Communauté inuk:
-Exode de masse des territoires inuk –> (Violence conjugal, coût de la vie élevée, le manque d’opportunité éducationnel)
-La cause de la séquestration des personnes inuk à Montréal –> (Coût de transport énorme, accès aux services médicaux, accès à l’éducation, addiction aux substances, itinérance)
-Les programmes d’aide offert aux communautés –> Dû aux traumatismes intergénérationnels les programmes ne réponde pas aux besoins, grand sous-financement dans la défense des droits autochtones, pas de ressource de soutient spécifique aux personnes autochtones
– La perception de la culture autochtone selon les différents points de vue culturel –> Les structures familiales
La question de la violence peut difficilement être ignorée même si elle est extrêmement délicate à aborder, émotivement et sous l’angle d’une recherche de solutions passant par des programmes, les groupes communautaires, les personnes concernées chez les Premières Nations. Cette question est présente dans nos réflexions depuis le début de la session à travers l’histoire de la figure de la sorcière et le Hip Hop. Qu’est-ce qui fait la différence ici ? Pourquoi le sentiment d’impasse est-il plus présent ?
Vous soulevez des questions extrêmement intéressantes, toutefois, je m’interroge sur le « pourquoi » choisir les communautés inuits du « Canada » plus que n’importe quelle autre communauté?
Aussi, petit bémol, il me semble que le terme « Inuk » est un nom propre singulier et désigne un membre singulier de la communauté Inuit (ex: ma voisine est une Inuk). Il faudrait plutôt ici utiliser l’adjectif inuit, et même qu’idéalement, il faudrait utiliser les termes que la communauté concernée utilise.
Pourquoi ne pas investiguer davantage la question du point de vue (le type de regard posé, la posture à partir de laquelle vous poser un regard et la cible sur laquelle vous poser vos yeux) dans vos réflexions future?