Bloc 3: Cultures autochtones-méthodes problématiques: renaissance-réconciliation
HISTOIRE DU COLONIALISME FIN PENSIONNAT 1996
On est
pieds joints dans l’impasse
sorcière , hip-hop – ya un précédent
Culture autochtone-ont est dans la problématique, il n’y a pas d’antécédent.
Toute une différente façon de penser au monde-dualisme la femme avec la nature
Rationalité-objectivité les autochtones aussi
DROITS ANCESTRAUX VS SOCIÉTÉ DE DROIT QUEBECOISE-CANADIENNE
REGARD OBJECTIF DU DOMINANT SUR LE DOMINÉ
MAIS COMMENT? PARCE QUE N’EN CLASSE SA CHAUFFE LE NIVEAU D’ÉDUCATION DE PERSONNE EN PERSONNE.
OUVERTURE DES DEUX BORDS
Lectures-arts-concéfrence balado-film-exposition
Il va y avoid des obstacles, il va avoir quelque chose qui bloque
Tout ce qu’on a intériorisé
Qu’est ce qui nous est institué on a tellement de conception du monde différente
On peut enquêter sur les obstacles qu’est ce qui nuit la relation –
Éducation,-mais on ne le fait pas parce que ça chauffe
Mais pourquoi sa chauffe?
Parce qu’on n’est pas tous au même niveau de prise de conscience – pourquoi? Parce que pas le même niveau d’éducation. Faudrait rendre obligatoire, mettons à l’école.
Reconnaissance-impasse on est dedans recherche de subjectivité qu’est ce qui nuit la communication
DIFFÉRENTES MANIÈRES DE PENSER
Foret-bois-argent-système forcément capitaliste-conception économique du monde
Vs ce qu’un INNU va voir voyant le foret comme, la migration du caribou, l’âme de la forêt
Se décoloniser-décoloniser notre univers laissez nous vous raconter l’histoire
Commission d’enquête sur les relations entre les autochtones et certains services publics
Écoute, réconciliation et progrès
RAPPORT FINAL
Eelarion autochtones et système administratifs services publics=quelque chose comme l’aliénationCréation d’une dépendance dont la cause est l’exploitation des ressources et tu impossibilité de se nourrir soit même autonome
Loi sur les Indiens toujours en vigueur
STATUS D’INDIEN=Définition très objective
CONCEPTION DUALISTE DU MONDE
CULTURE CIVILISÉE VS CULTURE SAUVAGE
ÊTRE SOUS TUTELLE-ENFANTALISATION
LOIS INDIEN-DÉFINIT DROIT ET RESPONSABILITÉ
Institution du schéma: on est passé de responsabilité à des faits
Self-fulfilling prophecy-Sauver les cultures autochtones d’eux-mêmes
Indiens sous la tutelle de l’état, concept de responsabilité de retour aux services
Rapport au territoire: Manière de penser
CONTRADICTION
RELATION – s’établit dans le temps constant changement
Interaction-communication-réciprocité-confiance-envie-échange transformation-émergence de nouvelle qualité propriété
En fait-on réaliste qu’il n’y en a pas
Réticence . Cette transformation dans le fond, il n’y a pas de relation. Il y a une telle séparation des cultures par peur de perdre quelque chose. Transformation de par la relation
Si tu es métis, tu n’es ni 100% franco ni 100% auroch
Mais donc tu es quoi
Les autochtones historiquement vont à l’encontre et acceptent et veulent la relation fr. dualisme-se définir par ce qu’on n’est pas et amener une grande division très explicite
Alors, se définir par ce qu’on n’est pas et amener une grande division très explicite
Alors, avec les francos, les autocht. désir de relation et d’apprentissage vs désir de garder l’individualité
Assimilation à travers la société de droits francophones rejet de cette assimilation pour ne pas perdre complètement son individualité
Favoriser l’autodétermination et l’obstacle est l’exploitation du territoire résurgence de la culture
Ce qui aurait été injuste, car les francophones n’ont rien perdu, rien donné, ils veulent juste assimiler a eux
Les lois viennent de la rationalisation de notre rapport au réel
Effort d’objectivation
Objectivation de la réalité alors que la réalité est subjective
Question de représentation
Relation-ségrégation
Faire le récit de chemin qui m’a mené a mes idées
Faur se situer a notre sujet on a une relation
L’art répond mieux que
NOTE POUR BALADO HIP-HOP
POURQUOI ASSIMILER LES AUTOCHTONES: LES CAUSES ET CONSÉQUENCES
CONTEXTE HISTORIQUE ET COLONIALISME
Le contexte historique de l’assimilation des autochtones est profondément enraciné dans le colonialisme européen qui a façonné le paysage politique, social et culturel de l’Amérique du Nord. Dès le début des explorations et des Européens dans le Nouveau Monde ont la fin du XVe siècle. Les puissances coloniales ont entrepris une entreprise massive de domination et d’expansion aux dépens des peuples autochtones qui vivaient déjà sur ses terres depuis longtemps.
