(6 avril au 10 avril)
HIP-HOP (histoire sur la répression)
Problème de la résistance : émergence d’une forme d’art, plus fort, pour divertir, liberté d’expression, identité, individu/communauté, interprétation.
Pourquoi écoutes-tu le Hip-Hop?
Gangster rap-féminisme (violence, esclavage envers les femmes, l’image de la femme)
Méthode : apathie politique(désengagement) – résistance.
Le concept de libéralisme à changé de signification : (avant – 1850) le libéralisme désirait, valorisait le progrès/progressisme VS (maintenant) le libéralisme défend des intérêts économiques – rationalisation capitaliste.
Sources expliquant l’apathie : décalage entre les pratiques traditionnelles et actuelles, l’ampleur des activités sociales nous rend septiques par rapport à la capacité de l’État à agir, la nécessité de recourir à des experts. informations/communauté/partager des savoirs/méthode nous constitue en public averti(nos enquêtes)
Hip-Hop sur fond d’impasse politique : définir le hip-hop(essence), libéralisme VS capitalisme – tensions, injustices.
Libéralisme : affirme la primauté des droits de la personne sur l’état (À quoi j’obéis dans un contexte libéral? Aux lois?), l’individu, conformer aux idées abstraites générales, différences entre individu – privé, neutralité, laïcité,(État), – société de droits pour nous protéger (individualisme).
Capitalisme : (s’oppose à), on tient compte de l’altérité/différences dans l’espace public, l’identité est créée par un groupe, valeurs, ce sont les communautés qui permettent aux individus de trouver du sens à leur vie, l’État devrait offrir un cadre juridique permettant de développer des valeurs.
Critique : libéralisme VS capitalisme
Libéralisme : une société organisé en communautarisme(conception) risque de faire éclater l’état. (anarchique).
Capitalisme : le libéralisme, au nom de l’universalisme, impose des contraintes, force des individus à se conformer à des idées abstraites.
Type de musique qui émerge des luttes sociales/politiques/éthiques des afro-américains contre l'oppression policière.
Musique underground ; laquelle il faut chercher et faire quelques petits clics pour trouver son essence. Informations tirées du texte de Maude Careau-Bélanger.
JEFF CHANG
Émergence de la culture : dans un climat de chômage généralisé.
South Bronx : city on fire (les feux de l’abandon).
Leçon 1 (le Bronx et la politique de l’abandon) : l’intégrationnisme, le nationalisme (devons-nous sauver l’Amérique ou nous sauver nous-même?).
La tension devient visible aux écrans. L’égalité/le pouvoir/l’individu.
C’est lorsque l’on observe la frustration individuelle qu’on voit réellement le visage/l’intention/l’idée de la personne.
Leçon 2 (mouvement de masse) : alors que plusieurs hauts dirigeants partagent leur désaccord, la population du Bronx qui, économiquement, se voit être inutile à leurs yeux, des centaines d’habitants sont mis en situation d’abandon. Le capitalisme prend place, progresse et l’idée de construire, de commercialiser se voit beaucoup plus aimée que la vie de minorités.
« Moses was schooled in a belief that serving the public’s interest was his task. »
Leçon 3 (mauvais chiffres) : « Lorsque la société de droit engendre des injustices, comment fait-on pour recoudre le tissu social? »
Que fait-il que l’art a pu transformer certaines injustice? L’art rejoint un groupe de personne, un rassemblement de tout type de gens confondus. La musique permet l’interprétation de chacun. L’art permet le message. L’art permet le risque. La musique permet d’arrêter le silence.
Commentaire sous la chanson « The message »
1982: « don’t push me ’cause I’m close to the edge » (The message) 2017: « Push me to the edge, all my friends are dead »(Lil Uzi Vert)
The message : plusieurs années plus tard, peu de choses ont changé si ce n’est que nous sommes plus connaisseurs sur ce sujet (pourtant personne se met en action pour changer les choses.)
Blackout : durant une intervention musicale (comme si c’était la musique qui avait arrêté la ville). Durant le blackout, tout le monde devenait dj.
Leçon 5 (terre de désolation) : le graffiti (violence? beau? message?) Résistance : je montre mon avis par un acte de vandalisme qui restera anonyme mais fort et coloré. le graffiti est employé pour communiquer un message politique et social.
JAMES C.SCOTT
Leçon 1 (politique souterraine et résistance) : Pouvoir, dominés, dominants. (qui juge des droits civiques, du pouvoir, de ceux qui dominent?).
Pouvoir des Blancs et hostilité envers les personnes de couleur.
Agir d’une certaine façon (théâtraliser) pour suivre des règles. « Comme le discours du subordonné en présence du dominant constitue le texte public, le terme texte caché sera de son côté utilisé pour caractériser le discours qui a lieu dans les coulisses, à l’abri du regard des puissants. » « la résistance idéologique est déguisée, mise en sourdine et voilée pour des raisons de sécurité. »
Leçon 2 (texte caché, texte public) :
Texte caché : éviter les jugements, euphémisme(changer certains mots, ne pas tout dire), garder l’anonymat, situation chargée de pouvoir, peur, marmonnement, incompréhension des dominants. Battre le pouvoir.
Texte public : conversation entre les dominants et les dominés (théâtre).
Le texte caché devient alors disponible à tous. Années après années, les artistes l’utilisent, les chanteurs, les animateurs, les poètes, etc.
Leçon 3 (La forme masquée du discours des dominés) :
« When I drop the record here you won’t even matter »
S’exprimer publiquement et de façon anonyme : on utilise l’art (musique, peinture, poème, écriture).
Évolution de la situation : tout le monde fait des textes cachés.
Le texte caché sera reçu par celui qui le comprend. Il n’y aura alors plus d’effets dominant/dominé. Le spectateur comprend le message, se retrouve donc au même niveau que le messager. On choisi ce qu’on veut exprimer.
BRAINSTORM – ENQUETE
Qu’à apporter la culture du hip hop au public? (son évolution)
Est-ce que le mot hip-hop est relié encore à sa même définition? Sa réelle définition est-elle oubliée?
Mots clés : indépendance, rassemblements, acceptation de soi, ghetto, ville, rue, quartier, respect, argent, frère, protéger, avenir, support, système, jeunes, secteur, stress, grandir, dominé, dominant, message, anonymat, paix.