La faculté de rester soit même malgré les changements qui se passent dans nos vies.

C’est aussi une force d’évoluer grâce aux changements qui occurrent.

Figure de la sorcière : modernité – rationalité instrumentale – Mécanisme de répression : femmes – relation aux autres – violence 

Armelle le bras CHopard dit : si les bûchers ont cesser cest aps parce que la repression a cesser mais par ce que la société de droit fonctionnait et les femmes ce sont contrainte à ce quelle avait droit. 

Hip-hop : résistance politique – violence 

Bronx to / Martin Luther King (propose la non-violence)  / Malcom X (il accepte la violence) / (Kennedy) / James Baldwin (amour) / Bell Hocks (révolutionnaire féministe) / Davis 

Le hip-hop a réussi à amener un souffle nouveau à la résistance politique que ses penseurs n,arrivaient plus a amener (certains ont étés assassiné, le message est claire) 

Comment on arrive à être aussi révolutionnaire, mais demeurer aussi sexiste à la fois. 

Comment nous situer?

Moi, Jeanne : (Je ne suis pas une femme, je suis une guerrière) naître femme dans un monde d’homme c’est la guerre, mais naître dans un corps de femme quand tu en es pas une cest al guerre civile. Elle a été mise au bûcher parce que cétait une femme qui s’habillait en homme. Briser les catégories. 

Belle Hooks : (Elle dit : accepter la violence dans notre société cest accepter le patriarcat) pour elle il y a une corrélation entre les deux. Critique théorique : elle attaque tlm. Tout ce qui est déjà établit (tel le rap) a tendance à nous garder au statut quo. 

Connaisseur Ticaso : (années 90 / gangstérisme / tension entre la rue et le rap (violence) 

On doit trouver le juste milieu être trop en arrière ni trop en avant sinon on arrive à parler à personne. Personne ne se rejoint dans ce qu’on défend. 

Les conflits sociaux sont intériorisés. 

Rapport de domination : théatralisation de ces rapports. Pas de lien avec ce qu’on ressent, mais on ressent l’intériorisation des conflits. Indissociables, mais contradictoires

Définir le hip-hop :

Tension entre la rue (gangster) – rap (réussite) 

Pas le choix de dissimuler les attaques contre le pouvoir, critiques sociales. 

Lost x trappo- OT 

On écoute du rap mais on a souvent aucune idée de la charge politique que ca porte. Le rap est ca dernière option parce que la rue est pas vivable. (Trop de violence. Soit tu te fais tuer ou soit tu finis en prison) mais il y a certains rappeurs qui font juste des choses illégales pour avoir quelque chose à raconter dans leurs chansons. Tandis que d’autre on vraiment grandi dans la rue (la Hess) et il avait pas le choix de faire ses trucs parce que c’était tout ce qu’il connaissais. Ils ont pas les même enjeux Drake, Kendrick ou etc. Ils font de l’argent quand même si leur rap marche pas ils sont pas dans la merde. Alors que dans le rap montréalais c’est le rap ou la rue. 

Comment on se situer par rapport a cette réalité là, ce conflit là? 

Problème essentiel : on a pas le choix ditnerpréter leur message. Chaque rappeur dénonce des choses différentes alors c’est du cas par cas. 

Kendrick vs Drake : conflit directe. On tourne aps autour du pot on dit vraiment les vrai chose. 

Dissertation :

Damso / Nekfeu / Bigflo et Oli / Laylow / Josman

Débat entre les deux : chanson plus explicite vs engagée. Écrire comme un dialogue.

Pourquoi le Hip-Hop à plus fonctionner dans sa résistance que les penseurs de ces années?

Le bronx, développement du Hip-Hop.

Connaisseur Ticaso :

CONTEXTE HISTORIQUE – COURS 2

• Émergence dans le Bronx.
• Pour la résistance politique
• Le Hip-Hop amène un nouveau souffle à la lutte pour la justice.
• La violence amène un essoufflement à la résistance (meurtre Malcom X et autres penseurs)
• Société libérale dite « de droit »

Tension entre le libéralisme et le communautarisme :

• Hip-Hop : racine dans le communautaire.
• Réussite sociale : racine dans le libéralisme. On veut les mêmes droits (intégrationniste et capitalisme)
• Intégrationniste vs séparationisme.