Au début, les Européens voulaient tout simplement trouvé de voies commerciales vers l’Asie, mais leurs explorations ont fini par la découverte accidentelle des Amériques. Ils ont retrouvé des terres riches en ressources naturelles et de peuples autochtones avec des cultures diverses. Leurs premières interactions avec les Premières Nations étaient variées, mais les relations ont souvent tourné à l’exploitation et la domination.
Le colonialisme auropéenm s’est caractérisé par une attitude de supériorité culturelle et raciale. Ou les colons considéraient les autochtones comme des sauvages, ou des primitifs, qui étaient à civiliser ou à conquérir. Cette perception ethnocentrique a justifié une série de politique et de pratiques visant à subjuguer et à marginaliser les peuples autochtones au nom du progrès et de la civilisation. Les colons ont revendiqué la terre autochtone comme étant de leur propre droit. Souvent par le biais de traité injuste, de la tromperie et de la violence
L’un des aspects les plus sinistres, qu’est également le sujet d’étude deçà pour mon enquête, est l’établissement de pensionnats autochtones, des institutions mises en place pour ‘’Éduquer” ou “assimiler” les jeunes autochtones dans la culture dominante. Ces pensionnats, souvent gérés par des organisations religieuses en collaboration avec lacs et autorités coloniales. Ces derniers ont été victimes d’abus physiques, sexuels et mentaux, visant à effacer les identités autochtones et à imposer la culture et la religion des colons.
IDÉOLOGIE ET SUPÉRIORITÉ CULTURELLE
L’idéologie de supériorité culturelle a joué également un rôle central danms dans le processus d’assimilation des autochtones. Dès les premiers contacts entre les colons européens et les autochtones, une perception de hiérarchie s’est rapidement instaurée, les colons considèrent l;EUR propre culture comme étant supérieure a celles des autochtones. Cette attitude ethnocentrique a été alimentée par des notions de progrès, de civilisation et de christianisme, qui a été considéré comme des piliers de société occidentale.
La société occidentale, de base, considérée comme le but final de toute autre société, comme le “end bu”
En effet, les colons ont considéré leur propre mode de vie, leurs institutions, leur politique, leur système juridique, essentiellement, tout ce qu’ils font comme étant les seuls valables et dignes d’être adoptés. Reléguant les cultures autochtones au statut de curiosité primitive et des vestiges de passé qui sont à être éliminés. Cette paternaliste et condescendante a conduit a conduit a une série de mesures coercitives visant a éradiquer les coutumes, les langues et les traditions autochtones, aux noms du progrès et la civilisation.
Le gouvernement colonial considérait les peuples autochtones comme
Des enfants a élevé et à civiliser plutôt qu’en tant que nations souveraines ayant de droits sur leurs terres et leurs ressources. Cette attitude paternaliste et colonialiste a eu des conséquences dévastatrices sur les communautés autochtones, telles que l’autonomie politique.
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TENTATIVES DE DOMINATION ET DE CONTRÔLE
Les tentatives de domination et de contrôle ont été au cœur de la politique coloniale vis-à-vis des peuples autochtones. Le gouvernement a cherché à eiteidre leur emprise sur les terres et leur ressource au détriment des peuples autochtones qui y vivaient depuis des millénaires. Cette quête de domination a été motivée par des intérêts économiques, politiques et idéologiques. Avec objectif de subjuguer et d’assimiler les peuples autochtones dans la culture dominante
Une des premières mesures prises par les gouvernements pour exercer leur contrôle sur les Premières Nations a tété l’établissement de réserves, des territoires assignés aux autochtones par les autorités, souvent situé dans les régions moins désirables sur le plan économique
En plus, les gouvernements ont également imposé des politiques de déplacement forcé ou les autochtones étaient contraintes de quitter leurs terres ancestrales pour céder la place a des projets de développement économique et d’exploitation de ressources
DE TERRITOIRE ET DE DROITS
La perte de territoire et de droits a été également une conséquence dévastatrice de l’assimilation des autochtones, la politique systématique d’appropriation des terres autochtones par le gouvernement a le profit de l’Expansion économique et de l’exploitation a entraîné des pertes massives pour ces derniers.
