1.Liens importants:

https://www.aptn.ca/princesses/ ← *****

http://www.wapikoni.ca/ ←****

http://www.wapikoni.ca/movies/ou-sont-tes-plumes-where-are-your-feathers

http://www.wapikoni.ca/movies/a-new-breath

https://www.rcaanc-cirnac.gc.ca/fra/1450124405592/1529106060525

https://www.editionsboreal.qc.ca/catalogue/livres/contre-colonialisme-dope-aux-steroides-2654.html

https://cvmqc-my.sharepoint.com/:f:/g/personal/e_alaliberte4_etu_cvm_qc_ca/Eg1-Mwl8wo9MnifsutIOmSkBTGZbwCcw7zpgUt2jtE7vww?e=cmfRHh

https://ici.radio-canada.ca/sujet/femmes-autochtones-assassinees-disparues

https://www.mmiwg-ffada.ca/fr/

https://journals.openedition.org/ripes/2988#tocto1n1

https://www.mmiwg-ffada.ca/wp-content/uploads/2018/12/MMIWG-EDUCATIONGUIDE-FRENCH-JAN2019-UPDATE-v2-LOW.pdf

https://www.ledevoir.com/documents/special/2021-06-pensionnats/index.html

Toni Lemaigre, une Métisse de La Loche, en Saskatchewan, qui parle le déné, a écrit cette chanson en l’honneur de sa sœur assassinée, Janet Syhiestre. Toni a témoigné en privé à Saskatoon. Elle a demandé que personne d’autre ne chante cette chanson, mais les gens sont invités à lire les paroles.
Une description par l’auteur, Ben Richard (Métis de la Première Nation Ojibwé) : Ce poème est dédié à ma mère, ainsi qu’aux femmes et filles disparues. Ma mère nous a été enlevée lorsque j’avais 17 ans. 

https://ici.radio-canada.ca/dossier/112515/enquete-nationale-femmes-filles-autochtones-tuees-disparues

2.Citations:

Réconciliation:

1) reconnaître les torts causés aux Premières nations, aux Métis et aux Inuits, en lien notamment avec les écoles résidentielles;

2) faire connaître les histoires vécues par les Autochtones, avec la mise œuvre de compensations financières pour les victimes des écoles résidentielles,

3) travailler à l’établissement de relations plus justes, avec notamment l’identification de personnes, organismes, et mesures clés.

 1.La violence structurelle : cette forme de violence englobante
renvoie aux effets systémiques des politiques d’effacement et
d’assimilation mises en place par les gouvernements successifs
depuis au moins le milieu du 19e
siècle. La Loi sur les Indiens
constitue l’exemple par excellence d’un système qui encadre tous
les domaines de la vie politique, économique, sociale, juridique et
culturelle des Premières Nations.
2. La violence institutionnelle : cette seconde forme de violence,
découlant nécessairement de la première, concerne plus
directement les impacts que l’on associe à des régimes
institutionnels particuliers, que ce soit en matière d’éducation, de
santé ou de sécurité publique. Le cas des pensionnats indiens en
constitue un exemple probant. Non seulement cette violence s’estelle manifestée dans la vie des personnes ayant survécu au
pensionnat, mais ses conséquences ont traversé les générations
et ont modifié durablement la trajectoire de vie de milliers d’enfants
en s’insinuant dans toutes les sphères de leur existence.
3. La violence familiale : cette expression est couramment utilisée
en contexte autochtone pour bien marquer le fait que la violence
ne concerne pas uniquement les couples, mais aussi les enfants
et éventuellement d’autres personnes évoluant avec ou autour de
la famille.
4. La violence personnelle : enfin, cette dernière forme de violence
recouvre les manifestations liées entre autres à la violence
physique, à la manipulation psychologique, au contrôle financier,
et implique des individus.

3. Réflexions:



Les femmes autochtones sont soit sexualisé, mis sous silence, ou esclaves.

Reconnaissance est fait par les oppresseurs lorsqu’ils sont prit sur le fait.

Permettre la réconciliation à travers l’éducation: apprendre l’histoire, apprendre les langues, reconnaitre les différents territoires occupés et le génocide culturel.

Génocide culturel=Stérilisation des femmes, pensionnats et assimilation.

Parallèle entre sauvage et animal

lois sur les indiens = patriarcale et discriminatoire = enlève le rôle des femmes dans les communautés

4. Opinions personnelles

Squaw déshumanisée → Les femmes autochtones n’ont pas le même statut que les femmes québécoises

Plusieurs lacs, montagnes et emplacements portent encore le nom de Squaw; un nom des plus péjoratif pour parler d’une femme autochtone → se traduit par vagin

Une rose pour ma soeur – Brandon Poitras

Je considère que la meilleure chose à faire en tant que personne blanche pour une réconciliation est d’écouter et de laisser de la place aux communautés autochtones.

Théorie de la justice: Rawls

PREMIER PRINCIPE
Chaque personne doit avoir un droit égal au système total le plus
étendu de libertés de base égales pour tous, compatible avec un
même système pour tous.
SECOND PRINCIPE
Les inégalités économiques et sociales doivent être telles qu’elles
soient: a) au plus grand bénéfice des plus désavantagés, dans la
limite d’un juste principe d’épargne, b) attachées à des fonctions et
à des positions ouvertes à tous, conformément au principe de la
juste égalité des chances.
RÈGLE DE PRIORITÉ DE LA LIBERTÉ
Les principes de la justice doivent être classés en ordre lexical,
c’est pourquoi les libertés de base ne peuvent être limitées qu’au
nom de la liberté. Il y a deux cas :
a) une réduction de la liberté doit renforcer le système total des
libertés partagées par tous ;
b) une inégalité des libertés doit être acceptable pour ceux qui ont
une liberté moindre

http://depot-e.uqtr.ca/id/eprint/4069/1/000001608.pdf

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