Une balance pas très équilibré

Tout au long de mon enquête sur le sujet des sorcières et la relation avec le féminisme, j’ai constaté qu’il y a un grand mépris pour l’Église. Autrefois, décrédibilisé par ses agissements avec raison, le mot religion (plus précisément la religion chrétienne) a une connotation négative. Il est plus facile de lui jeter la pierre plutôt que d’essayer de comprendre ces préceptes. On le place dans la case des mythes et de l’imaginaire sans se poser de questions ou rentrer dans les détails. Le problème c’est qu’il n’y a jamais de personne pour témoigner au nom de la foi chrétienne et qui peut illustrer la parole/la pensée de « Dieu ». La plupart des analyses sont réalisées par des personnes avec des idées antireligieuses, sans théorie théologique. C’est pour cela que mon sujet d’enquête et de rédaction sera de démystifier la réelle place de la femme dans la religion chrétienne, si oui ou non c’est l’Église qui est coupable de ce massacre aux sorcières ou les gens qui se disait « chrétien ». La différence est qu’en accusant l’église avec un « e » majuscule c’est la bible et Dieu qu’on accuse de ce crime aux sorcières alors que c’est l’acte de l’homme même qui ce cache derrière le nom de la foi pour donner bonne conscience à ses agissements.

Faire le point

« Il faut se poser les bonnes question… »

Tout d’abord, je vais revenir sur certaines lectures faites dans le cours, à l’aide de point. Le premier c’est Regard sur la figure de la sorcière, ses liens avec l’État moderne et le féminisme.

  • C’est un tout petit point que j’aimerais rectifier, par rapport à la question « fondamental » qui est Comment arrive-t-on à croire en l’existence de choses qui n’existent pas ? J’ai bien peur de répondre à la question par une question : Quelle sont les peuvent que ces choses n’existent pas ? La science n’a jamais pu prouver l’inexistence de Dieu. Quant à la recherche de la création du monde cela reste que des hypothèses et des théories. Néanmoins, j’aimerais vous dire que la bible n’est pas du tout contre la science au contraire ! Si elles diffèrent sur la pensée de la création de l’Homme, elles ont des similarités avec la création de la Terre. Voici une vidéo de Noémie de la chaine Savoir chrétien pour appuyer mes dires. Pour ne pas avoir qu’un seul point de vue et pouvoir faire vivre le débat, il y a aussi la chaîne de Dieu de la philo et de Quoi d’neuf pasteur qui répond aux vidéos d’Hygiène mentale que vous pouvez aller visiter ( tout les liens sont en bard d’info de la vidéo « Quoi d’neuf pasteur »). Le film Jésus l’enquête raconte l’histoire d’un homme qui veut prouver l’inexistence de Jésus. Pour découvrir la conclusion de son enquête, allez voir le film ! Retrouvez-le en streaming ou sur YouTube.
Un autre film à découvrir pour pousser le débat sur les philosophes.

Colette Arnould

Maintenant que cette parenthèse est mise de côté, passons aux sorcières ! Le texte qui a retenu mon attention pour ma rédaction est celui de Colette Arnould. Je vais énumérer par point les grands faits importants du texte, puis faire des résumés de chaque catégorie.

  • L’image de la sorcière réduite en caricature
  • Personnage maléfique inventé de toute pièce
  • Parcourt l’espace et le temps donc touche au surnaturel
  • Image d’une femme l’aide et animaux de superstition
  • histoire de peur
  • Femme brûlé
  • Utilisation de cette femme comme un object
  • tout devient possible donc on peut dire n’importe quoi
  • « On ne sait jamais de quoi l’on parle ni si ce que l’on dit est vrai »
  • La sorcière semble échappé a toute discours scientifique
  • Superstition médiévale
  • Moyen-Âge, monde enchanté
  • messe noire, illuminati
  • Vérité en éparse
  • « C’est même à partir de vérités éparses que se construisent les pires erreurs, ou, plus grave, les préjugés. Alors, tentons de remettre les choses à leur place. »
  • 16 siècle pire époque obscurantiste
  • sabbat (sorcier)
  • « Du paganisme au christianisme, une modification importante s’est produite, où magie, religion et superstition ont vu leurs rapports se modifier. »
  • Pourquoi la femme s’est changé en sorcière, comment s’est-elle perpétué?
  • « Des sectes se charge de mettre en évidence que l’irrationnel est loin d’être déraciné. »
  • Parler de la sorcière ne suppose cependant pas que l’on exclue les hommes. Et les enfant aussi.