Situer : Rap montréalais

• Lien entre le rap et la rue.
• On ne suit pas tant notre propre culture. (On écoute pas trop la musique québécoise)
• Peu de femme dans le rap montréalais.

Chanson : la vi ti nèg – Muzion

• Ils dénoncent les situations des personnes immigrantes. Propos politiques sur musiques dansantes (joyeuses)
• Refrain : la vie est pas facile, c’est pour ça qui faut nous rassembler.
• Montre à quel point la communauté est soudé et solidaire (communautarisme), mais marginalisé dans la société libérale (libéralisme). Tension.

On suit plus le débat entre Drake et Kendrick que ce que nos rappeurs ont à dire.

Musique : seul art qui peut traiter d’un propos politique ou engagement sur une musique dansante.

Approche théorique pour la résistance politique à ses limites et c’est là que le Hip-Hop entre en jeu.

Libéralisme :

• le libéralisme affirme la primauté des droits de la personne sur le Droit de la Nation ou de l’État. (on se protège individuellement de ce que la communauté pourrait nous imposer) création d’une société individualiste.
• On priorise la neutralité dans les espace publique (loi 21 : on ne va pas afficher notre religion, nos valeurs). Devoirs de réserve. Privilégier la neutralité et l’objectivité. On demande aux individus de se conformer à un model politique abstrait. prioriser la capacité à débattre et argumenter. Fonctionne pas quand ses des sujets de racisme et de ségrégation… (Legault peut pas dire : on va débattre du racisme, ça paraît mal)
• Les penseurs (comme Belle Hooks…) ont eu de l’effet, mais plus du côté abstrait de la résistance.
• …

Communautarisme :

• Le communautarisme implique l’idée que ce sont les communautés qui permettent aux individus d’exister et de donner du sens à leur vie.
• Il considère le vivre ensemble comme une interaction dynamique par laquelle chacun a des choses à apporter aux autres.
• Le cadre juridique offert par l’État devrait garantir le vivre ensemble.
• Le communautarisme demande qu’on prenne en compte l’altérité sans imposer le conformisme.

Résistance politique : avec quoi on lutte?

Modernité : société de droit.

• Il y a quelque chose dans la société de droit qui peut exclure. On cherche à se légitimer. C’est l’autorité qui détient le pouvoir.
• Pouvoir de l’ordre hégémonique contrôle disproportionné et très étendu sur l’organisation sociale. Exprime une vision dominante, mais pas si explicite. (Le pouvoir hégémonique s’immisce dans tous les sphères de notre vie.)
• On voit la violence dan les rapports concrets (violence policière…)
• Très difficile de faire la critique de la société de droit sur la place public parce que le pouvoir est hégémonique.

Robert Moses :

• Urbaniste du Bronx.
• Détient plus de droit que les autorités.
• Il fait déplacer les blanc dans les banlieues et les noirs dans des cités.
• Pouvoir hégémonique : difficile à identifier et à critiquer donc.

Hip-Hop :

Ce qui était une tension dans les années 50 devient une impasse dans les années 70 dans le Bronx.

• Plus de service sanitaire, plus d’école… Les gangs de rue ont pris le dessus.
• Tissu social détérioré.
• Peu de droits dans les faits.
• Les valeurs libéraliste donne rien et le communautarisme n’aide plus non plus (plus d’aide des autorités)
• Donc, naissance du rap et du Hip-Hop en 1973.
• Musique Block Party dans le MC.
• The Message politique : 1982.

Jef Chang :

• Livre : Can’t stop, want stop. À l’été 1977.

Bronx est en flamme : Pendant un match finale des série mondiale Dodgers – Yankees.

• Un caméraman film le feu à la place du match. Débat entre faire ce qu’il est supposé faire (filmer le match) et se qu’il veut faire (filmer la tragédie).
• Personne ne se rend dans le Bronx pour éteindre le feu. Pas de policiers ni pompiers.
• C’est les promoteurs immobiliers qui mettent feu à la ville.
• Société de jeu. Le match occupe la population donc on se rend compte de rien. Indifférence de la population. Déconnecté de la réalité.

Chanson : The Revolution Will Not Be Televised – Gil Scott Heron.

