Les relations avec les Autochtones du Canada !

Les peuples autochtones du Canada sont les premiers habitants du Canada et ses descendants aujourd’hui. Des fouilles archéologiques récentes montrent qu’il reste des ruines vieilles de 30 000 ans. Certaines de ces personnes ont atteint le continent depuis la Sibérie orientale en Asie en traversant le détroit de Béring pour atteindre l’Alaska.

Le gouvernement reconnaît trois groupes de peuples autochtones au Canada : les Premières nations, les Inuits et les Métis. Selon le recensement de 2011, le Canada compte plus d’un million d’autochtones, soit 4,3 % de la population totale du Canada. 64 % d’entre eux sont indiens, 30 % sont métis et 4 % sont inuits. En 2017, le ministère des Affaires autochtones et du Nord du Canada a approuvé environ 630 bandes au Canada.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Autochtones_du_Canada

Qui sont les principales groupes Autochtones du Canada ?

Premières Nations : Les Premières Nations sont le peuple autochtone dominant en Amérique du Nord dans le sud du cercle polaire arctique. Ils représentent 64 % des peuples autochtones du Canada. Ils sont répartis en 50 personnes de langues et de cultures différentes. En 2017, il y avait plus de 630 bandes et autres gouvernements autochtones à l’échelle nationale approuvés par les Questions autochtones et nordiques du Canada. Environ la moitié d’entre eux ont été trouvés en Colombie-Britannique et en Ontario. La majorité des peuples autochtones possèdent un territoire qui leur est réservé et connu sous le nom de « Réserve indienne ». Mais aujourd’hui, la majorité des peuples autochtones vivent dans des zones urbaines plutôt que dans des colonies.

Inuits : Les Inuits sont un groupe de peuples autochtones vivant dans le cercle polaire arctique de l’Amérique du Nord. Ils partagent l’exécution de Thulé. Ils ne sont pas considérés comme indigènes, car leurs ancêtres seraient arrivés aux États-Unis des milliers d’années après leur arrivée. En fait, les Inuits ressemblent davantage à des personnes vivant dans le cercle polaire arctique de l’Asie qu’à des personnes en Inde. Historiquement, les Inuits étaient des chasseurs nomades. La majorité des Inuits ont tendance à s’asseoir aujourd’hui, mais la majorité vit encore de la chasse et de la pêche. Au Canada, les Inuits ont une population d’environ 40 000 habitants. Ils vivent principalement au Nunavut, dans les Territoires du Nord-Ouest, au Nunavik et au Labrador.

Métis : Métis est un Canadien autochtone d’origine amérindienne et européenne. En fait, le pays des Métis est né de femmes cries, ojibway, sousa et de mariages anciens entre Canadiens français et Canadiens anglais. Il est situé dans l’ouest du Canada. Sa langue traditionnelle est le métif, une langue créole issue du français et du cri. Aujourd’hui, Métis parle principalement anglais, mais le français existe toujours. Metchf a presque disparu, mais il est prêt à le faire revivre. Selon la Constitution canadienne, le terme « Métis » désigne spécifiquement le pays qui vit au Manitoba le long de la rivière Rouge. Aujourd’hui, le nombre de Métis est estimé entre 300 000 et 700 000. Puisque les Métis sont reconnus par la Constitution canadienne, ils ont réussi à reconnaître des droits ancestraux tels que les droits de chasse. De plus, le 31 mai 2005, une entente de principe sur l’autonomie de l’État métis dans la région d’origine des Métis a été signée entre l’État du Rallye Demetis et le gouvernement du Canada.

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Le réel problème que les communautés Autochtones vivent jours après jours.

Depuis la colonisation européenne des États-Unis, de nombreux peuples autochtones du Canada leur ont interdit de pratiquer leurs religions et cultures traditionnelles et ont forcé l’assimilation des enfants dans des pensionnats autochtones. C’est un sacrifice.

Aujourd’hui, ils ont de graves problèmes socio-économiques. Beaucoup vivent en dessous du seuil de pauvreté et sont surestimés par la population carcérale du pays.

