
Ex.: La fameuse saga Harry Potter a bercé en grande partie l’enfance des jeunes de la génération Z.
Ce document d’enquête sera divisé en plusieurs parties entre autres: mes notes personnelles du cours à fur & à mesure, les résumés & idées importantes venues de mes recherches & quelques contenus cinématographiques ou bien visuels pour faciliter la compréhension de mon idée ainsi que mes opinions sur les divers sujets.
Résumé de mes notes de cours
Cours 1 – Introduction: La figure de la sorcière
Cours d’un point de vue méthodologique, soit l’observation du monde extérieur. L’objectivité scientifique repose sur un regard sur le monde extérieur. Le monde des corps physiques. Puisque les objets, l’on peut les définir et en arriver à un consensus.
Dans nos habitudes sociales, ce que nous valorisons à titre de connaissances, l’on applique la méthode de l’objectivation. L’on recherche une rationalisation de nos connaissances. Cependant, la problématique est plus compliquée. Il y a une évolution, la perspective que l’humain voit les choses est toujours changeante grâce à nos institutions, nos valeurs, la sensibilité de chacun, cela contribue à la complexité de la problématique.
Le rapport subjectif change entre chaque individu. L’on pense qu’avec la rationalité, tout peut se résoudre, alors que l’humain a des caractéristiques différentes, il est en constant changement. L’humain est libre, cette liberté rend difficile sa compréhension.
Dès lorsqu’on se met à analyser et essayer de comprendre un sujet, celui-ci se transforme déjà. La signification des faits est loin d’être objective et définitive, celle-ci dépend des points de vue et des jugements de chacun. Cela nous pousse vers une réflexion et nous mène vers une remise en question.
La figure de la sorcière est en lien étroit avec le féminisme, l’État moderne, le capitalisme, la lutte de pouvoir entre l’Église et l’État, etc. L’explication des crimes d’hérésie et de sorcellerie durant l’Inquisition.
La sorcière renvoie au problème général de la représentation. Soit un archétype, stéréotype, une image de quelque chose. Dans ce cas, l’on catégorise, l’on généralise et à la limite l’on banalise certaines situations. Cela crée une image qui va reproduire quelque chose de la réalité, cela nous rend sensible, inételligible, quelque chose qui nous vient de la réalité. La représentation construit aussi un imaginaire populaire de la situation.
La signification de la sorcière; celle-ci peut être méchantes, mais aussi gentilles. Des femmes qui ont du pouvoir, sont indésirables, etc. Dans sa représentation il y a la contradiction, un paradoxe. Cette figure est porteuse de l’inégalité entre les hommes et les femmes. Dans le patriarcat elle est associée à une oppression, des femmes qui veulent aller contre les gouvernements.
L’imaginaire peut devenir réel par le biais d’institutions telles que par exemple des boutiques qui vendent des produits de sorcellerie. L’on tente de faire exister des éléments qui sont non vrais à l’habitude. Il y a alors un passage réciproque de l’imaginaire vers la réalité. Il est donc difficile de démêler et départager le faux du vrai, des croyances et des légendes du vrai dans la vie réelle.
La puissance elle-même devient peut-être un effet placebo, soit on y croit tellement, que l’imaginaire peut devenir une réalité pour l’individu.

Cours 2 – Le contexte historique: conditions d’émergence de l’Inquisition
Les conditions de possibilité, qu’est-ce qui a rendu possible l’Inquisition? Passer de l’imaginaire enfantin vers une réalité historique.
Présentation des consignes de rédaction:
- Introduction = présenter une problématique, un questionnement et expliquer les enjeux proposés (représentation, banalisation à travers la figure de la sorcière de violences faites aux femmes).
L’enquête est une base de données avec les diverses informations trouvées sur la figure de la sorcière. C’est à partir de ces informations-là, que s’écrit la question de recherche. Pourquoi votre question est d’intérêt public? Pourquoi c’est un sujet important d’y réfléchir.
- Développement = Se divise en deux. Une partie subjective et une partie objective.
- Se situer par rapport à la question / sujet d’enquête, son opinion, ses sentiments en lien avec l’enjeu.
- Comparez votre opinion / point de vue avec un certain espace public (entourage, parents, famille, société).
- Utiliser une théorie d’un auteur pour trouver une signification sociale de mon analyse.
- Mesurer les conséquences sociales de notre analyse. Quelles sont les conséquences sociales reliées au sujet sur notre société actuelle.
- Conclusion = Qu’est-ce qui devrait changer dans notre société? Il y a t-il des institutions qui devraient être modifiées?
Comment procéder? Rassembler des citations, résumer des cours, développer des réflexions personnelles, utiliser des images et définitions, utiliser un plan de rédaction, faire une médiagraphie. Il faut rester constant dans le document d’enquête, les sources doivent être pertinentes et variées.
*Se connecter au site pour commencer la rédaction de l’enquête. Cliquez sur « créer un article”, titrer l’article et le catégoriser.