L’antiquité

« C’est de la « magicienne » que parlent les textes grecs et latins, dans un vocabulaire qui nous apparaît insuffisant dès lors que l’on s’obstine à y projeter nos propres valeurs. »

On retient à cette époque l’histoire de deux sœurs sorcières du nom de Circé et Médée. Dans la traduction de la langue moderne cependant, il y aurait peut-être eu une inexactitude sur le mot « magicienne » puisqu’on se référait à la magie que ces femmes pratiquaient. P.D.V: Malgré tout le terme ne change pas vraiment le sens de la magie si ce n’est de rationalisé leur pratique.

Le diable

« Si le Moyen Âge plus qu’aucune autre époque a accordé au diable une place prépondérante, il ne saurait pourtant se réduire à ce monde d’obscurantisme que l’on a si souvent décrit. »

Le péché originel, chasse l’homme du paradis terrestre, le laisse livré à lui-même, libre certes, mais en proie à l’angoisse devant les choix et les conséquences inhérents à l’exercice même de cette liberté. Or, ce n’est pas seulement d’angoisse métaphysique qu’il s’agit ici, car dans une perspective religieuse l’homme tiraillé entre le bien et le mal, entre ses bons et mauvais penchants joue par ses choix son éternité. Lui seul se sauve ou se damne et, si le diable est là, constamment présent, tentateur, séducteur, pour inciter à la facilité, la vigilance s’impose.

Au contraire, c’est un monde en pleine évolution qui se révèle, monde qui se cherche, étrangement ouvert à toutes les questions, en marche qui ne se contente pas d’une seule pensée mais se tourne vers de nouveaux horizons à explorer, monde de contradictions aussi, entravé par les normes qu’il s’est lui-même données, prisonnier de ses convictions et finalement terrassé par un contexte apocalyptique dont il ne saura pas faire un renouveau, incapable de se dépasser, laissant à d’autres le soin de créer de nouvelles valeurs. Globalement, ce qui frappe dans toute cette époque, c’est la faculté d’émerveillement de l’homme, au sens propre comme au figuré, à la fois fraîcheur et naïveté que les moments les plus sombres du Moyen Âge finissant ne feront jamais totalement disparaître, mais aussi faculté de voir partout des « merveilles », de ne s’étonner de rien, le merveilleux en tant qu’extraordinaire venant imprégner la réalité quotidienne pour lui donner une nouvelle vie en la parant d’une richesses insoupçonnée. Or le merveilleux réside aussi dans la croyance naïve, dans une foi tellement spontanée et sûre d’elle qu’elle fait partie de l’homme. Dieu, le Christ, la Vierge, les saints sont partout en ce monde qui croit aux miracles. 

Mais si l’homme du Moyen Âge se contente d’une foi simple et confiante, quelques fois même un peu païenne dans son rapport avec la nature, au fur et à mesure qu’on avance dans le temps l’inquiétude surgit, la sérénité confiante est troublée par le diable livrant bientôt l’homme au déchaînement du surnaturel, dans une lutte opposant ici-bas anges et démons et entre lesquels il se trouve pris. Le diable, personnage plutôt débonnaire durant tout le haut Moyen Âge, dont d’ailleurs on parle peu, n’inquiète guère. Le diable est encore celui qui espère se racheter, celui aussi qui intervient dans de nombreuses légendes médiévales, et qui, trompeur par nature, se laisse facilement berner, tandis que, justicier, il devient la terreur des marchands qui cherchent à tromper leurs clients, car il pourrait bien par représailles leur jouer quelque mauvais tour. Souvent grotesque, apparenté aux satyres, le diable n’appartient pas encore à la tragédie. 

