J’ai trouvé très intéressante l’idée du cours trois de nous débarrasser de nos filtres que nous avons pour imaginer une sorte de Nouveau Monde. L’expérience est très spéciale puisque je crois que si l’activité est bien faite, le sujet des autochtones, parfois difficile à discuter, deviendrait un sujet des plus normal, aussi normale que de parler de la météo. Mais parfois, j’ai l’impression que les institutions ou les individus qui ont commis certains crimes envers la communauté autochtone essayent de mettre cette expérience de pensée dans leurs rapports. Ce que je veux dire par là c’est que le gouvernement essaye d’amoindrir les choses dans leurs rapports en enlevant presque tout les filtres qui pourraient leur être défavorables. De cette façon le rapport qu’il présenterait serait comme s’il n’avait rien fait de mal. Encore une fois, j’en reviens à mon idée de basse selon laquelle les actions du gouvernement sont transformées puisqu’il se sent trop coupable pour présenter la vérité sur ce qui s’est vraiment passé.

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