Le problème de la reconnaissance (la réconciliation)
Histoire du colonialisme : Ps (découverte du nouveaux monde/l’arriver de Christophe Colomb)
L’histoire est raconté par les dominants.
Il y a des barrière qui nous empêche de comprendre totalement les première nations.
On est instituer d’une certaine manière avec des règles/lois/normes, ça crée un clash quand on prend et ce renseigne sur la culture Autochtones. On ne pense pas de la même manière , il y a des sentiment différent, une relation avec la nature différente…
Ex: un ingénieur forestier ressent un inquiétude face à la pérennité de la forêt $$$.
Ce que j’ai déjà entendue de la par d’une membre d’une première Nation:
« Mother Earth know what to do, the river know what to do,…, if we die, Mother Earth still know what to do…»
On peut donc travailler sur nos sentiments et barrière. Enquêter sur ce malaise.
Qu’est-ce qui m’empêche d’avoir une relation avec les Autochtones?
Nous sommes face à une impasse : on est pris dedans, au prise avec cette question.
Histoires des relations:
Le rapport Viens (2019)
AUTOCHTONES(des gens) vs SERVICE PUBLIC(l’état/administration/gestion)
*Nous avons une idée de progrès comme si dans l’histoire on ne fait que s’amélioré
1850-1890 : Souveraineté, Canadienne.
L’État légitime son autorité.
-Exploitation du territoire
-Reserve/Administration
-Assimilation
-Statue d’«Indiens»
-Lois sur les «Indiens»
Logic colonial 1970
Dépendance – Cause l’exploitation des ressources. Pas le choix (soumis) Rapport de dépandence.
Principe de responsabilité (sur leur survies)
Intégrationisme(Intégré la société de droits) = Perdre sa culture/droit
Ils sont considérer comme des enfant, incapable de ce débrouiller.
Ils ont garder leur statue d’indiens car si non il devrons intégré la société de droit. Ce qui veut dire que présentement il non pas vraiment de droit. L’État a donc un pouvoir sur eux(rapport de dépendance).
La lois à créer le besoins, et le besoin fait en sorte qu’ils sont besoins de lois. Cela légitimité l’action. -Il faut les aidées car ils ont besoins d’aide. (Besoins que nous avons crées)
Pour ma rédaction:
UNIKKAUSIVUT : TRANSMETTRE NOS HISTOIRES
Analyse/observation de mes cahiers d’histoire:
J’ai débuter par la lecture du cahier avec la matière à l’étude pour les secondaire 2.
J’ai ensuite remarqué que les sujets aborder sont très semblable à celles qui est enseigner dans mon cour d’HISTOIRE DU MONDE DEPUIS LE XVE SIÈCLE(qui avait fait l’objet d’une réforme)
Faire une comparaison?
La rencontre de deux mondes
De plus, les échanges aurait permis aux première nation d’entretenir des échanges économiques qui permettent la création d’alliances.
Par la suite on précise que l’arriver les Européens viens bouleversé les relations que le peuples autochtones entretienne entre eux.
En même temps ce créer une « économie monde » c’est à dire que les échanges commerciaux ce fond à l’échelle planétaire. Ce système ce bas donc sur l’exploitation des ressources naturelles des colonies au profit des métropoles(pays qui possède des colonies).
Les empires coloniaux et le mercantilisme.
L’objectif d’une Métropole est d’accumulé le plus d’or et d’argent possible, ce qui un symbole de puissance. Leur puissance dépend donc donc des « richesses » des colonies.
Les européens met par la suite en esclavage de nombreux « Amérindien »(mots employé) pour travailler dans les plantation de coton et de canne a sucre.
Les conséquences de la colonisation sur les Autochtones.
Ensuite on ne reparle plus de la condition du colonialisme ou de la culture Autochtone
chapitre : L’AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE VIE
Rendue à la page 161
…
Le livre décrit comme si c’était un besoins pour l’Europe de coloniser
Cahier secondaire 3
Début des échanges entre Autochtones et Européens
« Les Autochtones entrent peu à peu en contacte avec les Européens qui débarquent sure les côtes pour sécher leur poisson ou pour extraire de la graisse des baleine. Ils établissent aussi progressivement des échanges commerciaux et commencent à fair du troc. »
La perspective des Autochtones dans les échanges
Les autochtones appréciait certains produits européens en particulier les outils qui rendent leur vie quotidienne plus facile.
De même les algonquiens occupés à chasser les animaux à fourrure qu’offrez moins de viande que le gros gibier doit désormais combler leurs besoins alimentaires par le troc ils intensifient leurs échanges avec les huron Wanda afin d’obtenir davantage de produits agricoles.