Reflet des tendances contradictoire mais normales qui existent en l’homme, puisque l’homme ne saurait être parfait, il n’est pas encore le représentant de ses angoisses profondes. À partir du XIe siècle une nouvelle tendance se dessine, le diable symbolisant le traître, le vassal félon fait son apparition. Elle va devenir la sorcière, inquiétante, dangereuse, maléfique, tandis qu’autour d’elle se constituera un véritable culte du diable que le Malleus, en codifiant, achèvera de corroborer, ouvrant ainsi la porte aux grands bûchers.

L’hérésie

« De la suspicion naissait le refus de la différence derrière laquelle se profilait le diable mais, les mots ne suffisant plus, on s’orientait vers une juridiction permettant d’en venir aux actes. »

Au sens strict, le mot hérésie implique tout crime commis contre la foi, toute croyance contraire. De cette opposition entre un principe du Bien et du Mal dérivait spontanément celle de Dieu et du diable. Le diable restait sous la dépendance de Dieu, on ne lui en prêtait pas moins une puissance largement équivalente. 

L’Église et l’État n’avaient pas lésiné. Phénomène de contestation qui prenait naissance en même temps qu’un ordre nouveau dont certains se sentaient d’une manière ou d’une autre exclus, elles véhiculaient des rêves de compensation, l’espérance de temps meilleurs. Elle remettait l’Église en question, l’ébranlait même si bien que des dissidences internes surgissaient dont elle ne sortirait que de justesse. Ces hérétiques-là étaient d’autant plus inquiétants que leurs valeurs portaient atteinte à une organisation sociale dont l’Église était le fondement et leurs propos étaient infiniment plus cohérents que ceux des « illuminés déçus » précédemment évoqués. 

Le rôle du contexte

« Au profit d’une explication par le mal et le péché, la connaissance d’autres moyens thérapeutiques que l’exorcisme et l’invocation des saints. La théologie, « unique science qui commande aux autres » »

La science, limité de toute façon, ne progresse pas parce qu’elle fait peur. Toute connaissance reste essentiellement empirique, toute tentative d’explication révèle un anthropomorphisme évident, et finalement le souci de ne rien laisser au hasard, de donner un sens à tout ne se satisfait qu’en se tournant vers les puissances surnaturelles . En voulant faire de la science un système achevé, la pensée médiévale allait à l’encontre de la véritable connaissance. Désirant faire du monde un tout harmonieux, elle s’appuyait sur le raisonnement « le ciel, la terre et l’homme en une sorte de triangle universel », écrit Bachelard. 

Ne disposant que de moyens déductifs, ignorant l’expérimentation, connaissant à peine l’expérience et l’analyse, incapable de se dégager du témoignage des sens, d’aller au-delà de l’apparence, la science scolastique s’est bornée à un discours bien construit, suppléant ainsi à l’incohérence avec laquelle le donné s’offrait à elle. L’ensemble des techniques restant extrêmement rudimentaire, le contexte économique s’en ressent évidemment et l’homme demeure tributaire d’un environnement qu’il ne maîtrise pas. Démuni face à son environnement, l’homme l’est tout autant face à lui-même. Devant une médecine impuissante à comprendre comme à soigner, c’est dans l’influence des planètes sur la nature humaine que l’on cherche une explication. 

Pour décider du moment à choisir pour administrer une potion, entreprendre une saignée ou un clystère, seules opérations que connaît cette médecine essentiellement purgative , c’est aux astres que l’on se fie. Sa méfiance envers la médecine , son rejet de toutes explication rationnelle de la maladie.

L’attitude de masses

« Dans un monde où le surnaturel est partout, le moindre événement, le moindre fait, le moindre comportement sortant de la norme peut devenir objet de méfiance et de suspicion, et cela entre pour une grande part dans les accusations de sorcellerie issues des masses. »

On établit un rapport de causalité entre un phénomène anormal ayant des conséquences importantes et l’arrivée de quelqu’un de nouveau, comme on peut aussi accuser celui qui échappe à quelque malheur collectif. Certaines plantes également sont suspectes, soit par les anomalies qu’elles présentent, soit par les analogies que l’on peut établir à partir de leur apparence, ou encore parce que leur rôle dans certaines préparations magiques comme le lieu où elles poussent leur confèrent une connotation néfaste. On se méfie de certaines ombres car on n’est pas sans savoir le rôle qu’elles jouent dans les évocations magiques. 