• Société du spectacle qui s’oppose.
• Critique un peu masquée des pouvoirs. Chanson qui a beaucoup été écouté sans en entendre le propos. Le pouvoir lui-même ne sent rend pas compte qu’il est en train d’être critiqué.
• On essaie de vendre l’individualité, être sur son écran plus que dans la communauté.

Reggie Jackson :

• 3 coups de circuit en 1977.
• Tombe dans une spirale auto destructrice.
• Tout le monde attend de lui qu’il soit parfait, statut de meilleur joueur au monde, mais conflit entre son conflit intérieur de personne noir qui est racisé.
• Il ne se donne plus droit à l’erreur.
• Les gens sont superficiels avec lui. Tout le monde l’idolâtre pendant les partie, mais l’ignore et le discrimine dans la rue.

Jackie Robinson : premier noir à jouer dans le ligue américaine. Subit les critiques de la foule aussi. Comparé à Rosa Parks. Lutte au côté de Martin Lutter King. Très seul dans sa rébellion.

Recherche

Damso :

Interview Clique x Damso : Clique Aime Like Follow

Dans la chanson MEVTR : « On a brisé les chaînes hier. Aujourd’hui, on brise le silence. »

Inspiré par le mouvement Black Lives Matters, Damso dit que ça lui a fait bizarre parce qu’on a brisé les chaînes, mais qu’on nous (les personnes de couleurs) a enchaîné avec d’autres choses et aujourd’hui on brise le silence. Par là, il veut dire qu’à chaque fois que tu essaies de t’émanciper, c’est comme si on te créais un anus pour te la mettre. à chaque fois, il y a le même combat, il faut toujours s’émanciper de quelque chose, c’est jamais fini.

Dans la chanson LIFE LIFE : « J’compte plus les anniversaires que j’ai manqués. D’ailleurs c’est celui de ma mère en ce moment. Mais faut charbonner, faut que je paye ses médicaments. »

Sa mère souffre d’une maladie rare et donc ses médicaments coûtent cher, ça demande de la tune et il dit que s’il avait seulement travaillé dans une épicerie, il n’aurait jamais pu payer pour. C’était l’anniversaire de sa mère qui il a enregistrer ce son et il n’est pas allé la voir. Il se met de la pression parce qu’il doit cartonner. C’est sa réalité.

Il a vécu beaucoup de choses traumatiques dans sa vie, la guerre, l’exile à Kinshasa, le retour en Belgique et vivre dans la rue et tout d’un coup il est millionnaire. Pourtant, il n’est affectés par aucune de ses choses. « C’est pas des problèmes, c’est le game. La vie, elle est courte, ça va très vite. J’ai pas cette crainte de quoi que ce soit. » Il dit qu’il s’est fait planter, mais qu’il n’avait pas peur. « C’est arrivé, tu continue. » Son but est simplement d’arriver à ses objectifs. Il se considère de quelqu’un de simple, il a besoin de peu. « Si demain je fais un album, ça floppe, c’est pas grave. » Il pense toujours positivement, on ne peut pas facilement l’affecter. « C’est cool, mec. » Il a envie de profiter de la vie qu’on ne lui propose jamais vraiment, sa finalité est d’arriver à être bien et simplement. « On te proposes un gros bouquet, mais avec pleins d’épines que tu ne vois pas. C’est seulement quand tu prends le bouquet dans tes mains que tu commences à saigner comme un porc. Moi, ce que je demande, c’est au contraire la plus petite fleur, qui cache rien, mais je suis bien. »

L’épine qui lui fait le plus mal c’est de voir les autres se mentir et essayer de lui vendre leur mensonges comme si c’était la vérité. Les gens qui ont la grosses vies, mais qui sont malheureux et qui essaie de te vendre leur vie comme si c’était la meilleure, alors que ceux qui ont la vie la plus simple. les objectifs les plus simple sont souvent les meilleurs pour soi.

Dans la chanson LIFE LIFE : « Un fils de pute doit pas s’excuser. Après tout, ta mère ne voulait pas d’enfants. »

« On a tous des raisons d’être devenus ce qu’on est devenus. On l’oublie facilement. Par rapport au parcours que la vie lui a imposer, même avant de naître. |…| Il faut rien attendre des gens, pas parce que les gens sont mauvais, mais parce que ce sont des personnes à part entière et qu’ils ont leur caractères, leur façon de fonctionner. » Ce qui est positif ou négatif est relatif à chacun parce qu’on est des êtres différents. Il attend ni pardon, ni excuse, ni gratitude, ni fidélité, rien des autres.