L’introduction des produits européens dans les réseaux d’échanges déséquilibres les rapports commerciaux en place chez les autochtones les nations qui commercent directement avec les Européens sont avantagées, car elles deviennent des intermédiaires auprès de des autres nations. Cette nouvelle réalité commerciale contribue à créer ou à accentuer des rivalités et des tensions entre certaines nations autochtones voire des conflits armés.
Les premiers contacts que les autochtones et les Européens établissent ont lieu sur les côtes. En effet, Les Européens s’installent temporairement pour chasser et faire des provisions pour leur voyage de retour. Les autochtones recherchent surtout des objets de luxe superflu. Quant aux autres aux Européens, ces échanges commerciaux leur permettent d’obtenir des fourrures celles-ci proviennent surtout de la chasse aux caribous et à l’orignal.
Des relations plus étroites entre première nation et français :
au début du XX siècle 17e siècle, la traite des fourrures est une activité commerciale qui s’intensifie. Elle est rendue possible grâce au partenariat établi avec les premières nations, qui joue un rôle fondamental dans ce commerce.
L’alliance Franco amérindienne de 1603 :
afin de consolider les liens commerciaux déjà établis les inuit les algonquiens il est malécites accepte de conclure une alliance avec les Français à Tadoussac en 1603 cette alliance assure à ses premières nations un approvisionnement en produits européens tout en leur fournissant un partenariat militaire contre des nations unies. Aussi elles deviennent les intermédiaires commerciaux entre les Français et les autres nations ils permettent aux Français de s’établir sur leur territoire Les Français voient essentiellement dans cette alliance un moyen d’assurer leur approvisionnement en fourrures,
l La guerre iroquoise dans la première moitié du 17e siècle :
à cette époque la Confédération iroquoise mène plusieurs attaques contre les établissements français de la vallée du Saint-Laurent et contre les premières nations alliées aux Français.
Acculturation :
processus par lequel on adopte en totalité ou en partie des comportements culturels étrangers.
Bien que certains autochtones se convertissent à la religion catholique plusieurs d’entre eux malgré l’insistance des missionnaires conserve certaines pratiques et croyances issues de leur spiritualité traditionnelle. Les autochtones maintiennent aussi à cette époque des aspects importants de leur culture comme leur langue et leurs organisations sociales et politiques.
Aussi, la cohésion des membres des premières nations et des français sur le territoire entraînent des unions. De ces unions naissent des enfants métis.
L’économie de la nouvelle-france repose toujours essentiellement sur le commerce des fourrures, mais l’intensification des attaques iroquoises nuit aux à ce commerce. L’hymne nation ou la dispersion de certaines nations autochtones fait en sorte que le commerce de fourrures est compromis et traverse une période difficile.
En 1653 virgule le jésuite Le Mercier d’écrit l’impacte des guerres hongroises sur le commerce des fourrures :
jamais il n’y a eu plus de castor dans nos lacs et dans nos rivières ; mais jamais il ne s’en est moins vu dans les magasins du pays. Les magasins de Montréal n’a pas acheté des sxxxxxx Autochtone un seul castor depuis un andans les magasins de Québec ce n’est que pauvreté ce sont les iris iroquois, dont il faut se plaindre : car ce sont eux qui empêche tout le commerce de castor. Page 94 du manuel.
Secondaire 4
Les premières nations dans la Dominion du Canada
Le traité numéroter et la création des réserves dans l’ouest.
L’arrivée des milieux milliers de colon à la construction du chemin de fer réduisent les territoires autochtones de chasse et de pêche. C’est dans ce contexte difficile que les pronations de l’ouest acceptent de signer des traités avec le gouvernement du Canada. À partir de 1871 le Canada et ses nations concluent 11 traités, appeler traité numéroté. Par ces traité, les premières nations sède au Canada d’immenses territoire. En échange, le gouvernement propose aux premières nations d’instaurer des réserves. Il leur garantit des droits de chasse, de pêche et de piégeage. Il leur promet aussi certains services, comme des soins médicaux, et de l’aide financière et alimentaire. Il fournit aussi des outils agricoles afin d’inciter ces populations à adopter un mode de vie sédentaire basé sur l’agriculture.
Les missions catholiques et protestantes
à partir des années 1840, la majorité des missions catholiques sont fondées par des missionnaires oblats. C’est missionnaire sont souvent aidés de gros grég nation féminine comme l’essor de la charité. Des missionnaires d’elba sont présentes dans l’est et dans l’ouest du pays.
Les premiers pensionnats indiens :
démissionnaires chrétiens sont à l’origine des premières pensionnats pour autochtones au Canada. Au milieu du Xe siècle, les pensionnats deviennent une structure officielle d’assimilation des autochtones à la culture occidentale. Dans les pensionnats les enfants autochtones sont éduqués à la religion chrétienne et ils apprennent la langue et la culture des colonisateurs. Les pensionnats isolent les enfants d’autochtones de leur famille et de leur communauté dans le but de les amener à abandonner leur langue, leurs croyances et leurs coutumes.