Les conditions d’émergence et ce qui a rendu possible l’Inquisition
Point de vue anthropologique: Étude de l’humain de l’espèce humaine, les traits communs partagées entre les individus. L’imagination permet de revenir sur le problème de la représentation.
Les caractéristiques de l’imagination humaine (expérience de pensée, la puissance de l’imagination) = exemple de la pomme. L’imagination est indissociable d’une certaine expérience et du contexte vécu. Dimension collective et personnelle. Cela peut être réaliste et devenir imaginaire ce qui implique une transformation. L’imagination et son étroite sensation physique.
Les conditions politiques: l’imaginaire va s’instituer dans la réalité par des propositions imaginaires à faire exister afin de justifier, légitimer des croyances en les rendant historiques. Le tribunal de l’Inquisition sert à combattre les hérésies et les idées qui allaient contre les dogmes et croyances religieuses.
La condition mythologique: il y a aussi une histoire propre à l’imaginaire. Exemple de l’imaginaire grec (Circé et Médée).
- Circée = Fille du soleil, femme fatale, lien étroit avec la magie, stéréotypes de la beauté.
- Médée = Fille du soleil, femme vengeresse, fratricide, infanticide, animalité, étrangère.
Rassemblement des caractéristiques de Circée et de Médée pour n’en créer qu’une. La figure de la sorcière. Les aspects peuvent changer et la transformation des deux accentue le nombre de personnes qui peuvent “être des sorcières”, celles-ci sont le stéréotype et la figure. L’on insère une ou des contradictions pour inclure le plus de monde possible.
La condition métaphysique: ce sont des principes d’idées, conséquences sociales qui forment des organisations structurées. La métaphysique est propre au dogme de la théologie chrétienne basé sur des dogmes de liberté (l’angoisse métaphysique de la liberté).
- Le dogme du péché originel; le fait que le mal a été choisi par l’humain. L’exemple d’Adam et Ève. Soit le mal a été choisi librement par l’homme. La tentation du serpent, mais Ève l’as bien choisi. Pour les sorcières; on va croire qu’elles ont choisi le mal.
- Le dogme de la rédemption; c’est la liberté de choix que l’on va se sauver comme humain.

Cours 3 – Certaines hypothèses de la figure de la sorcière lors de l’Inquisition
Les hypothèses de ce qui a mené l’Inquisition; faire des femmes des boucs émissaires (personnes ou groupes qui vont porter le blâme et être tenus responsables des malheurs de l’ensemble de la communauté).
La femme de manière générale, va être prise comme bouc émissaire. Cela va se traduire en chasse aux sorcières.
Silvia Federici prend le marxisme et le transpose au problème de représentation de la sorcière. Elle fait une critique de Marx. Il y a une position feministe très importante.
Armelle LeBras Chopard est une politologue et s’intéresse au patriarcat ainsi que l’émergence de la modernité.
Hypothèse 1: La femme bouc émissaire
Comment l’Inquisition a pu cesser? Au moment où l’humain et la société sont devenus plus rationnels nous aurait amené à combattre les superstitions. Cela valorise la raison. Les superstitions entretiennent les confusions, si l’on est plus rationnel, l’on peut amener à cesser de croire en des fabules.
L’on passe d’une science aristotélicienne vers une science moderne dans laquelle l’humain est au centre de l’univers.
Au moment où il y a la science moderne, de la société de droit, où il y a la séparation de l’Église et de l’État ou bien où il y a une conception humaniste, il y a eu une augmentation de la violence accrue des violences et elle c’est simplement transformé, c’est donc uniquement un préjugé.
Les femmes ont pris le blâme de tous les malheurs de la Renaissance et du Moyen-Âge à travers les superstitions et l’Inquisition.
Hypothèse 2: La place grandissante des femmes
Des faits objectifs qui ne sont qu’en fait des représentations patriarcales. Ce n’est pas parce qu’ils ne sont pas rationnels, mais les points de vue adoptés sont nuancés.
Quand il y a la rationalisation de quelque chose, mais les moyens et la fin peuvent être nuancés. La féodalité est une structure étatique très différente qui met en œuvre les seigneurs et ses serfs avec un lien de protection.
Hypothèse 3: Le transfert de la lutte de pouvoir entre l’Église et l’État
Il y a l’émergence d’une société moderne par laquelle l’on lui donne la souveraineté des États qui repose sur une autorité humaine. Il y a un monde céleste et spirituel vs un monde terrestre. Il y a une lutte constante entre les deux institutions (la politique et les luttes de pouvoir entre l’Église et l’État).
Faire confiance à la raison humaine pour organiser la société et non plus sur la volonté de Dieu pour légitimer l’autorité. Il y a une forte valorisation de la raison humaine.
Pater familias = Le modèle du père de famille. Ce n’est plus Dieu qui a l’autorité, mais un homme comme dans le milieu familial. En choisissant ce modèle, la femme c’est trouvée en dessous de l’homme, mais aussi en dessous d’une structure étatique.
