Tard le soir, enfant, on nous raconte qu’il y a des êtres surnaturel dotés de pouvoir et de magie noir. On nous raconte qu’elles ce promène sur des balais et qu’elles fait souvent la pair avec la lune. Ses amis les chat noirs qui représente le malheur se retrouve souvent coller contre elles . On nous raconte qu’elles sont vieille, l’aides, dégoutantes. 

 Les films, séries nous conte tous la même histoire. Elles sont les méchantes qu’ils faut vaincre a la fin de la grande aventures; le magicien d’OZ et la sorcière verte, la belle au bois dormant et Maléfique, Blanche neige et sa méchante belle mère, et la sorcière a la pomme empoisonné. C’est compte sont des histoires pour les enfants certes vous pourriez me dire que c’est représentation n’affecte pas ce que pense l’enfant une fois adulte. détromper vous, le dévellopement du cerveau ce passe a l’âge de l’enfance soit l’âge ou nous faisons écouter au enfant ces multiples comptes. C’est pendant l’enfance que s’établisse dans le cerveau les connexions entres les neurones. La représentation des sorcières est donc grandement influer par la culture pop et les comptes d’enfant diffusés encore aujourd’hui. Comment ce problèmes de représentation chez la sorcière est devenue celle de la figure du féminisme aujourd’hui? D’abord pour comprendre cette question majeur dans la représentation de cette être mythologique il faut revenir au commencement soit le moyen-âge quand elle était brulé pour crime de sorcellerie, ensuite nous allons explorer le paradoxe entre la sorcières et la princesse dans les comptes pour enfants. Pour finir, un bond dans le temps et sa représentation au fil des années.

Sorcières et la représentation au moyen-âges

Aux Moyen Âge c’est la peur qui domine. Elle est le virus de l’époque.

L’église définit le mal et le bien. Le diable le mal incarné et Dieu le bien.

Les femmes qui étaient différentes au Moyens Âge étaient des femmes reliés au diable

« Mais le vrai crime de la sorcière, ça n’est pas de tuer les vaches du voisin. Le vrai crime de la sorcière, c’est qu’elle a fait un pacte avec le diable en couchant avec lui » –Armelle Le Bras-Chopard

En effet, Armelle Le Bras-Chopard veut-ici parler de l’institution de l’église et de ses morales et de ses obligations. L’église contrôle cette période et donne au gens de l’espoir et des réponses à leurs angoisses existentielles. L’imagination étaient leurs plus grand allier. L’église arrive à faire croire à une majeure partie de la population, des croyances qui ne peuvent pas être observées réellement. Cependant, l’église a tellement d’influence sur la collectivité, que ses diktats sont suivis sans remise en question par le biais de l’intelligence.  Cela donne éventuellement naissance à un ressentiment subtil des individus puisqu’ils ne tiennent pas compte des réalités individuelles et des injustices du quotidien . La vieille dame qui est veuve sera accusée de sorcellerie par son voisin à cause de ce ressentiment.

Le crime des sorcières, est celui de ne pas avoir besoin d’un homme pour vivre.

Au Moyen Âge et même à la Renaissance, il y a une peur irrationelle de la différence

Différence = Diable

Paradoxe Princesse et sorcière

Si nous regardons nos comptes aujourd’hui, Il y a toujours deux versions de la femme. Il y a la princesse, soit la femme douce, sans voix, belle, qui a toujours de bonne manière et qui a besoin d’un prince pour la sauver

ou la sorcière, soit la femme qui est méchante, laide ou encore, la femme séductrice qui fait péché les hommes. Dans les contes elle est toujours celle qui faut vaincre.

Il y a un biais inconscient dans notre société, celui de faire taire les femmes et ça commence très jeune. Nous montrons à des jeunes filles des histoires comme La Belle au bois dormant, Blanche-Neige, Cendrillon. nous apprennons aux filles à ce maquiller, nous apprennons aux filles qu’il vaut mieux jouer avec des bébés que des camions. Nous disons aux petites filles qu’elles sont belles et qu’elles sont douces alors qu’aux petits garçons nous leurs disons qu’ils sont fort. Ho comme tu es fort, montres-nous tes muscles!

Il y a une pression social que nous faisons vivre aux femmes. Cela crée des angoisses métaphysiques, des pressions moral qui s’exerce sur les femmes même aujourd’hui. Les princesses sont les gentilles… Les sorcières non. Ne soyez pas comme elles ou vous finirez, toute seule, laide, personne ne voudra de vous.

Quand nous y pensons bien fort, la figure de la sorcière c’est la figure de la femme en colère.

fantasme et sorcière

Paradoxe Médée et circée

Circée: femme belle, symbole du désir et de la sensualité.

Médée: femmes cruelle, laide

Elle a tués ses enfants par jalousie.

Les deux sont considérées comme des sorcières.

https://archipel.uqam.ca/3363/1/M9735.pdf

https://caqs707544482.wordpress.com/2020/10/15/les-sorcieres-du-mythe-a-la-realite/

La sorcière aujourd’hui, la figure du féminisme

“Si vous êtes une femme et que vous osez regarder à l’intérieur de vous-même, alors vous êtes une sorcière.” Mona Chollet

• 20 ième siècle elle devient dans le folklore et elle est dépolitisée.

• Elle est repris par le cinéma, les séries, la littérature.

• 1950: thème de; sorcière apprivoisée soit des sorcières jeunes qui renonce à leurs pouvoirs à cause qu’elles tombe en amour avec un homme.

• Sorcière année 1960-1970 W.I.T.C.H (Women’s International Terrorist Conspiracy from hell).

2016 des femmes ce sont réunis au pied de la Trump Tower pour manifester.

«De nouvelles catégories d’individus utilisent le mot “sorcière” pour se décrire comme féministes, comme rebelles, comme des personnes qui veulent utiliser leur pouvoir pour combattre le statu quo patriarcal, blanc, cis, hétéronormatif. Et j’utilise tout à fait le mot sorcière dans ce sens aussi.»

http://www.slate.fr/story/196594/sorcieres-feministes-coven-contre-donald-trump-election-presidentielle-etats-unis-paiennes-wicca

Définition de féminisme:

• 1. Mouvement militant pour l’amélioration et l’extension du rôle et des droits des femmes dans la société.
• 2. Attitude de quelqu’un qui vise à étendre ce rôle et ces droits des femmes : Un féminisme actif.
• 3. État d’un individu du sexe masculin présentant des caractères de féminité plus ou moins marqués (développement des seins et des hanches, absence de barbe, finesse de la peau, etc.). [On attribue cet état à l’absence ou à l’insuffisance des sécrétions internes testiculaires.] -Larousse