Le concept d’avoir un bien commun signifie de vivre ensemble, le fait de vivre ensemble en tant que société n’est pas facile et cela vas introduire des problèmes de représentation. L’humain est simple et difficile, nous sommes divisés par les traditions et la progression, divisées par le partage et autres enjeux.  Pour nous encadrer on à établit des règles, ces règles nous sommes imposé dans un rapport de dominant et de dominé, la règle du plus fort est toujours appliquée à ce jour dans nos sociétés. L’émergence de l’État provient de besoins de vivre ensemble par la nature sociale de l’humain et le besoin de sécurité.  Cependant les fondations de ces sociétés sont sectaires et très oppressives comme modèle de société traditionnelle, le contexte historique et leur condition donnent un élan à l’inquisition, en grande partie dû à la culture biologique et la différence homme, femme.

Le fait que ces structures sociétales se sont basées sur la différence des sexes, les institutions qui sont nées de ces sociétés ont malheureusement les mêmes bases. Les politiques formes des institutions qui vont par la suite participer à la construction de lois, mais si le tout est parti d’un ne faut pas, refaire le chemin du retour n’est plus aussi simple.   Qui dit société dite aussi injustice sociale et problème de représentation, ainsi les femmes ont longtemps servis de bouc émissaire par la figure de la sorcière à ces sociétés traditionnelles.  Ces préjugés se sont inscrits dans une rationalité qui a justifié les bûchers de femmes.  Le problème se poursuit avec l’État moderne qui valorise cette rationalité.  Toujours dans ce même phénomène de préjugé envers les femmes, la laïcité de l’État à repousser la lutte entre le pouvoir et les valeurs religieuses sur le patriarcat, une forme de microautorité qui est hors limite de l’atteinte de l’État. Ainsi le combat se poursuit toujours dans certaines sociétés.

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