- L’affirmation de l’égalité devant Dieu.
- Une doctrine du mariage protégeant la femme contre certains abus.
- Consentement des deux époux pour l’union.
- Monogamie à l’avantage de la femme.
- Indissolubilité du mariage protégeant contre la répudiation.
- Le plaisir est considéré, jusqu’au XVIIIème siècle, comme facteur de procréation.
- Présence de considérations morales de toutes sortes concernant les droits et devoirs des époux.
Au lieu que la situation s’améliore, celle-ci devient encore plus violente.
Hypothèse 4: Le fantasme projeté sur les femmes
Un fantasme c’est une production imaginaire qui représente le sujet dans un scénario déterminé à la manière d’un rêve où s’exprime un désir. Cela rend compte une peur avec des caractéristiques. C’est donc une projection.
Hypothèse 5: La modernité et du processus de domestication de la nature
L’on est en pleine émergence de la science moderne et d’un point de vue de la rationalité.
L’usage des sens est incorrect. Nos sens nous trompent. Il faut remettre en question les sens. Il y a une très grande valorisation des savoirs fondés sur la raison donc sur l’abstraction et la généralisation.
Ce qui fait l’humain, c’est sa raison. “Je pense donc que suis”, mais le corps en lui-même fait partie de la nature. la sorcière bien aimée
La rationalisation capitaliste de la sexualité
Il y a l’instrumentalisation de la raison. C’est le moyen auquel on arrive à nos fins. Le capitalisme prend une prise sur le corps de la femme. Le capital prend le concept d’accumulation primitive. Cette accumulation primitive se fait sur le dos des ouvriers dans les usines, mais aussi sur le dos des femmes dans leurs corps.
Il va y avoir la séparation de la valeur intrinsèque des choses et des modes de production.
EX.: Un artisan est plus enclin à donner une de ses œuvres, plutôt qu’à la vendre. La valeur de l’œuvre est encore plus haute que le coût de celle-ci.
La coupure entre la valeur intrinsèque vs les modes de production. L’artisan vs l’ouvrier. On sépare le sens d’origine de l’objet.

Mon enquête approfondie
Source 1; Quelles est l’origine de la sorcière?
Quelle est l’origine des sorcières ? (28/10/21). Repéré le 22/09/22 dans Les sorcières: Qui sont elles? Quelle est leur origine à https://saviezvous.fr/sorcieres-origine
Entre mythes & réalité
Les origines de la sorcière remontent de très loin vers l’Antiquité grecque avec le personnage de Asclépios, le Dieu de la médecine. Celui-ci avait pour coutume d’utiliser des concoctions ainsi que potions « magiques » pour guérir les malades. C’est à partir de ce moment-là que médecine et sorcellerie ont vu le jour sous une forme connexe & complémentaire. À l’époque des mythes grecs, on racontait que la région de Thessalie était la « niche des sorcières », soit l’endroit dans lequel ces immondes créatures se tapissaient dans l’ombre.
Plus tard dans l’histoire, l’Empereur Auguste fit brûler de nombreux manuscrits contenant des notes de sorcellerie. Les femmes prises aux dépourvu en pratiquant de la sorcellerie étaient forcées à l’exil. Souvent des des herboristes, des sages-femmes, des devineresses, des astrologues, ou encore des guérisseuses étaient mises à l’écart de la société.
La sorcière Erichto
Les origines de la sorcière connue d’aujourd’hui comme laide, répugnante et vile vient du mythe de la sorcière Erichto. Une femme vivant seule et qui s’adonnait à des rites pour parler avec les morts. Voici une brève description de cette mystérieuse figure maléfique: “Une maigreur affreuse envahit le visage flétri de la sacrilège, et sa face terrible, inconnue du ciel serein, est empreinte d’une pâleur stygienne et alourdie de cheveux en désordre”.
La chasse aux sorcières
Avec l’arrivée des temps modernes, l’humanisme a reprit son cours environ en 1448. Le fait de vouloir en apprendre plus sur l’être humain, l’on chercha à fouiller dans les vestiges du passé, notamment dans de vieux manuscrits. C’est alors que commence la chasse aux sorcière, une violente & sanglante révolution qui défendait les crimes d’hérésie & de sorcellerie. Des millions d’hommes & de femmes, accusés d’être des sorcières, loups-garous & adeptes du diables furent torturés & exécutés dans d’atroces souffrances. La puissance magique de ces femmes n’étaient rien d’autre qu’une connaissance plus profonde de la médecine moderne. En cette période ou le monde change et se redécouvre, le christianisme recherche de nouveaux fidèles. Pour ce faire, l’Eglise use des accusations faites contre les sorcières pour divertir le peuple et satisfaire sa soif de violence.