La reconquête de leur identité face à la violence coloniale à faite surface et est endossée par plusieurs groupes canadiens. Cependant, les peuples autochtones sont toujours victimes du racisme et du colonialisme.

Quels sont leurs revenus ? Le revenu annuel des peuples autochtones au Canada est de 60 à 90 % du revenu du Canada. Le taux de chômage des Autochtones est le double du taux de chômage national. Plus de la moitié des peuples autochtones du Canada gagnent en dessous du seuil de pauvreté.

Comment se loge-t-il ? En octobre 2019, le Canada a été détenu par les Nations Unies en raison des conditions de logement des autochtones. La commission d’enquête souligne que les Aborigènes « en raison de cette situation ont tendance à avoir un mauvais confinement et des problèmes de santé ». En outre, « le nombre de sans-abri parmi eux est disproportionnellement élevé et ils sont très vulnérables aux expulsions, aux confiscations de terres et aux effets du changement climatique. Lorsqu’ils défendent leurs droits, ils sont souvent la cible de violences extrêmes. Les communautés autochtones sont également gravement touchés par la pénurie de logements dans le nord du Canada. Les collectivités dorment à tour de rôle. « Il y a 15 personnes qui vivent dans une maison de la taille d’une caravane. Quand on n’a pas beaucoup d’espace, il faut dormir à tour de rôle. »

Choyé par la loi ? Les peuples autochtones du Canada courent un risque plus élevé de criminalité que les peuples non autochtones du pays. C’est particulièrement vrai pour les jeunes de 15 à 34 ans. La violence domestique et les abus sexuels sur enfants sont plus fréquents chez les peuples autochtones. En effet, 25 à 50 filles sont abusées sexuellement, dont un pourcentage représentant 20 à 25 % de la population générale. En 2007, les 17 détenus au Canada étaient autochtones, même s’ils ne représentaient que 2,7 % de la population du pays. Cela correspond à un taux d’incarcération des Autochtones qui est six fois plus élevé que la population canadienne moyenne.

Terrible réalité… Les peuples autochtones du Canada ont l’un des taux de suicide les plus élevés au monde. Les taux de suicide chez les Autochtones sont trois fois plus élevés que la population canadienne moyenne, quel que soit le groupe d’âge. Les femmes autochtones sont « 12 fois plus susceptibles d’être victimes de violence que les femmes non autochtones », selon un rapport commandé par le gouvernement en 2019. Selon le journaliste Emmanuel Walter, « Ce meurtre d’une femme est le résultat de la pauvreté, qui est directement due au colonialisme vivant encore en Colombie-Britannique, qui a disparu lors de l’autostop. Pourquoi faites-vous de l’autostop ? Parce qu’il n’y a pas assez de transports en commun. « 

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Assimilation forcée…

Après la guerre de conquête britannique du XVIIIe siècle, le gouvernement du Canada a encouragé l’assimilation de la « culture canadienne » autochtones. Cette stratégie a conduit à une série d’initiatives visant à l’assimilation et à l’obéissance complètes à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Par les Aborigènes. Ces politiques ont été rendues possibles par des lois telles que la civilisation étape par étape et la loi indienne qui promeuvent les idéaux européens tels que le christianisme, la sédentarité, l’agriculture et l’éducation formelle. La christianisation des peuples autochtones au Canada a commencé avec l’arrivée des premiers missionnaires chrétiens au 17e siècle, mais la Loi sur les Indiens a été adoptée en 1876, introduisant de nouvelles sanctions pour ceux qui ne se sont pas convertis. Elle est donc devenue plus systématique sous la domination britannique. Christianisme. Par exemple, la loi interdisait aux Aborigènes non chrétiens de témoigner ou de comparaître devant un tribunal, et ils n’étaient pas autorisés à consommer de l’alcool. Lorsque la loi indienne a changé en 1884, les pratiques religieuses traditionnelles telles que le potlatch ont été interdites. D’autres changements en 1920 permettent aux peuples autochtones légalement reconnus de porter des costumes traditionnels et d’exécuter des danses traditionnelles pour mettre fin à toutes les coutumes non chrétiennes.

