Prologue
Ne fuis rien si tu ne sais où aller exactement.
Un pays, un homme. Tu as aimé. Ils se fracassent ensemble, telles des plaques tectoniques pour ne former plus qu’une seule et même complainte. Un cantique des cantiques. Une sauvagerie profonde pour enfin mettre le feu à l’histoire, à ta douleur, à vos légendes. À vos peines à tous. Sans celles-ci tu ne voudrais pas être toi. Sans celles-ci tu ne crierais pas au génocide.