Les sorcières de Salem
Une fois déclarées possédées par le diable, trois femmes sont accusées de sorcellerie. Tituba une esclave, Sarah Osborne, une femme âgée malade et Sarah Good, une mendiante, sont alors emprisonnées. Très vite, de nouvelles accusations surgissent et d’autres femmes de Salem s’entassent dans le pénitencier en attendant d’être exécutées. En seulement un an, 200 suspectes sont arrêtées, 150 sont placées en détention et 19 sont pendues. Au total, l’affaire des sorcières de Salem a fait 40 morts.
La sorcière contemporaine
Un regard plus féministe s’impose lorsqu’on pense à la sorcière moderne. C’est parce qu’une sorcière est une femme qui a du savoir et donc du pouvoir, qu’elle est persécutée. Ces massacres résultant des chasses aux sorcières, associés par certains à un génocide, constituent un véritable crime contre l’humanité. Pour plusieurs courants féministes de la seconde vague, la sorcière incarne un symbole de revendications.
Aujourd’hui, on retrouve des sorcières dans ce qu’on appelle la sorcellerie moderne : la Wicca. Ce mouvement comprend des éléments de différentes croyances telles que le chamanisme, le druidisme ou encore les mythologies gréco-romaines. Les wiccans vouent un culte à la nature et à sa force et, une grande partie d’entre eux, pratiquent la magie. La Wicca s’est diffusée dans les années 1970, appelant à la redécouverte du féminin sacré, et prospère encore aujourd’hui.
Accusée d’être une sorcière, Akua Denteh de 90 ans a été lynchée et battue à mort dans les rues de Mempeasem en juillet 2020. Dans certaines régions d’Afrique, les sorcières font peur et sont pourchassées. Selon Amnesty International en Gambie, plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées et placées en détention. Ces personnes sont torturées et forcées à boire une boisson hallucinogène les contraignant à avouer leur sorcellerie. La chasse aux sorcières est encore loin d’être terminée.

Source 2; Les sorcières existent bel et bien. Et depuis des siècles, elles sont persécutées
Les sorcières existent bel et bien. Et depuis des siècles, elles sont persécutées. (20/10/20). Repéré le 22/09/22 dans National Geographic à https://www.nationalgeographic.fr/voyage/2020/10/les-sorcieres-existent-bel-et-bien-et-depuis-des-siecles-elles-sont-persecutees
Salem, une ville de sorcières!
Dans les années précédant la pandémie de coronavirus, près d’un million de touristes se ruaient dans la ville dans une sorte de pèlerinage qui a permis de générer 140 millions de dollars (environ 118 millions d’euros) dans la ville, dont le nom évoque immédiatement les procès de sorcières de 1692, au cours desquels 19 personnes ont été condamnées à mort pour sorcellerie.
Des scènes similaires se produisent à longueur d’année à Zugarramurdi, dans le nord de l’Espagne, où 7000 personnes ont été accusées de sorcellerie lors des procès de sorcellerie au Pays basque au début des années 1600. La vente de poupées dans des boutiques de souvenirs comme celles que l’on trouve en Espagne « perpétue l’idée que les soi-disant sorcières… n’ont pas été victimes d’une terrible persécution, mais étaient des personnages fictifs », explique Silvia Federici, auteur de Caliban et la sorcière. « Je ne pense pas que les touristes qui achètent ces poupées se rendent compte qu’il s’agissait de femmes qui ont été accusées de crimes fictifs, puis torturées de la plus horrible des manières et le plus souvent brûlées vives. »
L’histoire se répète
Britannica la catégorise comme une croyance religieuse et la définit comme « l’exercice ou l’invocation de prétendus pouvoirs surnaturels pour contrôler des personnes ou des événements, des pratiques impliquant généralement de la sorcellerie ou de la magie ». Mais la sorcellerie englobe un large éventail de croyances culturelles et régionales, du chamanisme aux idées métaphysiques en passant par les traditions folkloriques préchrétiennes. La chasse aux sorcières est aussi une pratique du 21e siècle dans de nombreuses régions du monde, en particulier en Afrique subsaharienne, en Inde et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. En plus d’avoir des lois contre la sorcellerie (un crime passible de la peine de mort), l’Arabie saoudite a créé une unité anti-sorcellerie en 2009 au sein du département de la police religieuse nationale. La sorcellerie peut être une excuse commode pour répondre au problème croissant des violences faites aux femmes. « Les violences faites aux femmes se sont considérablement intensifiées ces dernières années», dit Federici.
Une commémoration plus appropriée
Le mémorial « Proctor’s Ledge » de Salem est un espace paysager sobre où les accusées de sorcellerie ont été pendues en 1692. Dans l’Essex, en Angleterre, une petite plaque énumère les noms des 33 victimes qui ont été détenues à Castle Park.