Les premiers traités signés entre les autochtones et les colons européens étaient souvent basés sur des notions de coopération d’échange et de coexistence pacifique, mais ces accords ont rapidement été violés ou ignorés
Les traités ont souvent EET rédigées dans des langues étrangères et incomprises par les autochtones et les termes ont souvent été interprétés de manière erronée. Ce qui entraîne des malentendus et des litiges.
Face à la résistance autochtone, les gouvernements ont adopté des politiques de répression et de déplacement forcé pour contraindre les peuples autochtones à céder leurs terres ancestrales. Des pratiques comme l’expropriation des terres, la construction des réserves et la déportation des autochtones vers les territoires marginaux ont été utilisées pour réduire les droits territoriaux. Ces politiques onmt amener la fragmentation des terres autochtones et la perte d’accès aux ressources naturelles
SÉQUENCE SOCIO CULTURELLE
L’une des conséquences les plus marquantes a été la perte de langues autochtones, qui ont été systématiquement réprimées et éradiquées par les politiques coloniales. Les enfants autochtones étaient souvent contraintes de fréquenter les pensionnats où l’usage de leur langue maternelle était sévèrement puni, ce qui a entraîné une déconnexion intergénérationnelle et une perte progressive de la transmission des connaissances, des histoires et des traditions orales. La conséquence de ceci est que de nombreuses langues autochtones sont devenues en voie d’extinction, ce qui représente une perte irréparable de diversité linguistique et de patrimoine culturelle.
L’assimilation forcée a également entraîné la suppression des pratiques culturelles et spirituelles, qui étaient souvent perçues comme des obstacles à l’intégration dans la culture dominante. Les rituels religieux, les dances traditionnels, etc., ont été découragés, voire interdits par les autorités.
ÉTUDE DE CAS: PENSIONNATS INDIENS AU CANADA
Les pensionnats indiens étaient des écoles religieuses financées par le gouvernement pour assimiler les enfants autochtones à la culture eurocanadienne
Ces institutions ont fonctionné pendant plus d’un siècle, entre la fin du 19e et la seconde moitié du 20e.
L’une des atrocités des pensionnats indiens était la politique délibérée de séparation des enfants de leurs familles et de leurs communautés. Les enfants en question étaient souvent enlevés par force a leurs parents et placés dans un des pensionnats ou ils étaient souvent soumis a des régimes excessivement stricts, privés de leur langue, leur culture et leurs traditions. Ce dernier a causé de traumatisme intergénérationnel durable, brisant des liens familial et communautaire. Le cœur de la vie autochtone.
Des abus physiques émotionnels et sexuels ont été quelque chose de quotidien dans les pensionnats indiens. D’anciens pensionnaires témoignent de violences physiques quotidiennes, de châtiments corporels sévères pour des infractions mineures et de conditions de vie déplorables. Les jeunes se retrouvent souvent négligées et maltraitées, soumises des humiliations constantes.
Voici un témoignage:
En 1886, à l’âge de 12 ans, on m’a capturé au lasso, attaché et envoyé à l’école gouvernementale de Lebret. Six mois plus tard, j’ai constaté avec tristesse que j’avais perdu mon nom et qu’un prénom anglais m’avait été attribué en échange. […] « Quand on t’a amené ici pour l’inscription [m’a plus tard raconté l’interprète du pensionnat], on t’a demandé de nous donner ton nom. Quand tu l’as fait, le directeur a fait remarquer qu’il n’existait pas de lettre dans l’alphabet pour épeler le nom de ce petit païen et qu’aucune langue civilisée ne pouvait le prononcer.
