1. Nous vous proposons de discuter et réfléchir le problème de la reconnaissance en cherchant à définir les enjeux relatifs aux liens que vous entretenez avec les cultures autochtones.

Texte : http://www.philo-cvm.ca/wp-content/uploads/2020/10/Mythes-et-realites.pdf

Opinion : Tant que leur liberté d’expression et leurs droits ne seront pas respectés il sera difficile d’envisager une réconciliation.

Reconnaissance : 
C’est l’action de reconnaître, d’admettre et d’accepter quelqu’un ou quelque chose comme vrai ou réel. La reconnaissance suppose donc un sentiment légitime de gratitude et de respect envers le collaborateur, pour qui vous êtes reconnaissant. Elle implique une certaine spontanéité de votre part.

RELATION FONDÉ SUR LES ALLIENCE ET TRAITÉ 

Un traité implique un consentement, une adhésion volontaire et un respect mutuel des parties. En Amérique du Nord, conclure des traités était une pratique établie dans l’histoire des relations crée entre les peuples autochtones et les nations européennes. Les alliances fondées avec les peuples autochtones étaient principalement dans le bus de s’enrichir, en effet, pour coloniser des terres et développer le commerce de fourrure les canadien-français ont dû développer une relation harmonieuse avec les peuples autochtones. En effet, nous apprenons cela dans nos cours d’histoire sans réaliser que la façon donc le peuple canadien-français c’est approprier les ressources des peuples autochtones pour leurs propres avantages et besoins est terriblement triste.

Analyse ; An Antane Kapesh Je suis une maudite sauvagesse

Nous pouvons retrouver le rapport dominant dominé dans l’histoire des autochtones. 

Lorsque l’homme peut utiliser sa supériorité sur un rapport de force, sans se poser de question, il n’hésite pas à faire son possible pour obtenir ce qu’il veut en écrasant les autres. Les colons ont envahi l’Amérique et déraciné les autochtones pour leur propre désir, besoins et plaisir. Ils ont profité de la gentillesse des peuples autochtone et se permette de leur enlever leurs biens, leur terre et leur identité. Le racisme vécu envers les peuples autochtones est le même que les peuples afro-américains noir. Ils ont été dénigrés par des préjugés, diminuer leur statut d’humain à des animaux. Je trouve le texte d’An Antan kapesh révélateur des actions horribles des blancs envers son peuple. La cruauté exprimée envers son peuple est traumatisante et impardonnable. Dans le texte, nous pouvons comprendre que l’histoire des communautés autochtones a été modifiée et filtrer en faveur du peuple blanc. Ils ont su dissimuler la réalité et raconter leur histoire sous une vison de héros.

Assimilation des autochtones

Le Peuple blanc à tuer la culture des autochtones, ont privé les peuples autochtones de leur identité et forcer à en adopter une nouvelle. Pour quelle raison? Pour détenir le pouvoir sur eux évidemment. Tout est une question de pouvoir pour les hommes blancs. Sans les avertir ou leur demander leur avis, les hommes blancs les ont exploités et ont détruit leur vie. Ils les ont forcés à vivre une vie qui n’était pas la leur, mais celle des blancs. Leur façon de parler, leurs façons de vivre et de pensé. De nos jours, le consentement est une des choses les plus importante dans notre société. Ce terme nous est appris et enseigner dès notre tout jeune âge. Selon moi, ce qui s’est passé dans ces années contre les peuples autochtones est le contraire même du consentement. Ce qui est ancré dans notre société aujourd’hui est contradictoire face à nos actions précédentes. Le peuple blanc à honte! Honte d’avoir arraché des enfants des bras de leurs parents, des avoir changer, des avoir maltraité, des avoir tué. 

https://information.tv5monde.com/info/les-pensionnats-autochtones-le-crime-dont-le-canada-peine-se-remettre-411613

En mai 2021, 215 dépouilles de jeunes enfants autochtones ont été découvertes sur les terres d’un ancien pensionnat autochtones à Kamloops, en Colombie-Britannique. Durant plusieurs années, des milliers de jeunes autochtones ont été arrachés de leurs familles pour atterrir dans des pensionnats gérés par des institutions religieuses pour tenter de les assimiler. Découvrir les « restes » de ces enfants, donc certains qui n’avais pas plus de 3 ans, n’a pas été une surprise. En effet, nous connaissions l’existence de ces enfants disparue, car des autochtones en ont parlé lors de témoignages il y a 5 ans. 