Un équilibre difficile
Malgré tout le kitsch autour des sorcières, Salem est l’un des rares endroits à avoir fait acte de reconnaissance de cette partie de son histoire. Dans les décennies qui ont suivi les procès pour sorcellerie, les accusateurs se sont officiellement excusés pour les événements de 1692. Trois cents ans plus tard, Salem a érigé un mémorial aux victimes et, en 2002, le Massachusetts a disculpé tous les accusés. Le secteur du tourisme a également été touché ; les sorcières des temps modernes mènent désormais des visites guidées et expliquent la véritable histoire de la ville, dissipant les stéréotypes.

Source 3; L’histoire des sorcières
L’histoire des sorcières. (07/06/20). Repéré le 22/09/22 dans Ô Magazine – L’histoire des sorcières à https://omagazine.fr/lhistoire-des-sorcieres
Au commencement des temps
Elles sont, en majorité, acceptées, ou du moins, tolérées. En effet, elles viennent en aide aux populations. Mais, comme souvent dans l’histoire des sorcières, le calme ne dure pas. C’est notamment l’Empire romain qui fragilise leur position et punissait l’acte de sorcellerie à de mauvaises fins. C’est la Lex Cornelia qui condamne à mort ceux qui utilisent la magie noire, qui perturbent les éléments et nuisent à autrui.
Le Moyen-Âge contre les femmes
Le christianisme qui les tolérait jadis revient sur ses propos. La sorcière apparaît alors comme un être maléfique ayant pactisé avec le diable. Le pape Jean XXII, en 1326, est le premier à assimiler la sorcellerie à de l’hérésie. Ses successeurs lui emboitent le pas et dénoncent de plus en plus ces pratiques millénaires. Les sorcières sont alors contraintes de se tapir dans l’ombre et d’être encore plus discrètes. À cette époque, l’histoire des sorcières se teinte de rejet et de terribles accusations. Elles sont des monstres parce que différentes. Cependant, les chasses aux sorcières et les bûchers vont mettre trois siècles à arriver. Néanmoins, de nombreuses femmes accusées de sorcellerie seront arrêtées, torturées et tuées. Notons d’ailleurs qu’on compte dans les accusations envers Jeanne d’Arc « devineresse » lors de son procès en 1431. Il faut un bouc-émissaire pour exister la haine et divertir le peuple. Ce seront les sorcières qui joueront ce rôle.
Les sorcières sous l’époque moderne
On définit certains critères physiques et/ou sociaux qui identifieraient les sorcières au-delà de leurs pratiques : rousse, avec des tâches de naissance, une veuve qui refuse de se remarier, une vieille femme seule, une célibataire par choix, une mère qui a fait plusieurs fausse-couche… En somme, toutes celles dont les modes de vie ne correspondent pas à la norme.
On les accuse de se livrer à des rites sataniques, à des sacrifices d’enfants ou encore à la concoction de poisons. Or, en réalité, la plupart sont guérisseuses ou sages-femmes. Elles ont recourt à la médecine traditionnelle, à bases de plantes et de racines médicinales, thérapeutiques. Pour beaucoup de populations rurales, les sorcières sont le seul moyen de se soigner.
Les procès arbitraires se multiplient et se démocratisent partout en Occident. Les brasiers s’élèvent contre ces femmes. On décompte ainsi pas moins de 60.000 condamnations à mort. La plupart des excusions sont féminines et le seront presque exclusivement sur la fin. C’est Louis XIV qui met fin définitivement à des siècles de persécution. Il déclare, en 1672, que la sorcellerie est « irréelle et inventée ». Effectivement, on explique désormais bien mieux l’univers et ses bouleversements grâce aux progrès de la science et de la médecine. Le Roi-Soleil rappelle à lui les brigades spéciales et les dissous. Il ignore encore, que cinq ans plus tard, l’Affaire des poisons allait ranimer les accusations de sorcellerie.
L’histoire des sorcières dans le monde contemporain
On estime qu’en plus de trois siècles de persécutions, ce sont des milliers de femmes qui auraient péri. Le nombre de décès féminins se chiffre à 80%. La première à associer sorcière et féminisme sera l’Américaine Mathilda J. Gage et son Femme, Église, État de 1893. Fervente militante pour le droit de vote de femme, elle propose alors un portrait qui brosse l’histoire des sorcières sous le prisme féministe. Elle offre ainsi une nouvelle instructive lecture d’une histoire séculaire et douloureuse.

Source 4; Quand les sorcières sont-elles apparues en Occident ?
Bernadette ARNAUD, Quand les sorcières sont-elles apparues en Occident ? (31/10/15). Repéré le 22/09/22 dans Sciences et avenir à https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/quand-les-sorcieres-sont-elles-apparues-en-occident_21945
En ces temps d’Halloween, lointain héritage d’anciennes fêtes païennes, les sorcières n’enfourchent plus leur balai… et les citrouilles se transforment en lanternes : Harry Potter est passé par là ! Mais que sait-on aujourd’hui de ces créatures apparues au Moyen Âge — essentiellement des femmes —, qui furent persécutées pendant des siècles au point de finir au bûcher ?
