Table des matières
1: Notes de cours
2: Questions philosophique
3: Recherche
4: Plan de rédaction
Cours 1 :
Pour commencer, nous avons des a priori face aux Premières Nations qui nous empêche d’établir une relation et plus encore de reconnaitre les dommages que nous leur avons causé ainsi que les inégalités qu’ils vivent encore aujourd’hui. Encore à ce jour certains médias rependent l’idée que les peuples autochtones sont privilégiés puisqu’ils ne payent pas de taxe alors que dans les faits certaines réserves non même pas droit à l’eau courante.
A priori : enquête ayant pour sujet ce qui nuit à la compréhension et donc à la relation avec autrui. Ainsi, nous devons chercher à comprendre qu’elles sont les processus ou les schèmes de penser qui nous empêchent de ressentir et de comprendre les manières de penser d’autrui
Anecdote: Durant un de mes cours une élève a eu l’audace de dire que les autochtones étaient juste des chialleux et qu’ils profitaient du système en ne payant pas de taxe tout en blâmant celui pour leurs problèmes. À cela ma professeur a répondu que les autochtones ne payaient pas de taxes parce que aux yeux de l’état ceux ci sont encore des enfants. Cette élève manquait définitivement de culture, de connaissance et de jugement mais c’est une bonne représentation de ce que les médias populaires envoient comme message.
Réconciliation: Réparer une relation brisée, Reformer des liens entre 2 groupes
Reconnaissance: Reconnaitre les tords causés et faire amendes à ceux ci.
Réconciliation et Reconnaissance : Prendre conscience des différentes catégories de pensée qui structurent notre rapport
Pour réparer la relation nous devons accepter de s’adapter les uns aux autres donc on peut conclure que le gouvernement québécois ne veut pas vraiment se réconcilier avec les peuples autochtones puisqu’il ne veut pas faire de concession ou avouer ses tords.
Le gouvernement se déresponsabilise encore à ce jour en n’acceptant pas sa part de responsabilité dans le problème d’addiction que vivent certaines réserves.
Cours 2 :
La première chose qui me frappe aux yeux c’est que les textes écrit par les riches et éduqués (dominant) colons français minimisent sans cesse les autochtones. Ils disent qu’il y avait »peu de petites tribus d’une insignifiance économique » et les appelles »les enfants des bois ».
La différence entre possession et appartenance: Le premier est basé sur le contrôle alors que le second réfère au sentiment d’unité.
L’information est une arme puissante puisque nous remettons rarement celle ci en question lorsqu’elle nous est offerte par une source jugé comme »fiable ». Ainsi les intellectuels canadiens français partageaient des idées haineuses et infantilisantes à l’égard des peuples autochtones pour justifier leurs actions à la population. Exactement comme avec l’esclavage, c’est plus simple de justifier des actions inhumaines lorsque les victimes sont dépeintes comme étant moindres ou sauvages. En peignant l’image d’un sauvage les puissants ont pris le rôle du sauveur venant à la rescousse des peuples autochtones n’ayant ni jugement ni culture.
De plus, le rapport peint les colonisateurs comme des victimes tentant simplement de survivre, ce qui est vraie pour les simples colons qui sont eux même dominés par la bourgeoisie française cependant le cœur du problème n’est pas dans l’instinct de survie. Le vrai problème c’est que les dominants ayant pris le contrôle des terres autochtones tentaient de s’enrichir sur ces dites terres et sur ceux vivants sur celles ci: »UN TERRITOIRE EXPLOITÉ ET RÉGLEMENTÉ L’ouverture de nouveaux territoires à la colonisation pave aussi la voie à l’exploitation des ressources naturelles par l’entreprise privée, parfois même sur des terres réservées. »
Les colonisateurs autant français qu’anglais sont venues sur ces terres avec une philosophie complètement capitaliste et ethnocentrique. Aujourd’hui comme dans le temps les dominants cherchent à posséder ce qui les entourent. Ils cherchaient à coloniser pour étendre leurs pouvoirs et leurs influences économiques en pensant posséder le meilleur système sociétal ainsi lorsqu’ils ont vue la terre et les autochtones habitants celle ci ils ont perçues des ressources.
