Abigaelle Gbo
1850-1890 = Souveraineté Canadienne
Exploitation du territoire
Reserve administrative
Rationalisme va conduire à l’Assimilation
Droit = Statut d’Indien
l’objectivation = Loi sur les Indiens (Acte de loi)
OBJECTIVATION
Les indiens sont défini sur le mode de l’objet. Qu’elle est la différence entre me donner un statut d’étudiante et définir la table? En effet il n’y a pas de différence entre me définir en tant que personne dans l’ensemble des étudiants et définir la table dans l’ensemble des meubles. La définition m’enferme dans ce a quoi je dois me conformer pour avoir ma place dans la société. C’est une conception du monde qui est rationaliste. Cependant, c’est une conception du monde que l’on ne trouve pas dans le systeme d’éducation autochtone.
L’État légitimise son autorité
A travers l’idée de définition aujourd’hui meme dans le contexte du point de vue de la loi, on se sent mal d’utiliser le mot <<Sauvage>>. Ce qui pour moi est extremement problématique avec le fait d’utiliser le mot sauvage c’est que la plus part du temps, on l’utilise pour qualifier les choses que l’on ne peux pas controler. C’est une conception dualiste du monde ou ce qu’on oppose a la civilisation c’est le monde sauvage, le monde sauvage c’est celui de la nature et dans la conception moderne colonialiste, maitriser la nature c’est légitimé par le fait que les connaissances abstraites sur le monde ont plus de valeur que l’exprérience des cultures autochtones du point de vue la rationalité et de la législation.
COMMENT FAIRE APPLIQUER ET RESPECTER LA LOI AUX INDIENS?
La gestion de qui sont les autochtones est une gestion totale par l’État Canadien. Des 1865, sous la lois des indiens, ont les a mis sous tutelle. Ils ont considérés comme des enfants incapable d’autonomie qu’on doit gerer et administrer.
RESPONSABILITÉ DE PRINCIPE – Loi – devoirs – droits
La loi sur les indiens est présente comme une responsabilité de principe. C’est a dire que dans la loi, par la loi, l’État se définie comme étant reponsable des communautés autochtones. Etre responsable des communautés autochtones , cela veut dire justement par la définition de la loi, dire qu’elles sont les devoirs, les reponsabilités, c’est la définition des droits des commnautés autochtones. Ce qui nous est présenté dans un premier temps, c’est un principe législatif, politique et juridique. On est dans l’odre des principes. A mesure qu’on avance dans le temps, par exemple, lorsqu’il arrive qu’on se trouve en situation de:
- Sur chasse par rapport a exploitation du territoire
- L’exploitation forestière
Toutes ces choses vont engendrer:
- Cas de famine, manque d’eau potable, violence familiale
Plein de choses vont apparaitre du fait de la transformation du rapport au térritoire.
ce qui était un principe devient un fait et tout a coup, la responsabilité de l’État qui c’était définie par la lois comme un principe législatif a l’égard des communautés autochtone devient une reponsabilité qui doit repondre a des faits. On a quelque chose qui est dans l’odre des idées qui passe tranquillement des l’odre des faits, Un peu comme l’histoire de la figure de la sorciere. En effet, on a quelque chose d’imaginaire avec la figure de la sorciere et tout a coup, on a des sorcieres qui existent. On a un État qui défini sa reponsabilité a l’égard des cultures autochtones et qui a un moment donné , légitime son action par les faits. Ils n’ont pas le choix, faut que le gouvernement fasse quelque. Et rendu dans l’odre des faits, pour les communautés autochtones, il devient tres difficile de s’émmenciper de la lois sur les indiens. Cela est une clé pour comprendre les enjeux associés a la reconnaissance.
De mon point de vue, c’est quelque chose qui met beaucoup de confusion dans l’espace publique quand les gens discutent de la question de la relation aux communautés autochtones. Certains disent que le fait qu’ils ne paient pas de taxe est un privilege. Cela rend difficile l’émencipation et la construction de la relation parcequ’on a un genre de paradoxe qui s’est installé. Ce paradoxe vient du fait que ce qui était au départ une espece de loi est devenu quelque chose qui existe. C’est tres difficile apres de dire aux communautés autochtones :<< on ne donnera pas d’argent pout financer les écoles, on ne donnera pas d’argent pour assurer le logement,…>> On ne peux plus, c’est une question de fait et la responsabilité du point de vue de l’État n’est plus juste une responsabilité. Au début c’est une logique d’assimilation, apres c’est comme si on sauvait les cultures autochtone d’eux même. Mais sauver les cultures autochtones d’eux meme a travers des services que l’État donne aux futurs communautés autochtones c’est etre entrain de réussir l’assimilation. Pour faire plus simple, on peut dire que c’est le fait que les Canadiens se sont sont dit maitre des autochtones qui a créé cette dépendance des autochtones vis a vis de nous et aujourd’hui on se retrouve dans cette posture de responsable des autochtones.
1890-1940 EFFACER LA PRÉSENCE AUTOCHTONE
- Le Québec colonisateur
- Redéfinition du territoire
- Pensionnat
- Exploitation des ressources naturelles par l’entreprise
- Barrage
- Chasse sportive
RAPPORT -Explicatif, +grande distance -l’objectivation est présente -L’exposition des faits, analyse sociohistorique -Raison – légitimation -> victime d’une forme d’assimilation – > sauver sa culture | AN ANTANE KAPESH -Blanc -> Péjoratif – <<Indiens>> -Un récit, un vécu (vérité) |
Le rapport nous parle de l’idée de relation entre les autochtones et les colonisateurs.Cette relation peut être qualifiée comme relation toxique car il n’y a pas de réciprocité. Quand on applique cela a la rencontre entre les cultures autochtones et la communauté Francophone, on se rend compte que ce qui est refusé c’est l’émergence de nouvelles propriété. On offre des services aux communautés autochtones, on exploite le territoire parceque la derniere chose qu’on voudrait serait que la rencontre entre de nouvelles propriétés et de nouvelles identités. Si on est métissé, on est plus un autochtone de souche ou un francophone de souche, on va etre quelque chose d’autre. C’est quoi ce quelque chose d’autre? C’est du nouveau. Si les francophones n’avaient pas pris la voie de la colonisation, qu’ils ont subbi et qu’ils étaient entrés en relation avec les cultures autochtones, on n’aurait pas la société québécoise telle qu’elle se définie a travers sa langue, sa culture et son identité. On aurait une autre chose. Dans le rapport il est dit qu’il y avait des villages au québec dans le Nord ou il y avait des métissages ( des Innus et des Francophones). Ces peuples vivaient ensemble dans le meme village mais avec la création des réserves et des pensionnats, on a séparé les 2 communautés par peur de perdre une forme d’identité qui aurait été transformée par la relation.
Ce qui caractérise la relation c’est l’émergence de nouvelles qualités.
Pourqu’oi parle t-on de Cohabitation au lieu de parler de véritable relation ?
Pourquoi la relation est limitée au service a lieu de l’associer a l’expérience vécue?
Appropriation Culturelle par les Canadiens ou pas ?