Le problème de la reconnaissance en est un souvent abordé dans les discussions par rapport aux autochtones, même dans mes autres cours. Les autochtones ont très bien traité les premiers explorateurs venus de la France, mais cela fut peut-être leur pire décision à vie. Depuis ce temps là, leurs terres se sont faites volées, ils ont perdu plusieurs de leurs langues et sont confinés dans des réserves. Pour ajouter aux injures, toutes leurs découvertes se sont faites approprier par l’homme blanc. Il ne faut pas s’étonner lorsqu’ils demandent une certaine reconnaissance.
Après avoir lu le texte de Glen Sean Coulthard, j’ai eu certaines réalisations sur les convictions du peuples Québécois. Durant des centaines d’années, les Canadiens-français se sont battus pour faire valoir leurs droits, montrer aux anglophones qu’ils sont aussi bons qu’eux. Encore aujourd’hui, nous nous battons pour la reconnaissance du français, la peur reste présente dans la population en regardant les statistique des langues parlées dans la province. Toutefois, lorsque les autochtones demandes des choses similaires, ils se font rire aux nez. Non seulement leurs droits étaient bafoués à l’arrivée des premiers colon et 500 ans plus tard ils le sont toujours. Je trouve cela bien étrange de constater que des demandes aussi simple soient ignorée. Il me semble qui si le langage de ma culture était en danger, je voudrais le protéger (loi 101). La thématique de mon enquête et ma dissertation sera de comprendre pourquoi les autochtones sont encore traité, désolé du terme employé, comme des sales merdes.
J’ai lu les textes du document mythes et réalité dans le cadre de mon cours d’anthropologie que je suis actuellement (il est intéressant de noter que je viens tout juste de remettre un projet de session sur la disparition des langues autochtones). Ce document fait une brève histoire sur les autochtones et les revendications faites au fil du temps. Il est très pertinent de le lire, puisque peu de médias montre leur vision des choses. Il est possible de voir qu’au travers de tout ce qui a été fait de leur côté dans les dernières décennies (barrage du pont mercier ou même les trains l’an passé) ont été effectués pour avoir une certaine libération. Il est évident que les médias ne s’intéressent pas à leurs injustices, alors, pour avoir des changements, ils doivent faire un grand coup et espérer d’atteindre les grands titres, ce qui est assez déplorable (pourquoi si quelqu’un trouve que la vitesse de sa rue est trop élevée il n’a qu’à se rendre à l’hôtel de ville pour en discuter, mais les autochtones, pour avoir le respect de leurs droits inaliénables, doivent prier pour être dans les médias. Le texte sur les terres autochtones met en évidence les injustices que la population ignore. Le gouvernement a, il y a plusieurs années, volés les terres aux autochtones sans dédommagement valide. De plus, il a même décider d’enfermer les peuples dans des réserves et de les traiter comme des mineurs au nom de la loi sans respecter leur culture. Un manque de reconnaissance est flagrant, ce sont eux qui ont découvert et utilisés les terres en premier, mais nous les enfermons dans des réserves avec de mauvaises conditions. Finalement, les manifeste des Premiers peuples rappelle que le colonialisme est encore présent aujourd’hui. Il ne faut pas oublier que le but auparavant était d’assimiler les peuples autochtones. Nous ignorons ce fait et essayons d’oublier les pensionnats ayant arrachés 80 000 enfants à leur culture. Le colonialisme reste ancré dans nos politique qui, selon le gouvernement, fonctionne et qui ne changent pas. Cependant, si l’assimilation n’était toujours pas d’actualité, les autochtones vivraient parmi nous et seraient heureux. Malheureusement, les réserves sont la preuve de l’échec de l’assimilation et la punition au peuple: vous ne voulez pas devenir canadien? Tenez une nouvelle forme de prison! Le meilleur moyen et de continuer a manifester puis espérer que de grands changements sont à venir.
Le texte de Joséphine Bacon me fait faire une étrange réalisation. Elle qui parle beaucoup des multinationales je n’ai pas pu m’empêcher de penser à la surconsommation et la crise climatique. Sachant que les autochtones considèrent appartenir à la nature, ne faire qu’un avec elle, il est normal qu’ils réagissent à cette crise. J’ai l’impression qu’ils représentent ce que la terre dirait si elle pouvait parler, divulguer les destructions que nous lui faisons. Les autochtones sont traité comme de simples objets, obstacle à la création de projet (les métis au Manitoba et les Cris de la Baie-James sont les meilleurs exemples). Toutefois, ils ont une voix qui mérite d’être respectée. Il n’est pas normale que les droits des autochtones ressemblent à ceux des Canadiens-français après la guerre de la conquête dans les années 1700.
https://ici.radio-canada.ca/espaces-autochtones/parole-autochtone-avec-melissa-mollen-dupuis/8
voici un podcast très intéressant sur la reconnaissance des terres.