Quant parle-t-on de sorcière pour la premièrere fois?
Il y a un grand débat sur l’origine et l’étymologie de ce mot, mais sa première mention en français apparaît au milieu du XIe siècle, dans le Roman d’Éneas (1060).
Qu’est-ce que le « sabbat »?
l’adjectif “sabbat” désigne des “réunions nocturnes de sorciers” qui se retrouvent au cœur de la nuit, dans des landes désertes ou des forêts pour participer à des cérémonies et des orgies rituelles.
Combien y at-il eu de morts dans les procès pour sorcellerie?
Selon la chronologie proposée par l’historien américain Richard Kieckhefer, il y a eu 5 à 10 procès par an entre 1300 et 1420 avec la sorcellerie comme chef d’accusation. Puis on passe à 40 procès par an jusqu’en 1500. La tendance ne cessera plus d’augmenter : quelque 30 000 procès aboutiront à un taux très élevé de condamnations à mort entre le XVIe et le XVIIe siècle, notamment dans le Saint Empire, en France et en Suisse. Vers 730, la Lex Alamannorum relate la condamnation de personnes qui auraient jeté des striae ou herbariae (sorcières ou herboristes) dans les flammes.
Toute l’Europe s’est lancée dans une immense “chasse aux sorcières” à compter du XIIe siècle, 70 % à 80 % des accusations concernant des femmes, pour qui dans 60 % des cas le verdict a été le bûcher !

Source 5; La véritable histoire sur l’origine des sorcières !
La véritable histoire sur l’origine des sorcières ! (2021). Repéré le 22/09/22 dans Wicca radio à https://wiccaradio.net/origine-des-sorcieres/
L’origine des sorcières remonte à l’antiquité, et dans cette époque très lointaine la sorcière était une sorte de femme chamane et païenne, qui vivait en osmose avec la nature ; elle communiquait et invoquait les esprits de la nature ; et elle vénérait les deux grands luminaires, c’est-à-dire le Soleil et la Lune. A travers le Soleil et la Lune, la sorcière y voyait la représentation des énergies du masculin sacré et du féminin sacré, c’est-à-dire du Dieu solaire et de la Déesse lunaire.
Aux cours de l’histoire des sorcières, selon les régions ou elles vivaient, et selon les panthéons qui y dominaient, le Dieu et la Déesse des sorcières ont prix des chemins symboliques et des dénominations assez variées, comme par exemple des divinités solaires telles que : (Apollon, Belenos, Osiris, Horus, etc) et des divinités lunaires telles que : (Artémis, Diane, Hécate, Isis, etc).
Dans l’antiquité, la religion des sorcières était imbriquée dans la religion dite Païenne, ensuite au cours des siècles elle fut influencée dans certaines régions par le chamanisme, la religion celtique, par les cultes religieux de la Grèce antique, ou dans d’autres régions par les cultes religieux nordiques…
En effet, la spiritualité dans la Rome antique était composée d’un ensemble de cheminements spirituels et initiatiques assez tolérant, et qui donc reconnaissait, engloutissait, et absorbait tous les différents cultes religieux pratiqués dans la région de l’Europe occupées sous l’empire Romain ; ce qui donnera naissance à un Paganisme assez proche du néopaganisme actuel et nommé dans les livres d’histoires par le terme « la vieille religion », ou « l’ancienne religion ».

Les sorcières d’aujourd’hui, que sont-elles devenues?
Source 6; Wicca, la religion des sorcières
Wicca, la religion des sorcières (04/05/2018) dans Médium Québec. Repéré le 26/09/2022 à https://www.mediumquebec.com/esoterisme/wicca-la-religion-des-sorcieres
La Wicca est essentiellement un culte qui repose sur l’énergie des êtres vivants. Les individus composent avec de la magie blanche ce qui permet la transmission d’énergie. Cette religion est tournée vers le bien et sur la maxime suivante: « fais ce que tu veux tant que tu ne fais de mal à personne ». Les wiccans n’ont pas de règles, de doctrine ou de chemin religieux bien définit. Chacun.e fais un peu ce qu’il désire.
Pour les pratiquants de magie, la symbiose avec la nature et la connaissance de soi, sont les éléments fondamentaux à l’individu pour qu’il accède à un stade de conscience modifié. La Wicca est le fragment de nombreux autres rites occultistes tel que les celtiques, chamanismes et autres cultes païens.
Le sabbat des sorcières, qu’est-ce que c’est?
Les sabbats sont principalement des fêtes importantes pour les sorcières. La plus connue est celle de l’Halloween; période à laquelle les wiccans se rappellent la mort de leur Dieu, qui renaîtra dans l’année (lors d’un autre sabbat). De plus, les dates du calendrier sont inspirés des cultes celtiques et païens. Les Dieux importants de la Wicca sont: le Seigneur Cornu et la Déesse Mère. Ce culte est en grande partie féministe, mais peut accueillir des hommes.