Dans la chanson SENTIMENTAL : « Pourquoi c’est si dur, de baiser sans se faire de mal? »

Pourquoi c’est si dure de baiser sans se faire de mal à soi-même. Certaines meufs lui ont dit qu’elles ne pouvaient même pas parler de certains de leur fantasmes à leurs mecs parce qu’elles vont être vu comme une pute. Tu peux même pas t’épanouir avec ton mec, de peur qu’il te prennes pour ce que tu n’es pas. Alors que c’est juste ton corps qui désire faire des choses. « Si t’as envie d’aller plus loin, fait le, et si ton mec te regarde bizarre, c’est pas toi qui l’est, c’est lui. » Souvent, on considère que le sexe c’est d’appartenir à l’autre et c’est comme ça qu’on se blesse parce que l’autre a pas nécessairement les mêmes attentes.

Il parle à son fils comme si c’était un adulte, alors qu’il a trois ans et demi. Il lui apprend à bien s’exprimer parce que : « Au plutôt il saura parler, au plutôt il sera demander ce qu’il veut. Et au plutôt il pourra demander ce qu’il veut, au plus tôt il pourra avoir ce qu’il veut. Il doit bien savoir parler et très très bien s’exprimer, rien que pour lui-même. Quand t’as quelque chose de clair en tête, c’est plus facile de l’avoir. »

Dans la chanson COEUR EN MIETTES : « Corona à la Lèpre, l’Afrique cesse pas de renaître. Je suis parti en courant aux « Mains en l’air, pas un geste. » »

C’est normal un Africain qui meurs. Voir un Africains mourir ça ne fait plus rien. C’est devenu trop normal.

Les États-Unis ne l’intéresse pas, ce qui l’intéresse c’est : « Cet Afrique que j’ai vu depuis que je suis petit, où il y a une violence extraordinaire dont on ne se rend pas compte. D’ailleurs, moi-même j’y étais exposé parce que parler de ce genre de choses et aller au pays, tu peux crever, c’est pas des blagues. Quand tu dis des choses comme ça, j’en suis conscient, et ça arrivera un moment donné et je continuerai à le dire parce que j’en ai rien à foutre. »

Il y a tellement de personne qui pourrait lui faire du mal juste pour avoir dit ça, parce que les gens les plus dangereux sont ceux qu’on ne voit pas. Tout les riches qu’il y a là-bas, les milliardaires, les mafias qui utilisent les minerais, les enfants, de manière très violente. Il y a des problématiques très grave que le Docteur Mukegi à déjà exposés et qu’il soutient, mais que plus ces choses là sont mises en lumière, plus c’est dangereux. « Personne n’en parle, surtout pas les artistes parce que c’est dangereux, mais quitte à se faire buter, autant mourir de ça. Ça ne peut pas continuer. » Il y a des guerres qui tuent des millions de personnes et c’est considéré normal simplement parce que c’est en Afrique. Il faut réfléchir à ce qu’on dit, il faut arrêter de dire que c’est logique et réfléchir au chiffre qu’on est en train de dire. Ce n’est pas normal, comme on essaie de dire. Et tout ça pour des téléphones, des diamants, c’est pas pour des trucs de fou qui sont indispensable comme l’eau potable ou autre.

C’est la phrase de Staline : « Un homme qui meurt c’est une tragédie, des millions c’est une statistique. »

Juste en disant ça dans l’interview, c’est très dangereux, mais il le dit quand même.

Dans la chanson BPM : « Je m’en bats les couilles que t’aies fait la Sorbonne. Moi, j’ai rien fait et j’ai le salaire de tout le personnel réuni. »

C’est l’argent qui gagne dans le monde où les gens pensent que c’est les études. Tu peux faire toutes les études du monde, et c’est quand même l’argent qui gagne au final. Il n’a pas de complexe intellectuel par rapport à ça puisque de toutes façon la connaissance des humains que représentent même pas 1% de ce qui est possible de connaître. Même si tu es à 0,1% ou 0,5%, ça donne rien d’être complexé pour ça. La connaissance est presque infinie, donc il faut avoir du recul. Ça donne rien de jalouser quelqu’un qui connait plus que toi.