Philosophie Colonialiste: La priorité est l’économie et la recherche de productivité donc une forme de capitalisme. La possession est particulièrement importante puisque c’est une preuve du pouvoir économique.
Philosophie autochtone: Mode de pensée circulaire donc ce mode de pensé laisse entendre que toutes personnes et toutes choses sont intimement reliées et que nous faisons enfaite tous partie d’un grand tout.
Cours 3:
Justice = équité ou égalité?
Nous ne partons pas tous au même pied d’égalité, en conséquence lorsque on offre à tous les mêmes avantages sans prendre en compte les attributs naturels on ne change pas réellement la situation. En bref, même si on offres à tous l’opportunité d’accéder au études supérieurs ou d’avoir de bons emplois les conditions individuelles de chacun vont tous de même avantager les plus privilégier. Par exemple, oui les autochtones ont l’option de travailler au gouvernement et de changer les choses c’est cependant difficile à faire quand tu grandis dans un milieu sans eau potable et avec le poids d’un traumatisme intergénérationnel.
Pour commencer, pour être véritablement libre un individu doit avoir ses besoins de base comblés puisque on ne peut pas être libre si nous sommes contrôlés par nos instincts. Par exemple, quelqu’un qui meurt de faim n’est pas vraiment libre puisque ses instincts de survie vont le forcer à agir. Dans cet optique, nous sommes libres dans la mesure que nos droits en tant qu’individu sont respectés puisque dans un environnement hostile nous sommes tous destinés à être plus animal qu’humain.
Cours 4 :
Culture autochtone-> Relation -> exploration de la littérature
Imaginaire -> Manière de penser -ressentir
Raison instrumentale-> Réduction de la représentation à un rapport de moyen\fin
Réduction de l’attente et des besoins des autochtones par l’État pour adapter ceci à Leur (état) valeurs économiques
« ‘Je sais que vous voulez retrouver vos terres et avoir des services publiques, comme de l’eau potable, donc on va vous offrir des formations professionnelles pour que vous puissiez être des membres actifs de notre société 😀 »
La recherche d’objectivité nous amène à objectifier les notions, les peuples et les actions.
La subjectivité est pointé du doigt puisqu’elle refaire au sentiment même si la deuxième vague de féminisme à prouvé qu’on ne peut pas réellement dissocier l’objectivité et la subjectivité puisque nous sommes humain
HISTOIRE DE LA RÉPRESSION= ségrégation\ hip hop, Colonialisme\autochtones, Sexisme\sorcière
La relation entre deux parties crée nécessairement l’émergence de nouvelles propriété. Cependant lorsque le partie dominant refuse de s’adapter cela entraine la Répression
2: Questions Philosophiques
- Peut on vraiment dire que le gouvernement a reconnue ses tords face aux autochtones?
- Comment pourrions nous commencer une relation saine avec les autochtones?
- Les nations autochtones sont-elles plus ou moins libres que le reste de la population ?
- Quels moyens sont utilisés pour banaliser la violence fait aux autochtones?
- Quelles sont les demandes des Premières Nations?
- Comment les peuples autochtones perçoivent-ils le mouvement de reconnaissance et de Réconciliation?
- Quelle est la différence entre le mouvement de Reconnaissance et le mouvement de Réconciliation?
Sommes nous prêt pour la réconciliation?
3: Recherches
En premier lieu, j’ai fais la lecture des textes obligatoires en prenant le temps de me questionner sur les demandes des nations autochtones. Après avoir lue les textes présents sur votre sites j’ai porté ma recherche sur les opinions du gouvernement québécois et canadien sur la réconciliation et la reconnaissance autochtone. Ainsi je suis aller sur la page officielle du Gouvernement et du Canada et sur la page de »L’Association canadienne de la santé publique » pour plus en apprendre sur le discours publique que tien le gouvernement à l’égard des autochtones.