Tout individu ayant un quelconque rapport avec ce que nous venons d’évoquer est de ce fait lui-même suspect. Méfiance envers celui qui emploie certains mots incompréhensibles ou suspects, marmonne, ou use à tort et à travers du nom de marie, de Dieu, des saints ou du diable. Méfiance aussi envers celui qui détient un quelconque pouvoir. Méfiance enfin envers l’étranger, le vagabond considéré comme appartenant à « la famille du diable », ou le bohémien que l’on accuse de voler les enfants. 

Dans un tel contexte, les accusations reposent sur peu de chose et il faut surtout tenir compte des rumeurs. Débutant par des « on dit », on en arrive à des certitudes permettant d’accuser des pires crimes. La calomnie trouve toujours un écho et les rumeurs sont d’autant plus difficiles à faire taire au Moyen Âge, surtout lorsqu’il s’agit de magie ou de sorcellerie, que, la superstition dominant, chacun finit par être convaincu de leur bien-fondé. Telle personne victime d’un malheur quelconque l’est à cause d’une autre qui a cherché à lui nuire, accusation camouflée d’abord avant de se déclarer ouvertement, en usant du premier prétexte venu. 

Jusque-là, on en reste à un comportement de masse encore indécis, fluctuant, capable des pires excès comme des plus étonnants revirements. De simples pratiques magiques, réelles ou supposées telles, on passe à l’idée que le sorcier ou la sorcière ne travaille pas seul mais participe à une véritable secte qui a ses lois, ses rites, tend à un but particulier, tout cela ne pouvant se faire que sous la tutelle du diable. De là est née la hantise de la femme associée à Satan. En associant hérésie et sorcellerie, on disposait d’un moyen infaillible pour condamner. 

En y associant la femme, un nouveau crime se constituait et l’hérésie des sorcières devenait une réalité. Désormais il faudrait y croire sous peine d’être considéré à son tour comme hérétique. Ce qu’on avait pendant si longtemps considéré comme de folles croyances justifierait la répression. 

La bible

Voici maintenant la partie théologique de mon enquête, pour apporter un peu d’éclaircis au idéologie de Colette Arnould. À l’aide de la bible, je vais essayer de vous expliquer au mieux possible ce que les versets veulent dirent.

« La femme selon le coeur de Dieu »

Pourquoi Dieu à crée la femme?

La genèse est le premier livre de la bible qui explique la création du monde selon Dieu. C’est dans ces versets que l’on voit pour la première le mot femme. Avant la chute, la femme vivait dans le jardin d’Eden avec l’homme. Elle fut créée ainsi : genèse 2 : 18 L’éternel Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui », puis ensuite dans genèse 2 : 21 et 22 « l’Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme qui s’endormit ; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait de l’homme, et il l’amena vers l’homme ». Pour mieux comprendre voici l’émission Parole de femmes d’EMCI TV. Pour ce qui est du péché originel Ève n’est pas plus coupable qu’Adam et je vous laisse aller voir la vidéo de Dieu de la philo pour mieux comprendre.