“Nous allons le civiliser, alors il lui faut un nom civilisé.” Voilà comment tu as acquis ce tout nouveau nom d’homme blanc. » […] Suivant leur promesse de civiliser le petit païen, ils se sont mis au travail et m’ont coupé les tresses, ce qui, d’ailleurs, selon la coutume assiniboine, est un signe de deuil — plus le parent est proche, plus la coupe est près du cuir chevelu. Après ma coupe de cheveux, je me suis demandé en silence si ma mère était morte, car ils m’avaient coupé les cheveux très courts. Je me suis regardé dans le miroir pour voir à quoi je ressemblais. Une tête de citrouille d’Halloween m’a rendu mon regard et c’en était fait. Si c’était ce à quoi ressemblait la civilisation, je ne voulais pas du tout en être. Je me suis enfui de l’école, mais j’ai été capturé et ramené au pensionnat. J’ai fait deux autres tentatives, mais sans plus de chance.
Réalisant qu’il n’y avait pas d’échappatoire, je me suis résigné à apprendre les trois R. […] Contemplez par vous-même les obstacles rencontrés par un jeune Indien qui n’avait jamais vu l’intérieur d’une maison; qui avait vécu, été comme hiver, dans des tipis en peau de bison; qui avait grandi avec un arc et des flèches à la main.
(Daniel Kennedy [Ochankuga’he], ancien élève du pensionnat de qu’appelle)
On estime au-delà de 6000 enfants morts dans les pensionnats , le nombre est sûrement significativement plus élevée) le manque d’hygiène, des maladies non traitées et un acces insuffisant aux soins de santé ont été facteur principal, au-delà des abus.
La commission de vérité et réconciliation du Canada, établi en 2008, a joué un rôle important dans la sensibilisation du public et la reconnaissance des injustices commises dans les pensionnats indiens. Ses travaux ont permis de recueillir des milliers, de témoignages des survivants, de documenter les abus et les traumatismes subis.
Voici un résumé du rapport final de la commission, qui tire des conclusions nommées “incontestablle”
- Le gouvernement fédéral n’a pas fixé une série d’objectifs et de normes claire en matière d’éducation dans les pensionnats.
- Le programme d’études des pensionnats correspondait essentiellement à un programme d’école primaire, reflétant la conviction selon laquelle la population autochtone était inférieure sur le plan intellectuel.
- Le gouvernement n’a jamais élaboré ou mis en œuvre une politique à l’échelle du système sur la compétence professionnelle des enseignants;
- Le personnel enseignant était sous-qualifié, mal payé et débordé.
- Le programme d’études (qui mettait l’accent sur la lecture, l’écriture, l’arithmétique et la religion, ou les « quatre R » en anglais) était non seulement rudimentaire, mais en grande partie inapproprié aux besoins, aux expériences et aux intérêts des élèves.
- Les élèves quittaient les écoles sans avoir acquis les compétences nécessaires pour réussir dans leur communauté ou sur le marché du travail. De plus, beaucoup d’entre eux sont partis sans avoir complété leur scolarité.
RÉSISTANCE ET RÉSILIENCE
Étude de cas: Crise d’oka
La crise d’oka est survenue lors des années 1990 au Québec. Cette crise a éclaté suite a un différend territorial entre la communauté mohawk a Kanesatake et les autorités locales. Ce dernier concrétise dans un cadre moderne et met en lumière les tensions profondes et les injustices systématiques auxquelles les peuples autochtones sont confrontés.
Les Mohawks ont protesté contre un projet d’expansion d’un terrain de golf et d’ensemble résidentiel sur des terres qu’ils considéraient comme sacrées et historiquement importantes. Leur opposition à ce projet a déclenché une série d’événements qui ont conduit à des affrontements violents et a une impasse prolongée entre les Mohawks, les autorités locales et les forces de sécurité.
Les tensions ont rapidement pris pied, avec des barricades érigées par les Mohawks pour protéger leurs terres.
Ce conflit met en lumière également la frustration accumulée lors des décennies
Les Mohawks ont rapidement été joints par des membres d’autre communauté autochtone et des alliées non autochtones, alors ce dernier a transformé la crise en symbole de la lutte des droits des autochtones
Les efforts de résolution de la crise ont été entravés par des erreurs de communication, des politiques gouvernementales controversées et des actions militaires. L’opération policière visant à démanteler les barricades a dégénéré en affrontement armé, faisant des victimes des deux côtés
Il a eu seulement 1 mort de chaque bord, mais ceci ne rend pas la crise moins importante. La crise a mis en évidence la nécessité d’aborder de maniere significative les revendications territoriales et les préoccupations des peuples autochtones.
DISCUSSION GÉNÉRALE: COMMENT PROMOUVOIR LA CO-EXISTENCE
https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/la-crise-doka-1