Il a acquis une confiance en lui simplement en regardant le monde qui l’entoure. il dit : « Comment tu veux ne pas être confiant? Autour, il y a des bâtiments, le but c’est d’acheter ton bâtiments et d’aller en vacances où il y a pas de bâtiments, où il y a les plages. Comment tu veux ne pas avoir confiance quand tu vois comment on est paumé? On a réussis à mettre des prix pour mes mètres carrés. Un moment donnée faut comprendre le concept. On crée des design très complexe avec des matériaux où il y a des gens qui meurent pour le avoir et on te dis c’est trop stylé. Comment tu veux ne pas être confiant? Tu ne peux pas ne pas avoir confiance en toi dans le monde dans lequel on vit, c’est impossible pour moi. L’être humain ne peut pas me faire peur. Finalement, c’est juste des moqueries, c’est pas grand chose sur le temps, c’est rien. On a juste un peu déréglé les choses, c’est ça le problème. On est devenus très bête à cause des gens très bête qui dominent depuis trop longtemps » Notre niveau s’affaissent. On s’entretue pour du carburant. On est dans la merde à cause de gens très bêtes. On pourrait éliminer la famine en un claquement de doigt, alors que certains vivent avec des milliards.

QALF c’est une philosophie. Fait ce qui te plaît jusqu’à ce que ça plaise aux autres. Fait toi plaisir. Émancipe toi de tout ce qu’on peut te dire. Toi t’aimes, c’est l’essentiel. Les batteries sont rechargées.

« Faire passer le travail avant l’amour. » …

Interprétation :

Damso à vécu tellement de choses dans sa vie qu’il a appris à ne plus être affecter par ce qui lui arrive. Il s’est crée une carapace parce qu’effectivement le monde dans lequel il a grandi est dur.

Hip-Hop : cours 2

James C. Scott – Ethnologue américain 

Révolution populaire : défient une critique ouverte du pouvoir

La domination et les arts de résistance : 

• Comment expliquer qu’un groupe donné puisse se révolter face à une opposition violente – armée

Politique : hégémonie des pouvoirs 

Intra politique : caché

Rapport de domination – public 

• Grille qui permet d’interpréter des mouvements de résistance caché. Car la contestation du pouvoir ouverte met la vie en danger des personnes. 

Hip-hop : critique ouverte du pouvoir mais par la culture, par l’art. Propos dissimulé car sinon ils sont en danger. En mode passif agressif. 

Discours texte public :

Contexte sociaux : rapports de domination (figure du père) : hiérarchie.

À cause de la domination : on dit pas nécessairement ce qu’on croit. On masque nos sentiments.

James C. Scott : Ce que les dominés disent en présence des dominants et ce que les dominants disent en présence des dominés sont deux choses distinctes. Souvent pas cohérentes.

On se force à jouer le jeu du rapport de la domination. On joue sur la ligne, sur la limite entre l’insulte et le laisser-aller sans pour autant traverser cette limite.

En restauration : On pense au fait que «le client à toujours raison» on essaie de faire le mieux pour leur faire sentir qu’on est d’accord avec eux.

Discours texte caché :

James C. Scott : ce que les dominés disent entre eux et ce que les dominants disent entre eux sont deux choses distinctes. Souvent pas cohérentes.

En restauration : Quand on se retourne enfin de la table, c’est la qu’on peut lever les yeux au ciel, être exaspéré.

Donc, l’important est que chaque groupe change sont discours selon qui l’écoute. Les dominés vont bitcher entre eux sur les clients, mais vont peut-être se plaindre à l’administration (mais dune toute autre manière)

Histoire du Hip-Hop :

‘70 à ‘92 (Fuck the police)

En ‘92 : il y a une confrontation avec le pouvoir qui est explicite et directe, après autant d’années à vivre dans le silence.

Public Enemy – Fight The Power :

’88 : Spike Lee.