 Ce drame terrible est qualifié de génocide culturel. En tout, plus de 150 000 enfants autochtones ont été enlevés à leurs familles entre la fin des années 1800 et 1996. On estime à environ 6 000 le nombre d’enfants autochtones qui ont disparu dans ces pensionnats autochtones. Cette tragédie me trouble et me frustre énormément, je trouve ça scandaleux. Le gouvernement serait supposé être au courant d’une centaine de disparition d’enfant depuis 5 ans et personne n’a pris l’initiative de faire des actions pour les retrouver. Selon moi, c’est de la banalisation envers les autochtones. En effet, il était au courant de l’inquiétude qu’ils avaient par rapport à ces enfants disparus et ils n’ont fait qu’ignorer la vérité, selon moi, par peur de ce qui pourrait leur arriver. Banaliser une telle situation invoque le fait de n’accorder aucune importance à un groupe d’humains. Comment est-ce possible d’envisager une réconciliation si le peuple autochtone n’obtient pas leur statut d’humain égal et important. Selon moi, il ne pourrait pas avoir de réconciliation tant que leur liberté d’expression et leurs droits ne seront pas respecté. En effet, notre société de peut pas être juste et égalitaire s’il y a encore aujourd’hui des gens qui sont dévalorisé et méprisé.   

https://ici.radio-canada.ca/espaces-autochtones/1828421/coroner-joyce-echaquan-atikamekw-rapport-gouvernement-racisme-lacunes

Le racisme systémique et les préjugés envers les peuples autochtones sont encore très présent dans notre société. Le racisme systémique est une notion décrivant une forme de racisme qui est ancré dans l’organisation et les relations sociales au sein d’une société. Ce racisme génère des discriminations qui touchent aux sphères de la société comme la justice pénale, l’emploi, le logement, l’éducation et la santé. 

 En septembre 2020, Joyce Echaquan, une jeune femme autochtone, publiait une vidéo sur Facebook pendant que des employées d’un hôpital lui disaient des insultes à caractère racial. Elle est décédée peu de temps après. Le rapport sur sa mort indique qu’elle est décédée de cause accidentelle, mais que le racisme et les préjugés des employées y ont contribué. Dans son rapport, Géhane Kamel dresse une liste d’actions qui auraient pu changer la situation clinique. La mise en place d’une surveillance par une infirmière d’expérience, la reconnaissance précoce de son état précaire ou encore l’installation d’un monitoring cardiaque aurait pu éviter sa mort. « Sur la base de ce préjugé, il en découle que ses appels à l’aide ne seront malheureusement pas pris au sérieux » et que « cette étiquette de narco-dépendance la suivra tout au long de son séjour et guidera les actions du personnel soignant jusqu’à son décès », peut-on lire dans le rapport. Le coroner ajoute que malgré son caractère parfois involontaire, cette forme de racisme a pour effet de perpétuer les inégalités vécues par les personnes d’origine autochtone. Mme Echaquan n’est malheureusement pas la seule à vivre cette situation. Le gouvernement québécois doit reconnaitre l’existence du racisme systémique au sein des institutions et s’engager à contribuer à son élimination. C’est l’unique recommandation faite au gouvernement par le coroner dans son rapport sur la mort de Joyce. 

Comme je trouve cela triste d’observer encore dans notre société des humains traité d’autre humain comme des êtres indigne. Selon moi, chaque humain a le droit d’être traité avec respect et de façon égale à l’autre. Tout le monde devrait avoir droit aux mêmes services et traité avec dignité. Il est invraisemblable pour moi que des humains décident selon leur Idéologie qui mériterait de mourir alors que chaque humain mérite de vivre. Selon moi, il est impossible pour les peuples autochtones d’envisager une réconciliation alors que des événements aussi tragiques arrivent encore aujourd’hui. Nous ne pouvons plus blâmer le passé pour des actions qui se passe encore dans le présent. Selon moi, aucune réconciliation ne serait envisageable avant que toute préjugés et racisme serait complétement disparue de notre société. Autrement, nous allons continuer de tourner en rond dans la haine et le mépris et d’autre événements aussi tragiques continueront d’exister.   

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *