
Le Hip-Hop du Bronx prend place dans le contexte historique autour des années 70, dans un possible acte de résistance politique. Dans cette fonction de l’art, il y un message qui se veut de déranger, une émotion qui pousse à réagir. Il s’agit d’illustrer une expérience humaine par le fait de mettre en mot des sensations, un certain éclairage des connaissances dans le vécu-intime de l’artiste. Cet acte de résistance dénonce en rendant le message politique acceptable dans un format artistique pour qu’il rassemble. Le but étant de donner accès aux points subjectifs de l’expérience humaine. Cela s’inscrit dans une pensée communautaire à la réinvention d’un imaginaire autour de la légende urbaine. Le rapport de domination dénoncer dans ce divulgué dans les textes cachés à écouter dans des espaces publics c’est dans ces sous textes que la théorisation des rapports de domination s’observe, s’écoute.

La théorie Scott sur le texte public et le texte caché, développe le fait que le texte public est ce que les dominés disent en présence des dominants et ce que les dominants disent en présence des dominés. Le texte caché, lui, est ce que les dominés disent entre eux et ce que les dominants disent entre eux. Ainsi dans une ligne du temps de la résistance politique, plus cette ligne avance proportionnellement avec la résistance politique, plus le discours critique devient de plus en plus direct. L’interprétation de ces textes cachée cherche-t-elle à confronter un pouvoir par théâtralisation des rapports de dominations par l’évaluation d’un degré de menace, somme que toute cette évaluation reste dans la dimension subjective. Cependant, l’art et la culture peuvent toujours prendre plusieurs significations dans l’interprétation de ces textes cachée.