Home/ Hip Hop : La voix des opprimés

« Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé. » -Nelson Mandela

Le Hip Hop dans sa critique entre le rapport dominant-dominé

En premier lieu dans toute société il y a une hiérarchie sociale, que ce soit par rapport à notre richesse ou à notre couleur de peau. Dès la naissance, certain naissance avec ces avantages qui ont déjà été établis par un système comme une monarchie ou un régime ségrégationniste comme en Afrique du Sud et aux États-Unis.

Texte explicite des dominant :

Principalement les discours politiques et l’influences des médias. Les dirigeants politiques sont des personnes très charismatique et la majorité de la population pensent qu’ils sont bienveillant. Si un gouvernement est élu 35 % de vote, çà veut aussi dire que le deux tiers de la population n’en voulait pas. Celui-ci plaira seulement à ses électeurs. Dans les années 70, le gouvernement américain favorisera l’hégémonie, don le peuple de race blanche. Les médias quant sont assez privatisés, de ce fait l’information du journal sera profondément influencé par la mentalité du patron de la boîte.

Texte caché des dominant :

Les lois établis par les institutions et l’absence d’une représentation de la minorité raciale dans les fonctions sociale . Des courtes phrases écrites par le sénat qui personnifient les idéaux racistes des hommes aux pouvoirs. Par exemple, une pancarte devant une toilette «white people washroom». À la télévision, il n’y a que la culture blanche qui est représenté, aussi dans les films les noirs jouent toujours le rôle de l’abruti ou du malfaiteur. Le profilage raciale est une forme caché de racisme, car explicitement les policiers diront jamais qu’ils ont été ordonné par leur supérieur d’être plus méfiant des minorités raciales.

Texte explicite des dominés :

Les manifestations en publique, les boycotts et les émeutes. La première façon de montrer son désaccord avec une institution que ce soit pour des conditions de travail ou pour lutter contre une injustice, une manifestation pacifique est la première solution. Ensuite comme dans l’exemple de Rosa Park, le boycott peut forcer un changement dans la société, car l’argent peut vite influencer les dominants à céder au demande des subordonnés. Puis il s’ensuit des émeutes, lorsqu’un système est trop fortement implanter la force est obligatoire pour faire déstabiliser le pouvoir de l’autorité.

Texte caché des dominés :

Les livres et les arts. Depuis l’antiquité les livres et les écrits sont la bibliothèque du savoir. Rien de mieux pour transmettre ses idée et sa perspective des choses. Le problème c’est que les dominants peuvent censurer ce qui pourrai perturber leur règne. Durant l’inquisition tous les livres qui ne convenait pas au norme de l’Église était mis à l’index. Les chants et les traditions orales ne peuvent être censuré c’est pour cela que le Hip Hop qui englobe le rap et le breakdance s’est répandu aussi vite dans le monde. Les noirs pouvaient dissimuler leur revendications à travers leur chanson sans prendre le risque d’être tué comme Martin Luther King ou emprisonner comme Nelson Mandela.

Le Hip Hop un mouvement communautariste

Le Hip Hop est un art de rue qui vu le jour dans le ghetto de Bronx. Des paroles brutes mais ayant une résonance profonde sont la marque de commerce du Hip hop. Cet pratique ne nécessite que de très peu de matériel pour sa pratique ce qui permet même au plus démunis d’écouter du rap. Les jeunes font des «rap battle» à la fois comme compétition pour voir qui a le plus de «flow», mais aussi pour s’entrainer à contrôler ses émotions face au force de l’ordre. Le Hip Hop permet une visibilité dans les médias aux noirs ainsi ceux-ci peuvent prendre parole sur des plateaux de télévision et exprimer leur opinion devant le grand public.

Critique de libéralisme

Pas besoin d’être entrer dans le sénat, pour savoir que c’est les vieux riches qui décident les lois. La liberté individuelle est la chose la plus précieuse dans notre société. Le pouvoir dans la société capitalisme se résument à la fortune de l’individu, plus tu es riche plus tu es libre. Certain homme comme Robert Moses, un urbaniste controversé de New-York, ont autant de pouvoir qu’un état. Prenons son exemple celui-ci utilisera sa richesse pour construire des routes partout à travers New-York et l’appui de la ville il construit des ponts très bas afin que les bus qu’utilisent les minorités raciales ne puissent pas emprunter ses autoroutes.

Et aujourd’hui?

La ségrégation n’existe plus dans l’occident, mais une autre forme apartheid à pris forme. Cela est principalement dû au néo-libéralisme, les pays du tiers-monde qui souffre comme l’Afghanistan, le Yémen, le Mali et j’en passe n’ont même pas une fraction de la couverture médiatique qu’on accorde à l’Ukraine. Pourquoi? Parce que ce sont des pays du tiers-monde et qu’il n’y a aucun intérêt économique à en tirer en aidant ces pays. En outre, les dominés peuvent désormais parler en public plus librement comme avec le mouvement Black Lives Matter qui dénonce la brutalité policière. Le profilage raciale existe toujours, mais la mentalité des policiers a changé, ils ont évolué avec la société.