« Fight the power »

« Freedom of speech. Freedom of death »

« Make everyone see »

• Le discours est très explicite, mais il est rendu acceptable par le publique à cause de la musique.
• On montre l’histoire des droits civiques (figures comme Martin Luther King, Malcom X…)
• On montre pas l’effet sur les dominants (pas de violence des policiers…)
• Effet d’une fête. Clip vidéo.
• Communautaire. Personnes noirs.
• Art
• On met en scène une manifestation pour la lutte pour la justice. Une telle manifestation aurait jamais pu réellement être possible dans ces années là.
• La vidéo fait rassembler les gens qui ont les même opinions pour lutter ce qu’ils subissent tous.

Ce qui choc le plus les blancs c’est pas le fait qu’on « Fight The Power», c’est qu’on traite Elvis et John Wayne qui sont blancs, de racistes. On attaque des figures symboliques.

• Commercialisé
• Sphère de la fiction

On attaque le pouvoir, qui est une théorie abstraite. Tandis que certaines chanson attaques des dirigeants en les nommant directement et l’effet est plus brutal. Nommer explicitement

Old rap battle

Les rap battle ont une fonction de résistance politique très importante. Ils y a une rivalité entre eux très théâtralisée.

Il n’y a pas vraiment de règle du jeu. Celui qui garde son sang froid le plus, gagne.

But : Sert à se défouler et à régler les conflits en évitant la violence. Organiser la vie communautaire. Régler les problèmes communautaires hors de la violence. Gagner le respect des autres. (Jeu à double tranchant parce que plus tu insultes plus tu te rapproches mais plus tu peux offenser les autres)

Method Man Battling James Corden

Comme Method Man était pas dans sa communauté, c’est une assemblée blanche et il clash James Coréen (un blanc), il reste dans la retenue. Il semble s’empêcher de dire ce qu’il pense vraiment.

Method Man ici est le dominé. Il est comme le serveur du restaurant qui d’empêché de dire ce qu’il pense au client. Il se censure comme si, s’il usait finalement ce qu’il voulait dire, ça allait pas passer.

James Corden est le dominant. Il ne s’empêche visiblement pas de clasher Method Man. Il a aussi l’appui de la foule avec lui qui le supporte donc il y a un rapport clair de domination entre les deux.

l’hégémonie des pouvoirs est tellement infiltrée dans toutes les sphères de notre société que certains ne verront même pas qu’il y du racisme dans ce rap battle.

Par exemple, Taylor The Creator est plus acceptable que Kendrick Lamar parce que dans sa musicalité et ses paroles, la signification de ses paroles s’est plus acceptable et moins brute que Kendrick le serait avec son « Gros rap » et sa musique clash.

Certains rappeurs sont plus mainstream que d’autres parce que peut-être qu’ils sont plus capable de dissimuler leur critique, tandis qu’on ne mètrerais pas de l’avant des rappeurs qui sortent de prisons pour mérite et qui ne parle que de drogue et de viol dans leurs sons.

Missy Elliott – Work It

…

Dissertation

Nekfeu : les étoiles vagabondes. Cheum. De mon mieux. Le bruit qui court…

Nekfeu, déjà 7 ans de combats politiques, entre polémiques et justice sociale – Interlude

Nekfeu et le racisme – liste de 16 morceaux – SensCritique

Nekfeu et le S-Crew : « Le rap a toujours été une musique de révoltés» – Les Inrockuptibles

En approfondissant mes recherches sur Damso, particulièrement en écoutant certains de ses interviews, j’ai réalisé qu’il avait des raisons légitimes de rapper comme il le fait. C’est pourquoi, au départ j’avais l’intention de me pencher sur le cas de deux rappeurs qui ont une discours très différents comme Damso et Nekfeu, qui dénoncent tous deux le racisme et d’autres enjeux importants, mais dune manière totalement opposés. Donc, pourquoi les deux ont choisi de le faite de cette manière.

Mais alors que mes recherches sur Damso s’approfondissait, mais préjugés sur ses chansons et ses paroles changeaient. Je ne voyais plus seulement le rappeur clash qui essaie de choquer la population avec ses paroles crues, mais le rappeur qui parle des choses brutales qu’il a vécu dans sa vie, tels qu’ils le sons réellement. Il ne censure pas ses paroles, car la censure n’existe pas dans le monde dans lequel il a grandi.

