•Communauté
• Famille élargie
• Cultures autochtones (plusieurs et différentes)
• 11 nations
•trauma/ problème consommation
• Clichés, Stéréotypes : pas d’éducation , bcp de substances
• perdu confiance envers le système (méfiance)
• taux de suicide (plus élevée? )
• isolation
• pas autant acces aux services Sociaux
• pensionnat et dpj (problèmes de familles + fréquents)
• contexte nistorique ( passé)
et appliquer les droits
• Joyce, Principe de Joyce (accessibilité aux services )
•racisme, discrimination, intersectionalité
•3000 morts, dernier à fermé en 1996 (Canada) violence – maltraitance (physique et sexuelle)
• génocide culturel (mental) – pensionnat
– empathie envers les injustices d’actualité
– légitimé par le système politique
– incompréhension de leurs conditions et de leur culture (ex: dpj)
Est-ce que nous avons une place à en parler? – transmettre leur message? (Imposture)
Idée: Inviter une personne autochtones pour témoigner de son vécu
* Pour toi Flora (série sue tout.tv)
Le concept de « service » est aussi un incontournable dans le contexte social, politique et culturel qui structure l’État québécois. Que signifie cette idée ? Quel lien établir entre la définition de services sociaux ou publics et la justice, la réparation des injustices ou le maintien des rapports de domination. L’idée de service n’est pas étrangère à l’expression d’une certaine manière de penser. Le titre du rapport d’enquête qui nous intéressera en classe est : Commission d’enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publics : écoute, réconciliation et progrès.
Je serais tenté d’aller dans un sens similaire aux questions que Rémi a posé précédemment. Toutefois, je pense que la question des services en présuppose une autre, dans la mesure où même si des services étaient disponibles, il doit y avoir une certaine confiance préalable envers ces services (et les personnes qui les offrent) pour que ceux-ci soient utilisés. La question de la confiance que vous posez d’ailleurs vous-même comme étant une « perte de confiance envers un certain système » doit donc aussi être questionné!
Est-il même souhaitable que les communautés Autochtones, considérant leur situation, ait confiance envers l’État canadien? Ont-ils déjà eu confiance en l’État canadien? Pourquoi?
Il est impératif de remonter au plus loin de nos présupposés pour être plus en mesure de saisir toute la complexité de la situation la laquelle les communautés autochtones se trouvent.