« La Wicca se rapproche donc plus d’un art de vivre en adéquation avec les cycles de la nature plutôt qu’une religion au sens propre ».

Source 7; Sorcières de la culture pop
TURCOT, Laurent. (2019). Sorcières de la culture pop [Vidéo en ligne]. Repéré le 26/09/2022 dans Savoir Média à https://savoir.media/lhistoire-nous-le-dira/clip/sorcieres-dans-la-culture-pop
La figure de la sorcière a évoluée depuis le Moyen Âge. Ainsi, elles peuvent être belles, laides, obèses, minces, trisomiques, noires, blanches, métissés, etc. Le cadre dans lequel ont les positionnait n’existent plus. Avec l’arrivée des sorcières dans la pop culture tel que dans la saga Harry Potter, celles-ci peuvent être n’importe où!
La caricature de la sorcière avec son chat parlant est maintenant désuet, désormais ce sont d’autres animaux qui laissent place à la compagnie de ces êtres maléfiques. Comme des serpents par exemple. L’accoutrement des sorcières est quant à lui aussi extrêmement important pour la reconnaissance de celle-ci. Il existe même aujourd’hui une association féministe de grande ampleur qui se considère même meilleure que les hommes! La sorcière n’est plus isolée seule, mais aidée par sa communauté.

Source 8; Qui sont les sorcières d’hier et d’aujourd’hui?
Solène. (2018). Qui sont les sorcières d’hier et d’aujourd’hui? Repéré le 26/09/2022 à https://www.bobonnemagazine.com/2018/10/31/sorcieres/
La chasse aux sorcières remonte aux prémices du Moyen Âge et connaîtra son apogée aux XVIe et XVIIe siècles avec sur 110 000 procès, 60 000 condamnations à mort, majoritairement féminines. Des femmes souvent veuves, sans enfant et/ou âgées et qui vivent dans des espaces reculés. Elles sont alors prises en grippe par l’église qui les voit comme une menace et les accusent de tous les vices. On les accusera par exemple (entre autre) de s’adonner à des pratiques monstrueuses comme le sacrifice d’enfants et l’élaboration de décoctions mortelles. Les accusations de sorcellerie se démocratisent et se féminisent. Elles deviennent la cible idéale des femmes jalouses ou des hommes infidèles auxquels elles se sont refusées. S’en suit une déferlante de procès arbitraires, impossibles à juger tant la preuve d’appartenance à Satan que tous recherchent, est évidemment inexistante. Plusieurs personages illustres tenteront de dénoncer l’absurdité de ces accusations. Montaigne après avoir rendu visite à l’une d’entre elle en prison, les qualifiera de « simples folles ».
C’est en 1682, que Louis XIV signe un édit royal qui déclare la sorcellerie « irréelle et inventée ». La chasse aux sorcières s’arrête comme elle est arrivée, selon la bonne volonté d’un homme. Effectivement, la médecine a fait des progrès et les maladies ne s’expliquent plus comme l’oeuvre du diable. De plus, le Roi Soleil ne tolère pas l’existence d’un système répressif qui sème le désordre dans son royaume.
Le premier déblocage des idées reçues
La littérature et la culture populaire ont continué à cultiver le stéréotype de la méchante sorcière notamment dans les contes pour enfants. Il faut attendre les années 70 pour changer l’image de la sorcière. Les féministes de la seconde vague s’emparent du mouvement et clament alors : « nous sommes les petites filles des sorcières que vous n’avez pas réussi à brûler ». Historiquement les sorcières étaient des femmes marginalisées par une institution patriarcale et une population misogyne. Leurs différences dérangeaient. Leurs potentiels « pouvoirs » effrayaient. Il est donc tout naturel que le mouvement féministe se soit approprié cette qualification autrefois peu glorieuse, mais Ô combien symbolique.
Dans une logique similaire, depuis quelques années les sorcières sont de retours. Les féministes actuelles ayant pris la suite de leurs aînées, les sorcières d’aujourd’hui sont synonymes d’émancipation, d’ouverture d’esprit et de rapprochement avec la nature. La sorcière est une femme libre et rebelle, queer et militante. « La sorcière est à la fois la victime absolue, celle pour qui on réclame justice, et la rebelle obstinée, insaisissable » nous dit Mona Chollet. Elle ajoute à ces propos : « Les sorcières sont des figures de femmes fortes, qui s’éloignent d’une voie toute tracée. C’étaient des femmes qui dérangeaient l’ordre établi et qui étaient pourchassées de manière arbitraire ».
Faire tomber les stéréotypes liés à la marginalisation de certaines femmes par la société et symboliquement faire passer un message.

