La notion découverte de l’Amérique est un concept mensongère. L’histoire a été racontée par les gagnants, par les Européens. Ils censurent tout ce qui est questions des tortures qu’ils ont fait subir aux Premières Nations. Ils ne mentionnent pas l’existence des pensionnats dans les livres historiques fournis dans les écoles. Ils sont perçus aujourd’hui comme des gens sales, et sauvages. Ils sont privés de leur liberté, de leur autonomie, leurs habitudes sont détruites, leur culture est anéantis et ils sont mis dans des boites pour but, les effacer. Les blancs ont nettoyé les territoires, ils se sont débarrassés des Amérindien.
On ne peut étamper des savoirs verbaux. Ça dérange les colonisateurs…
Quand les Européens ont inventé qu’ils avaient découvert l’Amérique du Nord, en vérité ils avaient trouvé une terre déjà habitée. Cette terre peuplée par les Indiens était pratiquement vierge. Ces gens étaient en relation avec la terre: ils veillaient à ce que les lacs demeurent en santé, que les plantes soient belles, ils s’assuraient que les animaux étaient libres et que les parties de l’animal sont utilisées au complet. On avait l’impression que personne n’y résidait, car ceux qui y vivaient faisaient tellement attention à ce qui les entourait que les territoires restaient authentiques.
Les colonisateurs découvrant ces paysages prometteurs se trompèrent sur ce qu’était en réalité ce qui avait trouvé. Ils les appelaient les sauvages, car ils habitaient des structures très différentes qu’eux. Ils chassaient pour se nourrir, que le principe de possession n’existait pas. Les européens arrivent là sensiblement reçus par ces soi-disant sauvages, vu qu’ils partagent et pourquoi ne pas les accueillir. Ils arrivent pour abattre des arbres, construire des petits villages, exploiter les fourrures, et s’emparer des enfants autochtones pour en faire de parfaits Colons bien dociles.
Ce fut facile pour ses tirants de s’emparer des territoires et de juger sauvage le mode de vie des Premières Nations, car contrairement aux gens civilisés les écrits étaient plutôt rares. L’apprentissage se passait, en regardant et en partageant les grandes paroles des aînés. Rien n’était objets de presse, de stress et de restrictions. Les histoires expliquaient l’origine des choses, apprenait aux enfants les bonnes choses de la nature, la médecine pour guérir les gens de la communauté, ils apprenaient à leur rythme, comment se fabriquer des outils, comment chasser, quoi manger et quel éléments pouvais guérir les blessures et les rares maladies.
Les contes et légendes sont la structure de leurs lois, leur science et leur médecine, ils existent pour expliquer l’origine de chaque chose qui réside dans les territoires.
Alors que tout leur savoir est transmis oralement, la crédibilité de leur science n’a pas beaucoup de poids face aux Européens qui sont venus chez eux. Les colons ont donc pris les autochtones pour des enfants et on décide de leur montrer le vrai chemin de la réussite. Mais ce qu’ils ne disaient pas c’est qu’ils les voyaient en vérité comme des moins que rien. Ils les éduquaient tout en les torturant, pour casser leur côté sauvage et le rendre civilisé.
« Ils disaient enlever le sauvage dans l’enfant… »
« Indian’s Time », il est temps quand il est temps.
On ne peut arriver en retard quand il n’a pas d’heures.
Prendre le temps, qui le fait ? « L’heure des Indiens » c’est un terme qui a été créé par les blancs, péjorativement pour ridiculiser les Autochtones. Disant que ces « sauvages » étaient toujours en retard, qu’ils n’étaient pas structurés. Finalement ils n’étaient pas civilisés, car il n’utilisaient pas le principe des heures.
Ils fonctionnaient avec le soleil, quand il se levait la journée commençait et quand il se couchait la journée était à sa fin. Pour les repas, c’était simple tu mangeais quand tu avais faim et qui avais de la nourriture, les enfants jouaient dehors et un moment donner le père revenait avec le gibier et la mère le cuisinait. L’odeur commençait à naître, les enfants affamés de leur journée et bien ils commençaient à rentrer et ils se réunissaient tous pour manger. « Tu ne peux pas arriver en retard quelque part quand tu n’as pas d’heure ».