Une autre stratégie utilisée par le gouvernement du Canada consistait à séduire les peuples autochtones. Il croyait que cela faciliterait l’assimilation. Par exemple, au 19e siècle, le gouvernement a commencé à aider à créer des zones rurales modèles pour encourager les Autochtones à se calmer et à se lancer dans l’agriculture. Cette stratégie s’est avérée un échec. Par conséquent, le gouvernement s’est tourné vers la création de la réserve indienne, qui a été établie en vertu de la Loi sur les Indiens de 1876. La création de la réserve s’est accompagnée de lois restreignant les activités autochtones, telles que l’interdiction des boissons alcoolisées, des restrictions du droit de vote aux élections des conseils de bande, des réductions et des interdictions sur les terrains de chasse et de pêche. Des peuples autochtones légalement reconnus. Visitez d’autres groupes autochtones avec leurs rendez-vous.

La stratégie ultime du gouvernement pour assimiler les Aborigènes était le Indian Act Indian Housing School System. Le but était de sortir les enfants de la communauté « sauvage » et de devenir des « citoyens civilisés ». De 1847 à 1996, le gouvernement du Canada, en collaboration avec l’Église catholique, a géré 130 pensionnats dans tout le pays. J’ai été expulsé de leur maison. En 2008, le premier ministre Stephen Harper s’est officiellement excusé d’avoir été pensionnaire de l’école au nom du gouvernement du Canada et de ses citoyens. Entre la fin du XIXe siècle et 1996, plus de 150 000 enfants autochtones ont été placés de force dans ces internats religieux. Un directeur de l’Association pour la protection des enfants et des familles autochtones au Canada a déclaré : Par exemple, ils ont joué dehors, ont été kidnappés et ont été envoyés dans un pensionnat. Certains ne sont jamais revenus. »

En outre, des années 1960 aux années 1980, dans le cadre du « scoop des années 60 », 20 000 enfants autochtones ont été retirés de leur famille et placés dans des familles non autochtones.

Comment ils s’en sortent ! Ou plus ou moins réellement …

Au cours du dernier quart du 20e siècle, les revendications autochtones sont devenues plus importantes dans les médias non autochtones. Par exemple, des années 1960 aux années 1980, il a maintenu le comportement radical du film Mary Touax Early d’Alanis Obomsawin. Publication d’un roman autobiographique d’Innu-Koch An Antane Kapesh en 1976. Résistance largement acclamée à la crise d’Oka de 1990. Notez également que les femmes autochtones ont blâmé le manque de présence de mars 1995 dans les médias du pain et de la rose. De telles demandes, qui peuvent être analysées dans le contexte du mouvement de décolonisation, se sont développées au 21e siècle et ont de nombreuses implications. La Commission de vérité et réconciliation du Canada a été créée en 2008. Le mouvement Idle No More a été lancé en 2012. En 2015, la présidente de la Cour suprême, Beverley McLachlin, a mis en place une table pour confirmer publiquement que les politiques contre les peuples autochtones au Canada aux XIXe et XXe siècles visaient à mettre en œuvre un génocide culturel.

En 2021, les corps anonymes de centaines d’enfants autochtones seront retrouvés sur le terrain d’un ancien pensionnat catholique au Canada. Ce constat a pour effet que la majorité des peuples autochtones et non autochtones sont généralement indignés, et aux yeux de beaucoup justifient les accusations des peuples autochtones. Le 26 juillet 2021, Mary Simon sera le premier peuple autochtone à occuper le poste de gouverneur général du Canada.

La même année, de nombreuses femmes autochtones sont arrivées au pouvoir dans leur propre pays. Mandy GullMasty, Kahsennenhawe SkyDeer et RoseAnne Archibald ont été nommées à la tête de l’Assemblée des Premières Nations, le Conseil mohawk de Kahnawake, un pionnier du changement important.

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