Source 9; Sorcellerie moderne, les nouvelles militantes féministes
Temps Présent. (2021). Sorcellerie moderne, les nouvelles militantes féministes | Temps présent [Vidéo en ligne]. Repéré le 26/09/2022 dans Youtube.com à https://www.youtube.com/watch?v=a8fIq-1Bx98
De nombreuses filantes féministes se réunissent pour faire des révolutions féministes. Elles luttent pour des droits égalitaires, justes et équitables. Beaucoup de femmes ont perdues la vie lors des chasses au sorcières du Moyen-Âge. C’est un bon moyen que de faire des révolutions et protestations pour laver leur image et les enterrer dignement dans un passé lointain.
Source 10; Féminisme: les sorcières des temps modernes
GROGUHÉ, Marissa. (2018). Féminisme: les sorcières des temps modernes. Repéré le à https://www.lapresse.ca/vivre/societe/201812/14/01-5208081-feminisme-les-sorcieres-des-temps-modernes.php
Le collectif Des sorcières comme les autres est un groupe de jeunes femmes racisées, de différentes origines ethniques et sociales, formé en 2015. Militantes, féministes, elles ne s’adonnent à aucune pratique de la sorcellerie et leur démarche n’a en fait rien d’ésotérique.
La chasse aux sorcières
Dans son ouvrage Sorcières, paru en septembre, la journaliste et auteure franco-suisse Mona Chollet examine «la puissance invaincue des femmes», la résilience de celles qui ont été tuées pour leur genre et de leurs semblables qui se sont toujours élevées malgré tout, jusqu’à se dire «sorcières» pour mieux définir leur féminisme. Celles qui étaient accusées de sorcellerie étaient souvent guérisseuses, sages-femmes, célibataires ou veuves, bref, «toutes celles qui n’étaient pas subordonnées à un homme».
À la fin des années 60, un premier groupe radical de sorcières féministes, la Women’s International Terrorist Conspiracy From Hell (WITCH), voit le jour à New York. S’opposant surtout – mais pas seulement – au patriarcat et au capitalisme, ces femmes organisent des manifestations afin de troubler l’ordre public, toujours de manière théâtrale. En 1968, devant la Bourse de New York, elles lancent une malédiction contre Wall Street. Elles prennent part au mouvement Black Lives Matter, manifestent contre le suprémacisme blanc et pour le droit à l’avortement.
Ceux et celles qui pratiquent la sorcellerie ont grandi avec ces images, «ce qui peut avoir joué un rôle», selon l’écrivaine Mona Chollet.
Surnaturel et réalité
À l’instar de la Women’s International Terrorist Conspiracy from Hell (WITCH) dans les années 60, la communauté de sorcières s’est plusieurs fois réunie pour maudire des individus tels Trump, Brock Turner, jeune homme condamné pour de multiples agressions sexuelles, ou plus récemment Brett Kavanaugh, nouveau juge de la Cour suprême des États-Unis, accusé d’agression sexuelle.
Ces gestes, plus ou moins pris au sérieux par celles qui les font, s’inscrivent dans une forme de résistance féministe, tout en allant chercher dans l’univers des sorcières la perspective surnaturelle qu’on leur associe.

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Plan de rédaction pour le travail à remettre:
Introduction = présenter une problématique, un questionnement et expliquer les enjeux proposés (représentation, banalisation à travers la figure de la sorcière de violences faites aux femmes).
Présentation de la problématique + question;
Visée plus historique et factuelle. J’aimerais traiter de ce qui amené l’Inquisition, pourquoi la femme a été diabolisée? L’historique humain nous aide à nous repérer et expliquer les diverses tendances humaines.
- Contexte historique, facteurs basés et vrais qui aident à comprendre le monde d’aujourd’hui.
- L’émergence du terme de « sorcière », historique de cette figure, mythes et réalité.
- La chasse aux sorcières et l’inquisition.
- L’Église vs l’État = transfert des problèmes politiques vers des problèmes de sexe entre l’homme et la femme.
- Parler de l’image de la sorcière sur les traditions tel que l’Halloween, les films de Disney, l’univers cinématographique (Harry Potter, Les aventures de Sabrina…).
Développement = Se divise en deux. Une partie subjective et une partie objective.
Partie 1 – Analyser les diverses propositions et hypothèses de ce qui amené le contexte de l’Inquisition, de la diabolisation des femmes & des crimes qui ont été commis. De façon subjective il faut présenter les faits.
Partie 2 – Prendre position sur les diverses hypothèses emmenés au paragraphe 1 du développement. Donner son point de vue sur le sujet. Utiliser une théorie d’un auteur pour trouver une signification sociale de mon analyse.
Mesurer les conséquences sociales de notre analyse. Quelles sont les conséquences sociales reliées au sujet sur notre société actuelle.
Conclusion = Qu’est-ce qui devrait changer dans notre société? Il y a t-il des institutions qui devraient être modifiées? Les sorcières d’aujourd’hui, les Wiccan et autres sectes issues de la figure de la sorcière. Le militantisme féministe très fort sur la question de la banalisation de la sorcière.