La loi de 1869 qui impose le Conseil de bande :
première loi qui définit le statut d’indien, établir que ce statut est inférieur à celui des citoyens canadiens et propose aux autochtones de s’émanciper il d’obtenir des droits identiques à ceux des non autochtones dans les années 1860 le gouvernement fédéral souhaite implanter chez les premières nations une organisation politique comparable au système municipal des villages du dominion. Toutes ces mesures on a même objectifà; l’assimilation des populations autochtones.
En 1869 le gouvernement fédéral adopte l’Acte pourvoyant à l’émancipation graduelle des «sauvage» (autochtone)
S’émanciper :
pour une personne mineure obtenir le statut d’une personne majeure. Dans le cas des autochtones, obtenir, dans la société canadienne, un statut équivalent à celui des noms autochtones
la loi sur les indiens 1876
Cette loi traduit la volonté du gouvernement canadien d’accélérer l’assimilation des autochtones. Elle traite de plusieurs aspects de la vie dans les réserves, comme l’élection du Conseil de bande.
La loi sur les indiens de 1876 fait des autochtones des personnes mineures sous la tutelle du gouvernement. Avec cette loi, les autorité peuvent intervenir dans plusieurs aspects de la vie des autochtones par l’entreprise des agents des affaires indiennes. Ceux-ci sont chargés d’encadrer la vie dans les réserves. Cette première loi sur les indiens sera révisée à plusieurs reprises au cours du 19e et du 20e siecle.
Lecture : Seule la terre est éternelle de Jim Harrison
Passage intéressant:
Je crois que tout ce que j’ai appris sur les premiers habitants de l’Amérique au cours de mon existence s’est rassemblé en une masse d’anecdotes, un agrégat peu orthodoxe qui ne me permettrait sûrement pas d’obtenir la moindre unité de valeur en faculté, mais qui excède néanmoins les connaissances de 99,999% de mes concitoyens, lesquels se voilent résolument la face devant les péchés commis par leurs ancêtres au détriment de ces gens. Nous devons accepter le fait que la plupart d’entre nous souhaitons connaître seulement ce qui nous convient, et que les pédagogues n’ont fait que de timides percées dans cette direction. J’ai récemment demandé à un ami indien dans quelle mesure il se désespérait de nous voir incapables d’apprendre la moindre chose sur son peuple, aussi simple soit-elle. Il m’a répondu qu’il n’était pas désespéré parce que le fait d’accepter la responsabilité des torts commis est une idée religieuse et qu’il n’avait pas remarqué de religion « en activité » dans la culture moderne. Il a ajouté que, sans cet élément de bonne volonté, tous les problèmes devaient être traités d’un point de vue légal, parce que c’était là le seul langage efficace pour le changement social. Quelle tristesse… Aucune justice n’est possible sans avocats.
Le Martyr…
« Il y a quelque chose de profondément comique dans l’image d’un homme qui cogite de la sorte en buvant une bouteille de vin à trente dollars et en réfléchissant à sa propre histoire ainsi qu’à celle de nos « premiers citoyens », comme on appelle les Indiens au Canada. »
« Il ne saurait exister aucun concept autorisé de vertu ethnique ou génétique, qui devient inévitablement la source principale de la boucherie humaine. »
Dans mon chalet isolé, au cours de mon soixante-troisième été, j’ai rêvé qu’après avoir passé des milliers et des milliers de journées au-dehors pour regarder la nature, j’étais enfin à l’intérieur pour regarder vers l’extérieur.
L’histoire des peuples indiens est encore souvent enseignée comme si tous ces gens étaient morts.
Documentaire : Décolonisé l’histoire
Saison ep.10 (Notes)
Proclamation royale 1763 du roi Georges
le traité de Niagara 1764
1860 fin du commerce de traite de fourrures
-ils n’ont plus besoin des autochtones, autrefois « leurs alliés»
-ils étaient maintenant dans leur chemin,il posait problème. Le but était maintenant d’agrandir le territoire vers l’ouest
ils sont devenu « le problème Idien »
John et McDonald
1876 : loi sur les indiens (ressemble ou Red lining)
ils avaient maintenant enlevé le droit d’un peuple à l’autodétermination
1981 : nouvelle constitution
Elijah Harper
Les peuples fondateurs(les autochtones demandent de la reconnaissance)
Autre:
Le Myth du bon sauvage:
«Le bon sauvage devient alors un être innocent et pur, qui, tels Adam et Ève dans l’Éden originel, étaient nus et ignorants, mais heureux. Ils vivent grâce à la nature qu’ils protègent, sont bons, honnêtes, curieux et innocents, en opposition radicale avec des Européens supposés hypocrites, menteurs et lâches.»