No.1 : Que connaissons-nous des cultures autochtones au Québec?
- Importance de la langue, malgré l’apprentissage du Français et de l’Anglais
- Valorisation constante de le culture
- Importance de la famille et la taille (très grandes familles, tout le monde est cousin)
- Ils ont été mis à l’écart du développement de la société moderne à cause de la création des réserves
No.2
se concentrer sur le moment présent. et accepter nos erreurs pour se concentrer sur le présent/futur.
Néanmoins, il faut toujours reconnaître les atrocités commises par les colonisateurs.
Il faut reconnaître ce que nous avons à apprendre sur leur culture.
Les autochtones ont sûrement d’autres problèmes que de nous éduquer. Il serait donc bon de faire l’effort de s’éduquer nous même (tout en restant respectueux) pour montrer que leur culture est importante.
Besoin de concret dans le cours, pas que de l’abstrait
Plan de cours :
Cours 1 : Introduction de base sur les cultures autochtones (présentation des 11 nations, leur spiritualité, leur croyances, leur traditions familiales, leur façon de voir le monde) en parler par rapport à aujourd’hui.
Qu’est-ce qui reste de leur culture d’avant? L’évolution de leur mode vie?
Problèmes causés par les colonisateurs (pensionnats, introduction à l’alcool, etc.)
Cours 2 : Efforts de reconnaissance et réconciliation. Trouver des solutions concrètes pour régler le problème. Reconnaître les clichés qu’il faudrait désapprendre.
Ce que je perçois dans vos idées ici présentées est en définitive une certaine tension, soit la volonté d’en savoir plus sur les communautés autochtones, sans toutefois savoir « comment » en savoir plus.
Le problème est que ne pense pas qu’un cours de cégep où c’est un blanc qui enseigne de manière magistrale à l’avant soit le contexte approprié pour cela. Par-delà même cette idée de contexte, je pense pas qu’il n’y a pas de bonne façon d’enseigner ce que sont les cultures autochtones. Assez bizarrement, je dirais plutôt que, dans le contexte de l’enseignement tel que nous le connaissons, il n’existe que des « mauvaises » manières d’enseigner ce que sont les cultures autochtones.
Par contre, je crois que de reconnaître cela est déjà un premier pas dans la bonne direction. Reconnaître qu’il n’y a pas de solution miracle, que tout est toujours plus nuancé qu’on ne le pense, voilà peut-être ce qu’il faut retenir de tout ça… Si vous voulez, nous aurons l’opportunité d’en rediscuter en classe!
L’idée de culture est aussi un thème extrêmement riche évidemment, qui pose tout le problème de l’expérience indissociable de celui de la rencontre comme vous le mentionnez. Comment aborder ces questions sans parler de l’autre à sa place ? Comment être concret comme vous le dites plutôt qu’abstrait et théorique ? L’idée de culture recoupe ce qui appartient à l’expression de la vie dans ses aspects les plus intimes, comprenant les croyances, la famille, la langue, les désirs, l’art, les traditions, le lien avec les animaux, le vivant et le non-vivant. C’est vaste et complexe. Le meilleur moyen est peut-être pour nous un effort de familiarisation avec les œuvres d’art et la littérature en particulier.