Qui sont les sorcières modernes ?

La sorcière spirituelle : Femme qui se dit sorcière et qui est adepte a des pratiques dite « magique » à l’aide d’outils spirituelle, tels que le tarot, les batônnets de sauge, les bougies et les cristaux. Elle représente la femme libre et est un guide spirituelle qui apprécies sa divinité, son corps et la nature. Je crois que certaines femme s’associe a cette univers spirituelle et magique sans forcement se nommer comme sorcière, en utilisant l’astrologie ou même en ayant une collection de Crystal par exemple.

La sorcière féministe : Le W.I.T.C.H Bloc ( Women International Terrorist Conspiracy from Hell) est un groupe de militantes anonyme de femme et personne de la communauté queer. Ils se disent Anarchiste, anti-raciste, anticapitaliste, antifasciste, pour les droit des travailleur du sexe et pour les droit des personne appartenant à la communauté LGBTQ+. Ce groupe de femme c’est reconstruit en 2016 et il s’inspire d’un groupe féministes des années 60 qui se nommait eux aussi les W.I.T.C.H. En 1968, elles se sont rassembler à New York pour s’opposer a des féministes radical qui voulais faire des campagnes contre la patriarcat. Les sorcières des année 60 avait comme position de s’allier avec des partis de gauche. Le W.I.T.C.H Bloc, ont manifester à Boston en 2017 contre le racisme et l’extrême droite. En septembre de la même année, elles ont manifester en France contre la reforme du code du travail. Tous ces femmes essayent de reconstruire la solidarité entre femme, en utilisant leur voix pour éliminer dans la société les marques de pression, de soumission, de colonisation et d’abus de pouvoir, en utilisant l’image de la sorcière comme l’unité de base de l’historique de la femme et de ramener cette image péjorative de la sorcière pour la transformer en cette femme qui symbolise la vie

La femme : Tout les femmes sont des sorcières. Dans l’histoire, la femme as toujours eu une image de soumission et quel aurait toujours besoin d’un homme pour survive. Par exemple, Eve est issu d’une cote de Adam, Blanche neige as besoin d’un baiser du prince pour vivre, Donalda ne pourrait pas survivre sans Séraphin. La femme est victime d’une mentalité encrer dans lequel elle serait toujours oppresser. Si je reprend l’exemple de Donalda, elle aurait eu une fin moins tragique si elle n’avait jamais croisée Séraphin, pourtant dans la mentalité de cette époque, la femme avait besoin de se trouver un mari pour ne pas se faire juger et commettre de péché. L’ironie dans cette histoire est que Séraphins est celui qui commet les péchés et Donalda en est la victime. Dans les années 1600, certaines femmes se sont lever et ont utiliser leur voix pour dénoncer ses injustices, résultant le procès des sorcières de Salem de 1692 à 1693. Ce procès est une vagues de pression et de peur pour que la femme se range au plan que la bible avait pour elles, se soumettre et procréer. Ensuite, la femme des années 1900 devait représenter le modèle du « American Dream », cette femme parfaite qui reste a la maison, qui fait le ménage et qui éleve les enfants. Pendant ce temps en 1913 on fonde le Montreal Suffrage association qui permettra en 1918 a tout canadien homme le droit de vote. Grâce à plusieurs femmes qui on décider que c’en était assez le 25 avril 1940, soit 22 ans plus tard, nous avons pu accéder au droit de vote. Et la femme de 2023 se bat toujours pour plusieurs revendication qui touche leur valeur et leur liberté comme pour obtenir des égalité salariale ou une majorité dans la chambre d’assemblée, par exemple. Certes, brûler une sorcière de nos jours est moins fréquent, mais la dualité entre les perceptions de la femme à l’époque et celle d’aujourd’hui reste la même.

Dans l’image ci-dessous, pour moi il y a deux sorcières, celle qui as subit ce passage de l’imaginaire à l’existence qui représente la peur, la laideur et le péché et celle qui représente l’idéal de la femme dans la société patriarcale, qui fait le ménage, qui est soumisse et naïve et qui n’as rien a dire. Tout deux sont des femmes victime des décisions des hommes.

                                Pourquoi personne ne faisait rien devant la femme en supplice sur le bucher?

Comme plusieurs femmes se sentent encore, il est difficile de donner son honnête opinion par peur que son opinion soit trop choquante ou pas respecter dans les oreilles des hommes. La peur est ce qui a pousser les gens à ne pas dénoncer les gestes commis aux sorcière. Les femmes de l’époque ne pouvaient pas donner leurs opinions ou se rassembler par peur d’avoir participé au sabbat et de passer sur le bucher dans la total humiliation devant leur proche et les gens de leur village. La femme du 16e siècle n’était pas utile à grand chose pour les hommes de cette société religieuse, surtout les femmes âgées. Tous ces femmes savaient qu’elles pourraient être la prochaine, donc pourquoi ne pas se taire et se soumettre. La plupart des sorcières qui ont bruler était soit vieille, soit veuves ou n’était pas sous le contrôle d’un homme. Ce qui nous prouve que les institution de l’époque se reposait le principe de pouvoir, de domination et de colonisation. Pourtant aujourd’hui nous utilisons notre voix pour se défendre contre ceux qui souhaitent nous faire taire, mais y’a-t-il un réel changement qui se fait ?

Les sorcieres sont-elles parmis nous ?

La sorcière feras toujours partie de l’histoire de la femme et son image complexe, change et se métamorphose, pour que la société soient plus sensibilisé à ce sujet. Comme je l’ai mentionnée plus haut pour moi ils y a 3 catégorie de sorcière et elles touchent tous les sphères de la vie d’une femme atypique.

. « La sorcière incarne la femme affranchie de toutes les dominations« 

-Mona Chollet

Les sorcières c’est vous et moi, des femmes qui évolue dans la société de demain, nous nous devons de ne plus être l’objet d’oppression, je ne dit pas d’allez manifester ou de tout brisée, mais seulement de prendre conscience du bagage qu’est d’être une femme. Il est vrai qu’aujourd’hui je ne me ferais pas accuser de sorcellerie et on ne me bruleras pas pour que je me taise, mais pourquoi lorsqu’une femme rentre dans un poste de police pour déposer une plaintes pour viol, le plus souvent elle se fait demander comment elle était habiller et si elle n’étais vraiment pas consentante? Pourquoi ne pas la croire sur parole ?