
Leçon 1
Je comprends très bien le fait qu’une chanson peu autant être un opinion privé mis au public ou une opinion publique mais aussi au public.
Dans le vidéo de Lauryn Hill (QUEEN) nous comprenons oui qu’elle évoque et dénonce la sexualisation de la femme. Mais je crois aussi comprendre que ce sujet est complètement encré dans nos vies. C’est quelque chose qui se passe partout et elle le démontre très bien ans le vidéo quand la même chanson est chantée dans deux milieux, environnements différents, mais la chanteuse chante la même exact chanson qui dénonce dans ces deux réalités différente le même fait que les femmes sont sursexualisées.
Leçon 2
Apathie : sentiment d’indifférence et où il y a un manque d’intérêt général.
Je crois que la plupart des gens sont apathique vu que tout est fait pour nous.
Par exemple, suite à la sortie de seespiracy sur Netflix, tout le monde qui l’a écouté comprend que le gouvernement joue un énorme rôle dans la destruction de la vie marine, mais les gens restent apathiques parce que c’est ça qui est ça. Si le gouvernement impose cette façon de faire et se battre contre eux n’est pas chose facile alors les gens réalise des choses sans nécessairement se battre parce que c’est le gouvernement lui-même qui est ainsi.
Hégémonie : Suprématie politique, économique et sociale.
Ici si je comprends bien pour nous l’hégémonie nous viens de notre gouvernement, car il détient en réalité tout le pouvoir sur nus et notre environnement. L’exemple qui revenait le plus souvent sur internet était celui des États-Unis sur le monde entier.
Résistance politique : lutter contre un régime illégitime
Le parfait exemple est celui des grèves. Un mouvement provenant du peuple contre une action, idéologie, institutions, etc. qui n’a pas lieu d’être qui nécessite une révision ou qui doit être modifié.
Leçon 3
Les causes de l’apathie politique selon Dewey
1) dans le décalage entre les pratiques actuelles et la politique traditionnelle
L’exemple qui m’est venu en tête est le mariage gai. Nous sommes rendues en 2021 les droits LGBTQ sont mis de l’avant plus que jamais, mais à ce jour il y a toujours des endroits où le mariage gai est mal vu, mais aussi illégal. C’est fou d’avoir des lois qui sont aussi inhumaines qui privent l’amour et le bien-être de certains qui viennent d’un temps complètement différent, mais qui privent encore des milliers de personnes.
2) le fait que l’ampleur des activités sociales nous rend sceptique à l’égard de l’action politique
Le fait que ce soit des gens précis et isolé qui font toutes la décision pour nous et qui nous donne le sentiment d’incapacité à bien les comprendre et le sentiment qu’il est impossible sans crié par millier ou sans devoir passer par des processus super compliquer. Ces sentiments nous amène a trouvé et abandonner face à ceux qui détiennent le pouvoir sur la population.
3) Notre désengagement est relatif à la nécessité de recourir aux experts que ce soit en économie, en éducation, en santé ou encore pour toutes questions concernant le développement technologique
Le fait de toujours devoir passé par des processus hyper complique et formel pousse certainement la plupart des personnes à baisser les bras. Toutes les décisions faites par eux nous implique et nous affectent mais le processus pour faire ces choix ne nous implique pratiquement jamais. Ces experts sont oui formés pour savoir ce qu’ils font, mais le peuple lui n’est aucunement informé sur ce que toutes les discisions impliquent et comment elles impacteraient le peuple.
Leçon 4
Émergence HH et Montréalité
La montréalité pour moi est le partage de ce qui se passe dans notre ville par des gens de la ville sur ce qui impact Montréal et les montréalais direct. Montréal c’est petit. Tout le monde connait l’expression le monde est petit, mais Montréal est plus petit. C’est un monde isolé et différent qu’ailleurs c’est vrm un mood et c’est a cause des gens qui composent l’ile La Montréalité c’est Montréal.
C’est vraiment «self explanatory» dans le sens que ça veut tout dire. Le corner c’est le coin de rue du quartier lui ou se vend de la drogue, lui ou la police débarque une fois de temps en temps, celui où il y a le dépanneur louche et celui ou des voitures de riche s’entrecroise avec des piétons et des voiture pleines de rouille. Tout le monde a son corner de son quartier.
Déjà qu’il se battent pour vivre de leur art et de leur liberté de l’expression. Quelqu’un qui rap struggle déjà surtout si ce n’est pas quelqu’un de connu, mais en plus devoir prouver que c’est un réel travail qui leurs permettent de s’exprimer et de potentiellement pouvoir réfléchir sur son incarcération. Les autorités ne le reconnaissent peut-être pas, mais ils le savent que c’est un travail a temps pleins. Plus qu’à temps pleins ça trotte nuit et jour dans leur tête. Ils écrivent dans le bus, en marchant en écoutant la télé. C’est non-stop. Rapper c’est écrire avant tout. C’est comme si on demandait à un écrivait de ne pas écrire parce que ce n’est pas un travail. Bullshit.