Le féminisme chez le croyant

Le féminisme existe bel et bien dans le milieu chrétien ! Premièrement, il y a plus de femmes que d’homme dans les églises et deuxièmement parce que comme nous l’avons vu précédemment, la femme n’a pas été créée pour être l’esclave de l’homme, mais pour être une aide, marcher à ses côtés, d’où pourquoi elle a été prise de la côte. Elle ne vaut pas moins que l’homme au contraire ! Si Dieu n’a pas pensé que l’homme pouvait glorifier la Terre seul, c’est qu’il y a une raison. Déjà pour commencer biologiquement ce sont des êtres différents. La conséquence de cela est que la femme comme l’homme possède des caractéristiques différence plus développer chez l’un comme chez l’autre qui fait qu’ensemble, ces particularités sont complémentaires. Quand l’apôtre Paul parle au peuple d’Éphèse il dit ceci : Éphésiens 5 : 25 « Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle » il veut montrer comment la femme doit être placé à un niveau très important, car Jésus s’est donné à la croix par amour pour l’humanité. Comment aimer quelqu’un à un tel niveau si l’on considère cette personne comme inférieure à nous ? Ne vous laissez pas influencer par le verset d’Éphésiens 5 : 22 et 23 qui dit : « Femme, soyez soumises à vos maris, comme au seigneur ; car le mari est le chef de la femme comme Christ est le chef de l’Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur », car vous n’en connaissez pas la signification de ce dogme. Je vous invite à aller regarder l’émission Bonjour chez vous d’EMCI TV pour mieux comprendre.

Image de la sorcière

Commentaire biblique 
de Exode 22: 18  Tu ne laisseras pas vivre de magicienne (peut être remplacer par sorcière ou sorcellerie dans certaine version. 

Extrait du site www.levenvile.com

La bible présente des prescriptions de nature juridique concernant la liberté, la vie et la propriété du prochain ; il s’agissait du droit du prochain sous ces différents rapports. Dès maintenant nous trouvons une série de préceptes religieux et moraux qui ne rentrent pas dans la sphère du droit naturel et qui interdisent tout ce qui pourrait troubler l’ordre de choses saint et équitable que Dieu veut voir régner au milieu de son peuple.

Magicienne. Ce mot est au féminin, parce que ce sont surtout les femmes qui exercent les arts occultes ; qu’on se rappelle les anciennes magiciennes (Circé, Médée) ; puis les sorcières du moyen-âge, les tireuses de cartes et les somnambules de nos jours. Cependant la pratique de la magie est aussi condamnée Lévitique 20: 27 pour les deux sexes ; comparez surtout Deutéronome 18: 9-12, où les diverses espèces de divination sont énumérées. Sous toutes ses formes, la magie est un appel à une puissance surnaturelle qui ne se subordonne point à la volonté divine ; c’est donc un acte de rébellion contre l’Éternel et, comme tel, un crime capital. Comparez les nombreux passages des prophètes sur ce sujet : Ésaïe 8: 19 ; Ésaïe 19: 3 ; Ésaïe 44: 25 ; Ésaïe 47: 12 ; Michée 5: 12.

Ce qu’on peut comprendre de cet extrait, c’est que ce n’est pas à cause que la femme est femme qu’on a associé la magie a celle-ci, mais bien parc’il y avait une réelle dominance dans le domaine. De plus, je tiens a rajouter que c’est un passage qui a mal été compris des gens de l’époque, car Dieu appelait à la condamnation de la magie et non de réellement tuer ceux qui la pratiquait, car il a aussi donné comme commandement : « Tu ne tueras point ». La bible est remplie de métaphore et de parabole et n’est pas faite pour être comprise d’une lecture éphémère au premier degré, mais bien d’une lecture en profondeur avec le Saint-Esprit. D’où pourquoi il y a beaucoup de mal entendu au courant de l’histoire qui l’on mené à des atrocités.

Le diable

Voici la vrai histoire du diable aussi appelé Satan ou Lucifer (ce qui veut dire ange de lumière déchu).

Le documentaire dure une trentaine de minutes.

Le mal

Dieu n’a pas créé le mal, c’est le diable qui l’a engendré par sa désobéissance au début des temps. À cause de cela, la haine est apparue et l’enfer éternel a été créé. À cause d’Adam et Ève, le mal et la mort sont entrés sur terre. Depuis ce moment, le diable est dans une lutte constante avec Dieu en pensant un jour pouvoir prendre sa place. Lucifer essaye d’attirer le plus d’âmes dans sa future demeure éternelle avec lui. Dans l’enfer, le diable n’aura aucun pouvoir sur les âmes qu’il a gagné, car l’enfer a été créé pour le condiment. Voici l’émission Bonjour chez vous pour mieux vous expliquer.

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