Vu les différences entre les deux communautés, il est clair qu’un écart se creuse, vu les technologies des Européens, les Autochtones n’ont pas vraiment les moyens de se battre. Les blancs arrivaient avec tous leurs outils et détruisaient tout pour construire, ils perturbaient la nature pour cultiver, etc. Les Autochtones surveillaient à ne pas rendre les lacs malades, ils se préoccupaient à ce que la terre soit vivante et en santé et veillaient au bien les uns des autres au lieu d’être en constante rivalité.
Covid; imaginer devoir subir un couvre feu avant tout cette mascarade. Être forcé à rester enfermer dans une réserve, pour vous empêcher d’y sortir…
La colonisation de tous les premiers peuples a été le début de la destruction planétaire: La destruction des santés mentale des Premières Nations, cultiver un mode de vie malsain qui détruit tout ce que la terre nous a donné comme cadeau pour nous nourrir, qui a rendu les humains malades, qui a rendu les cours d’eau malade…
Jacques Cartier, celui qui a découvert le Canada, et bien c’est en partie lui qui a déclenché le désastre de l’industrialisation. Fier de coloniser les Autochtones, Fier de débarrasser des « sauvages » d’une population en voie de modernisation, c’est le début de l’enfer.
Il est le créateur des sociétés malades d’aujourd’hui !
Comme tout le monde au Québec nous subissons, la plupart d’entre nous, pour la première fois une mesure
d’urgence; le couvre feu.
Notre sentiment: infantilisation!
On doit se cacher pour voir des amis ;
On ne peut sortir après 8 h ou 9 h 30 selon ce que Legault dicte à la télévision ;
Bien avant que ça nous tombe sur la tête, les communautés autochtones vivaient pire comme enfermement.
Chacun son Ghetto…
Ils ont été enfermer dans des villages, appeler des réserves, je ne sais pas si vous faite le lien, mais à mes oreilles, ça sonne comme ghetto, ça ressemble aux cités en France, aux bidons villes et pour finir au cartier Saint-Michel/Montréal-Nord ici au Québec. La société blanche fortunée s’est débrouillée de faire le ménage, il y a de ça des centaines d’années. On nous apprend que tout cela n’est que de l’histoire ancienne, mais la seule différence aujourd’hui c’est que la prise de conscience est moins à notre portée. Nous sommes tellement submergés de toute sorte de divertissement orchestré, par nos amis les occidentaux, envahis de toute sorte d’informations et nos quartiers sont super investis concernant les infrastructures, il est clair que nous ne sommes pas portés à être témoins des oubliés, on les cache dans des quartiers pauvres… Quand nous en parlons ou que nous entendons parler ce cela, c’est majoritairement dans les filmes ou aux nouvelles, ces plateformes d’informations ne sont pas très flatteuse pour ces communautés. En gros on se dé barrasse du trouble au lieu de s’en occuper pour tenter de faire mieux.
Haute société, utilise leur pouvoir de la bureaucratie pour , la classe moyenne ceux qui ont les moyens et les gens privilégiés.
Il y a des ghettos pour les immigrants qui n’ont pas trop de moyens, travaillant dur pour à peine faire vivre leur famille ;
Aux États-Unis et au Québec.
Les Autochtones qui dérangent la tranquillité publique, sont enfermé dans des réserves et/ou discriminés, victimes d’actions racisme dans les communautés occidentales.
La colonisation est toujours actuelle, on les a mieux cachés et on a modernisé les communautés.
La seule communauté qui devrait exister est celle des humains et les êtres vivants. On devrait tous se serrer les coudes et arrêter de croire qu’on est les meilleurs, ce n’est pas vrai, ça ne l’a jamais été, ça ne le sera jamais ! Nous sommes tous des humains nous méritons tous une chance pour se construire une vie et de faire confiance à ceux autour de nous et de faire attention aux gens qui nous entour, qu’on les connaît ou pas !
Pour terminer en beauté, un texte tiré d’un Fanzine, c’est un témoignage d’une Dame.