C’est pourquoi j’ai décidé de me pencher davantage sur son cas et d’approfondir mes recherches sur lui plutôt que sur deux rappeurs. Il y a suffisamment à dire son propos.

Comment ça serait de pouvoir avoir un interview avec lui? Sans doute incroyable.

Idée : faire une dissertation qu’avec ses punch line.

Damso :

Interview : SPOTIFY x Damso | Damsolitaire

Est ce qu’on peut considérer le silence comme un son? : «Le silence je sais pas, mais la résonance du silence, ça oui. C’est apaisant. C’est l’absence de tout jugement toutes critique et tout superflue. »

Il voit et entend la musique partout, dans le basket même. Dans la cloche des église, jusqu’à quand il écoute des sons. Il entend la guitare à gauche, la basse à droite et la synthé à travers.

Au studio, au moment de la création, c’est la qu’il sent l’énergie de ses sons. Mais c’est pas quand il sort sa musique, quand il a finalement l’album dans ses mains parce que c’est comme s’il perdait une partie de lui-même. Il faut qu’il le fasse pour lui. Il faut qu’il se foute de l’avis des autres. Pour être capable de l’apprécier, être capable de chanter en concerts et autres. Ceux qu’ils ne le font pas pour eux, ils se perdent dans la musique.

Nwaar is the new black : il cherche l’équilibre du point de vue

« Quand je commence à écrire un mot pour moi, je vais pas raconter de la merde. »

Il veut raconter ce qu’il a vécu. Il ne veut pas commencer à parler de fiction, ça peut lui arriver, de gonfler la vérité ou de divaguer un peu en transformant le vécu et le mettre sur une grosse basse. « Ça fait des belles rimes. »

Mais quand ca devient un sujet un peu intime, il se contente de vérité crues, de manière frontals, par rapport à ce que lui à vécu.

Il lit des livres qui lui permet d’être cultivé un minimum pour pouvoir comprendre et éviter d’être bête. « C’est en étant bête qu’on abime le monde. » C’est important pour lui de lire.

« On est arrivé dans une vulgarisation de la musique qui fait que ce qui est le plus intéressant c’est pas les mots scientifiques , c’est les mots de tous les jours, mais placés dans un contexte différent. »

Type de prod qui demande moins d’attardement dans des longues phrases et dans des punch line plus complexe. Pour certaines prod c’est mieux d’avoir des punch line plus courte et des mots plus basiques. C’est un mélange.

Les gens deviennent paresseux et c’est très dangereux. Ça enlève tellement de choses.

Certains livres permettent de comprendre pourquoi être homophobe ou autre sert à rien. On doit à voir une ouverture d’esprit qui favorise le changement sur la durée. Voilà pourquoi c’est important de lire.

Les gens s’écoutent plus parler qu’autres choses et pour le déconstruire ça prend plus de 30 secondes. Ils ont un avis et ils veulent qu’on approuve l’opinion qu’ils ont de toi (des autres). C’est le concept de fanatisme.

Il faut beaucoup d’énergie

« Dans un monde où les mauvais règnent, faire le bien te prendra toujours plus d’énergie. »

On a tous une raison d’être devenu ce qu’on est devenu.

On ne peut pas juger quelqu’un par sa manière de marcher parce qu’on ne sait pas si elle a subi une opération, si elle a un problème quoiqu’oncques. On doit analyser son comportement.

Il dit des choses dans ses textes qu’il ne pense pas nécessairement parce que c’est de l’art. Ça fait des flows, des rimes, mais c’est de l’art. Il y a certaines choses qu’il ne se permettrait jamais de dire dans la vraie vrai.

Dire d’une meuf qu’elle « pue de la gueule » c’est de l’art qu’il peint avec les mots. Il ne s’autoriserait jamais de dire ce genre de choses quand il rappe ou quand il parle. Et il le sait. Et il trouve ça très difficile faire comprendre aux gens.

À propos de la Chanson : MA PUTAIN

« Ma mère, la seule fois où elle m’a donné un avis, je l’ai repoussé timidement. Elle m’a fait ouvrir la bible. Je lui ai dis non. Désolé maman, mais si toutes les fois où tu me vois, je parle bien, je m’exprime correctement et je manque de respect à personne, alors c’est bon, t’as fait ton job. Quand je fais de la musique, c’est le seul endroit au monde où je peux m’exprimer. »

« Bizarrement, plus tu montes plus on essaie de t’enlever ce moyen d’expression. C’est pour ça que j’écris pour moi. Parce que c’est le seul endroit derrière le micro où je peux dire ce que je veux. »

Pour le mettre sur les plateformes, évidemment il y a des règles. Il y a une certaine censure. Tu peux pas faire ce que tu veux.

