Thématique 1: Éducation reçue au primaire/secondaire et celle à donner à l’avenir
- Qui enseigne l’information? (personne qui s’y connait sur le sujet, première nation qui vient en classe, etc.)
Thématique 2: Visibilité de la culture autochtone dans la société
Thématique 3: La reconnaissance vs la collaboration
- Reformer un lien de confiance
- Mouvement politique ET populaire (engagement de la population, empathie)
Noms: Alec, Zoelia, Philémon, Marie-Pier, Dulce et Aurélie
La question de l’éducation est centrale elle aussi. Elle pose le problème de la relation de confiance comme vous le dites de manière à trouver comment mettre en place des processus de communication impliquant la réciprocité et la mutualité. Difficile à réaliser si on considère les rapports de domination.
Il serait intéressant de faire une recherche concernant les différences quant à la présentation de ce thème à travers le regard des communautés des Premières Nations et des organismes de l’État québécois.
Exemple :
https://www.education.gouv.qc.ca/fileadmin/site_web/documents/autres/organismes/17-00091_CELA_Autochtones_FR_web_1.pdf
https://cepn-fnec.ca/
Un peu comme je l’ai mentionné à une autre équipe, je vous relancerais sur la question de la confiance à tout ses niveaux (individuels, systémiques, étatiques, etc.): Est envisageable que cette confiance ne soit pas un idéal pour les communautés autochtones? Pourquoi?
Lorsque vous dites qu’il est question de « reformer » un certain lien de confiance, pensez-vous à une forme de justice réparatrice? Si oui, comment réparer les erreurs du passé? Si non, est-ce qu’on fait juste semblant que tout est excusé? (D’ailleurs même au sein des groupes d’intellectuels autochtones il n’y a pas de consensus à ce sujet).
Les questions que vous soulevez sont extrêmement riches et intéressantes et je vous invite fortement à les poursuivre dans vos enquêtes personnelles.