La lecture comparée fut très intéressante, elle mettant en image les rapports dominant-dominée, quelque chose que nous avions vu dans les dénonciation du hip-hop. Du côté de l’autochtone, il était possible de voir des émotions intenses, des injustices étaient dénoncées et du changement était voulu. J’aime toujours lire le point de vu des Première Nations, puisque dans les textes il est très rare d’observer leur opinion, du moins dans la culture populaire. Du côté des textes blancs, il est effrayant de voir la normalisation de tout ce qui a été fait contre les peuples. Pour nous, cela est normal de vouloir les assimiler ce qui me choque. Tout est écrit avec du stoïcisme intense, cela est perturbant, mais représente ce qu’est enseigné à l’école (du moins ce que j’ai reçu comme enseignement). L’homme blanc est bon et juste, tout ce qu’il a fait est bien et les peuples doivent se soumettre à lui. Cependant, ce n’est pas comme cela que tout fonctionne et les suprémacistes devraient arrêter d’être surpris face aux rébellions…
petit texte sur le colonialisme très intéressant (cours d’histoire accéléré)
https://www.ledevoir.com/societe/539254/histoire-les-autochtones-un-passe-colonial-a-revisiter
Identifiez des situations sociales par quoi le manque d’équité représente des injustices.
la couleur de peau, le système judiciaire, l’accès à l’éducation, l’accès au logement, le système de santé
Afin de pouvoir en faire abstraction, identifiez chacun pour soi ses principaux attributs naturels (physiques, psychologiques), socioéconomiques ainsi que ses intérêts personnels.
Je suis un homme blanc de 19 ans, étudiant, homosexuel, de classe moyenne, aimant la course, à moitié marocain qui aime s’habillé de façon un peu punk.
Toujours dans le but de pouvoir vous défaire de ce que vous observez dans les faits, décrivez en équipe les principales conditions socioéconomiques dont sont issus les individus vivant dans notre société.
Pour réussir dans notre société il faut respecter certaines conditions. Il est toujours bien d’avoir une famille fortunée, puisque cela permet d’avoir une base qui donne le pouvoir de faire ce que l’ont veut. De plus, il ne faut pas se le cacher, les personnes à peau blanche sont plus portée à réussir, c’est comme si dans une course à obstacle, les personnes de couleurs étaient les seules avec des obstacles pendant que les blancs peuvent faire un sprint normal. Finalement, être un homme hétérosexuel rend les choses encore plus facile, car ce groupe vit le moins d’injustice
Déterminez quels sont les droits et libertés qui seront accordés à tous?
Droit à l’accès à l’éducation/santé gratuite, système de justice impartiale, droit de vote pour tous, liberté d’expression, aide au logement (oui Legault la crise du logement existe)…Je crois que cela est la base
Nous pouvons aussi nous demander, comment faire pour assurer l’équité malgré les différences?
La justice doit servir à aider tout le monde. Si une personne juge qu’une situation qu’elle vit manque d’égalité, ou atteint à sa liberté/ses droits fondamentaux, il faut l’écouter, c’est aussi simple que cela. Il faut un système présent pour les victimes, ce qui n’est pas le cas en ce moment. Si le système veut vraiment aider, il n’y aura pas de discrimination.
Quelles sont les différences et les ressemblances entre votre théorie de la justice et celle de John Rawls?
Il n’y a pas vraiment de différence entre ce que le philosophe a dit et ce que je pense. Il est évident que je suis parfaitement d’accord avec lui. Il est allé plus large dans les caractéristiques des droits et libertés, pour englober le plus de notions possible. Au fond, je voulais dire les mêmes choses que lui, mais je n’avais pas les bons mots en bouche.
Aidez-vous des questions suivantes pour formuler votre commentaire:
Je crois que toutes ces idées aident énormément pour comprendre la situation des autochtones. En écrivant la base des droits désiré, il est facile de découvrir que cette base n’est pas respectée pour les Premières Nation. Cette exercice permet de comprendre les injustices vécues et aide à se mettre à la place des victimes. Je comprends mieux maintenant comme que les autochtones peuvent se sentir et j’ai le goût d’encore plus les aider.
Voici un texte présentant les relations actuelles entre les Québécois et les Autochtones, très intéressant pour voir si mon opinion concorde à l’opinion publique.
La lecture des poèmes montre la culture autochtone. Il est possible de voir un intense lien avec la nature et leurs héritage, quelque chose que je ne peux pas dire par rapport à ma culture. Cependant, je sentais une énorme tristesse émanant des témoignage, en lisant entre les lignes, on constate la souffrance créée par l’arrivée des premiers colons et du traumatisme que les autochtones vivent. Durant des années, ils ont été forcés d’abandonner leur culture au profit de l’occident. Toutefois, ce temps est révolu et ils sont plus fort que jamais.
https://www.erudit.org/fr/revues/nps/2005-v17-n2-nps948/011226ar/
Voici un dernier texte tr`es intéressant sur les relations entre les autochtones et les Québécois, qui sera très utile pour ma dissertation finale.