures e, pour finir, un lien avec les peuples berbères seront faites pour apporter du poids et prouver la réalité de la situation.