« Il y a tellement de peinture qui valent combien avec des meufs à poils, ça voulaient pas dire que le mec était forcement obsédé. »

« C’est quelque chose qui ne m’intéresse pas, qu’on comprenne ce qu’on pense de moi ne me regarde pas. Je refuse de me laisser toucher par ça. »

C’est quelque chose qui frêne l’inspiration, parce quand tu écris maintenant tu attends l’approbation des autres. C’est là le piège. Tu vas peut-être faire un Hit, mais à quel prix.

« Tu te lèves pas le matin comme tout le monde quand tu t’es vraiment écouté toi même plus quand t’as écouté les autres. »

« Les gens ont droit de penser ce qu’ils veulent. Faut pas attendre de tout le monde qu’ils aient une vision très saine de moi ou de mon fils. C’est dans mon devoir à moi de pas me laisser distraire par les futilités, les imbécilités. »

« On est jamais insensible à la flatterie. J’ai essayé de me distancer de ça, mais on est jamais insensible. C’est très dur, j’essaie toujours de mettre une barrière, mais c’est très dure. La meilleure barrière c’est de trainer avec peu de monde et des gens qui t’aiment vraiment. »

Il a un manuel d’émotions, il note toutes les émotions à travers lesquelles il passe. Il a vu des micros changements quand son fils était là versus quand il ne l’était pas. Sa nervosité constante quand il était là qui viens d’une surprotection. Ça la changer, en bien.

Il est un mec de plans, mais avec son fils, c’était impossible de faire des plans sur ses émotions.

La caravane : sont plan depuis 8 ans. Le moment où sont travail deviens un hobbie. Qu’il fait de la musique par simple plaisir. Le Game le rattrape inévitablement et ça lui empêche d’avoir une certaine énergie créative. Il veut trouver un autre côté à sa musique parce que le côté de la pression il le connait, il veut découvrir le côté de faire des sons par plaisir.

De la chanson LIFE LIFE : « Pourquoi t’as peur de vieillir. La mort c’est bien vu que personne ne revient. »

Beaucoup de gens ont peur de mourir, mais c’est dommage d’avoir peur toute sa vie de quelque chose qui est inévitable. Donc, essaie de voir le bon côté des choses. Les rides marquent ton histoire, les cernes et les rides ont sait ce que ça veut dire.

« Je fuis le mot heureux, mais je suis quotidiennement bien dans ma vie. »

« Si tes paresseux, faire le bien ça demande trop d’effort alors tu fais juste le mal. »

Dissertation :

3 parties : L’évolution de la signification de ses paroles pour moi.

• quand j’écoutais ses chansons en pensant qu’il dénigrait les femmes, j’écoutais ses chansons en me concentrant sur sa musicalité plus que ses paroles parce que ses paroles sonnaient pour moi vraiment horrible.
• Quand j’ai appris sa manière de s’exprimer. Quand j’ai approfondi mes recherches à son sujet et qu’en écoutant des interviews j’ai compris la signification derrière ses punch lines hard.
• Maintenant que je comprends pourquoi il dit certaines choses de la manière dont il le fait, ça me permet d’écouter ses chansons d’une toute autre manière. Avec un regard plus objectif, qui me permet de ne pas voir peut-être la punch line blessante mais de comprendre ce qu’il cherchait à dire en écrivant ça.

Sampling des paroles de Damso pour s’imprégner dans sa manière de penser, de s’exprimer. Pour vraiment comprendre comment il réfléchit que plutôt comment on pourrait interpréter ses paroles. Car en interprétant seulement ses paroles, c’est trop facile d’être offensée par ce qu’il dit. Pourtant, comme il le dit si bien, il ne rappe que la vraie vie.

Les chansons de Damso sont considérés comme Intello et Sale.

Autant il traite de sujet rude et important, autant il utilise des terme dégradant et parfois dure à entendre pour le faire.