»1. Le gouvernement du Canada reconnaît que toutes les relations avec les peuples autochtones doivent être fondées sur la reconnaissance et la mise en œuvre de leur droit à l’autodétermination, y compris le droit inhérent à l’autonomie gouvernementale. »
-Principes régissant la relation du Gouvernement du Canada avec les peuples autochtones
Sur leur page officielle le discours est très positif et admet que la reconnaissance est une part entière du processus de Réconciliation. Cependant après avoir écouter le Podcast de »L’histoire Crochie » sur la réconciliation mon avis a bien changé.
https://www.justice.gc.ca/fra/sjc-csj/dja-ijr/index.html
https://montreal.ca/articles/strategie-de-reconciliation-avec-les-peuples-autochtones-2020-2025-7760
https://www.cpha.ca/fr/politique-sur-les-relations-et-la-reconciliation-avec-les-peuples-autochtones
https://www.justice.gc.ca/fra/sjc-csj/principes-principles.html
4: Plan de rédaction
Une fois que vous avez eu toute cette information-là, vous avez fait quoi avec ça? Comment est-ce que vous avez changé, amélioré votre relation avec la terre et les peuples sur la terre? Ça, ça commence à la maison, dans notre quartier, notre école, et cetera…on a tous du travail à faire.
-Christian Pilon
J’ai jamais vraiment été un fan de ce mot là. C’est un beau mot qui s’écrit bien pis qui se dit bien sauf que j’ai l’impression que c’est un peu hypocrite. Tsé on va se réconcilier, évidement ce n’est pas les gens des premières nations qui parlent de réconciliation c’est le gouvernement qui en parle devant un micro pis l’indien il se tien à coté sans micro.
-Charles Antoine Lesage
Consignes de rédaction
Intro
Exergue
Amener le sujet
Décrire la problématique
Développement
- Idée personnelle
- Avis de la société et des auteurs
- Quelle forme prend le phénomène
- Pourquoi est ce digne d’intérêt?
Conclusion
Changement institutionnel
Ouverture
Intro: Nous sommes présentement dans une air dites postcolonialisme puisque les puissants pays ne sont plus activement entrain d’agrandir leur pouvoir et emprise par la colonisation. Cependant nous vivons encore les conséquences de ce colonialisme et certains peuples en sont encore profondément dévastés comme les communautés autochtones. Depuis une vingtaine d’année, le gouvernement du Canada remarque le mal-être des communautés autochtones et sont dans un processus de »réconciliation » avec ceux ci. Mais qu’est ce que ça veut dire la »réconciliation » et qu’est ce qu’en pense réellement les peuples touchés?
Problématique: Le problème général du processus de »réconciliation » que propose le gouvernement est au cœur même de sa définition. Le mot réconciliation est définit comme étant »le processus par lequel 2 parties opposés restaurent une relation amicale », cependant cela laisse sous entendre que la relation était auparavant amicale et saine ce qui ne fut jamais le cas entre les puissants colonisateurs et les peuples autochtones. Plus encore, ce terme est maintenant utilisé dans la sphère politique comme un bouclier puisqu’il laisse sous entendre que »c’est maintenant le temps de rebâtir une relation » cependant pour réellement reconstruire une relation il faut avant tout reconnaitre le passé. C’est la critique principale que font les peuples autochtones de ce mot puisque plusieurs considèrent que nous ne sommes pas rendu au stage de la réconciliation mais plutôt à l’étape de la reconnaissance. Ainsi même dans un processus de dédommagement le gouvernement parle encore à la place des communautés autochtones et décide encore pour eux ou on en est dans le processus.
Idée personnelle: Dans le mouvement de réconciliation que propose le gouvernement je perçois un certain coté paternaliste puisque encore aujourd’hui le gouvernement ne laisse pas vraiment la parole à ceux qui sont vraiment concerné c’est à les peuples autochtones. Ce mot est lancé un peu partout dans la sphère politique cependant personne n’a questionné les gens des Premières Nations si ils sont prêts à se réconcilier avec le reste du Canada. Les hauts dirigeants canadiens ont pendant une centaine d’année décimer la culture autochtone mais aujourd’hui puisqu’ils réalisent leurs tords ils sont prêts à reconnecter. Toutes l’idée de la réconciliation tourne autour du pardon et du renouveau cependant les peuples autochtones sont présentement dans un processus de guérison et plutôt que de forcer celui ci nous devrions leurs demander quelles sont leurs besoins.
Forme du phénomène: Mécontentement général
Digne d’intérêt: En tant que société c’est c’est une injustice à combattre
Changement institutionnel: Rétribution, Reconnaissance